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La 4e de couverture indique : "Voici près d’un siècle, dans d’étourdissantes visions, Aldous Huxley imagine une civilisation future jusque dans ses rouages les plus surprenants : un État Mondial, parfaitement hiérarchisé, a cantonné les derniers humains « sauvages » dans des réserves. La culture in vitro des foetus a engendré le règne des « Alphas », génétiquement déterminés à être l’élite dirigeante. Les castes inférieures, elles, sont conditionnées pour se satisfaire pleinement de leur sort. Dans cette société où le bonheur est loi, famille, monogamie, sentiments sont bannis. Le meilleur des mondes est possible. Aujourd’hui, il nous paraît même familier…"… (plus d'informations)
zasmine: For Orwell was inspired by it. And Orwell's 1984 is as much of a prize as it.
li33ieg: 1984, Brave New World and Fahrenheit 451: 3 essential titles that remind us of the need to keep our individual souls pure.
Ludi_Ling: Really, the one cannot be mentioned without the other. Actually, apart from the dystopian subject matter, they are very different stories, but serve as a great counterpoint to one another.
Utilisateur anonyme: It's essential to read Huxley's and Orwell's books together. Both present the ultimate version of the totalitarian state, but there the similarities end. While Orwell argues in favour of hate and fear, Huxley suggests that pleasure and drugs would be far more effective as controlling forces. Who was the more prescient prophet? That's what every reader should decide for him- or herself.… (plus d'informations)
artturnerjr: If you read only one other dystopian SF story, make it this one (well, you should read 1984, too, but you knew that already, didn't you?).
leigonj: Haldane's ideas of eugenics and ectogenesis, which are laid out alongside others including world government and psychoactive drugs, strongly influenced Huxley's novel.
fulner: Brave New world is a dystopian novel based on a world with too much enjoyment. Jennifer Government is a dystopian novel based on too much freedom.
> Relire Aldous Huxley nous semble aujourd’hui, en 2005, être une nécessaire mesure d’hygiène intellectuelle, car maintenant plus que jamais, il apparaît clairement qu’un pouvoir peu scrupuleux pourrait faire un usage on ne peut plus néfaste des avancées scientifiques. Il faut relire Le Meilleur des mondes, Ile (Island), mais aussi Jouvence (After Many A Summer Dies the Swan), ouvrage remarquable sur la quête de l’immortalité ... --Karim Emile BITAR
> LE MEILLEUR DES MONDES, par Aldous Huxley. — Dans ce livre visionnaire écrit dès 1932, Aldous Huxley imagine une société qui utiliserait la génétique et le clonage pour le conditionnement et le contrôle des individus. Dans cette société future, tous les enfants sont conçus dans des éprouvettes. Ils sont génétiquement conditionnés pour appartenir à l'une des 5 catégories de population. De la plus intelligente à la plus stupide: les Alpha (l'élite), les Bétas (les exécutants), les Gammas (les employés subalternes), les Deltas et les Epsilons (destinés aux travaux pénibles). Le "meilleur des mondes" décrit aussi ce que serait la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves "auraient l'amour de leur servitude"... -- Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'œuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps. --Annie Degré (ICI.Radio-Canada.ca)
Un roman d'anticipation publié en 1932 qui présente une civilisation basée sur la quête du plaisir et de la consommation. Une réflexion quasiment philosophique sur la notion de famille, la société et ses classes, l'intégration de la différence et de la vieillesse, le droit au bonheur et au libre arbitre. En tant que roman cependant, ce récit a pris quelques rides... ( )
"Brave new world" : les mots de Miranda dans The Tempest sonnent de manière bien amère et tragique dans cette dystopie qui hisse Aldous Huxley au rang de pionnier dans la bonne littérature du genre. Le livre a été publié en 1932, soit 17 ans avant 1984 et tout juste 20 ans avant Fahrenheit 451. Dans un Londres futuriste, les êtres humains sont fabriqués et clonés à l'envi et ne se voient rappelés qu'avec la plus grande honte leurs ancêtres vivipares, issus de l'union d'un homme et d'une femme. Les divertissements y sont perpétuels et obligatoires, le lavage de cerveau efficace pour faire de chacun un hyper-consommateur, le recours à des "pilules du bonheur" généralisé pour gommer tous les affects. On y rêverait vainement d'une solitude impossible et cette velléité serait rapidement repérée et réprimée. Le roman dénonce (y compris à travers les noms de personnages comme ceux de Ford ou de Marx) les dérives totalitaires et capitalistes dans lequel on a industrieusement rompu les liens entre les êtres humains. Désincarnés, déshumanisés, décérébrés dans ce milieu mortifère où la souffrance n'a plus droit de cité, les hommes errent de sensation en illusions, se consomment sans amour. Même s'il a sûrement pris quelques rides, ce roman résonne encore (hélas) bel et bien pour les lecteurs d'aujourd'hui. ( )
★ Résumé Les évènements décrits dans le roman se déroulent dans quelques siècles. La société est divisée en 5 castes, de la plus élevée, les Alphas à la plus basse, les Epsilons. La vie 'civilisée' est basée sur la consommation et la satisfaction immédiate. La vie spirituelle des gens est comblée par les doctrines de Ford. Dans cette société dominée par les valeurs utilitaristes, quel est la place laissée aux relations humaines ?
★ Commentaire C'est un roman passionnant qui nous pousse à nous poser des questions essentielles. Quels sacrifices sommes-nous prêt à faire pour préserver notre libre arbitre ? Que sommes-nous prêt à donner en échange du bonheur et du confort ?
Les utopies apparaissent bien plus réalisables qu'on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question bien autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ?… Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d'éviter les utopies et de retourner à une société non utopique moins 'parfaite' et plus libre. (—Nicholas Berdiaeff)
Dédicace
Premiers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
A squat grey building of only thirty-four stories.
Citations
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Unorthodoxy threatens more than the life of a mere individual; it strikes at Society itself.
..."What fun it would be," he thought, "if one didn't have to think about happiness!"
"I don't want comfort. I want God, I want poetry, I want real danger, I want freedom, I want goodness. I want sin ... I'm claiming the right to be unhappy". "Not to mention the right to grow old and ugly and impotent; the right to have syphilis and cancer; the right to have too little to eat; the right to be lousy; the right to live in constant apprehension of what may happen tomorrow; the right to catch typhoid; the right to be tortured by unspeakable pains of every kind." ... "I claim them all".
"All conditioning aims at that: making people like their unescapable social destiny."
"No civilisation without social stability. No social stability without individual stability."
Feeling lurks in that interval of time between desire and its consummation. Shorten that interval, break down all those unnecessary old barriers.
The social body persists although the component cells may change.
It was the sort of idea that might make the higher castes believe that the purpose of life was not the maintenance of well-being, but some intensification and refining of consciousness, some enlargement of knowledge.
The world’s stable now. People are happy; they get what they want, and they never want what they can’t get.
Science is dangerous. It must be chained and muffled.
People believe in God because they have been conditioned to believe.
But everyone belongs to everyone else.
Some men are almost rhinoceroses; they ron’t respond properly to conditioning. (Henry)
I’d rather be unhappy than have the false, lying happiness you were having here.
Every discovery in pure science is potentially subversive; even science must sometimes be treated as a possible enemy. Yes, even science.
But truth’s a menace, science is a public danger.
He would have liked to speak, but there were no words.
But I don’t want comfort. I want God, I want poetry, I want real danger, I want freedom, I want goodness, I want sin...
I’m claiming the right to be unhappy. Not to mention the right to grow old and ugly and impotent; the right to have syphilis and cancer; the right to have too little to eat; the right to be lousy; the right to live in constant apprehension of what may happen to-morrow; the right to catch typhoid; the right to be tortured by unspeakable pains of every kind.
Derniers mots
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
▾Descriptions de livres
La 4e de couverture indique : "Voici près d’un siècle, dans d’étourdissantes visions, Aldous Huxley imagine une civilisation future jusque dans ses rouages les plus surprenants : un État Mondial, parfaitement hiérarchisé, a cantonné les derniers humains « sauvages » dans des réserves. La culture in vitro des foetus a engendré le règne des « Alphas », génétiquement déterminés à être l’élite dirigeante. Les castes inférieures, elles, sont conditionnées pour se satisfaire pleinement de leur sort. Dans cette société où le bonheur est loi, famille, monogamie, sentiments sont bannis. Le meilleur des mondes est possible. Aujourd’hui, il nous paraît même familier…"
▾Descriptions provenant de bibliothèques
Aucune description trouvée dans une bibliothèque
▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
Description du livre
Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'oeuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
« Aujourd'hui, devait écrire l'auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur s'abatte sur nous dans le délai d'un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d'ici là de nous faire sauter en miettes... Nous n'avons le choix qu'entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme); ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique. »
Résumé sous forme de haïku
Bibliothèque patrimoniale: Aldous Huxley
Aldous Huxley a une bibliothèque historique. Les bibliothèques historiques sont les bibliothèques personnelles de lecteurs connus, qu'ont entrées des utilisateurs de LibraryThing inscrits au groupe Bibliothèques historiques [en anglais].
--Karim Emile BITAR
> LE MEILLEUR DES MONDES, par Aldous Huxley. — Dans ce livre visionnaire écrit dès 1932, Aldous Huxley imagine une société qui utiliserait la génétique et le clonage pour le conditionnement et le contrôle des individus. Dans cette société future, tous les enfants sont conçus dans des éprouvettes. Ils sont génétiquement conditionnés pour appartenir à l'une des 5 catégories de population. De la plus intelligente à la plus stupide: les Alpha (l'élite), les Bétas (les exécutants), les Gammas (les employés subalternes), les Deltas et les Epsilons (destinés aux travaux pénibles). Le "meilleur des mondes" décrit aussi ce que serait la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves "auraient l'amour de leur servitude"...
-- Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'œuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
--Annie Degré (ICI.Radio-Canada.ca)
> BAnQ (La presse, 3 janv. 2014) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3243098
> Nicolas (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R20KJ1UJOYAIFJ?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...