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"Appel à tous les limiers-robots: recherchez cet homme. Nom: Montag. Signes particuliers: Refuse le bonheur obligatoire et rêve d'un monde perdu où la littérature ne serait pas bannie.Cet ancien pompier est un dangereux criminel: au lieu de brûler les livres, il les lit." [Source : 4e de couv.]… (plus d'informations)
readafew: Both books are about keeping the people in control and ignorant.
BookshelfMonstrosity: A man's romance-inspired defiance of menacing, repressive governments in bleak futures are the themes of these compelling novels. Control of language and monitors that both broadcast to and spy on people are key motifs. Both are dramatic, haunting, and thought-provoking.… (plus d'informations)
grizzly.anderson: A great study of how Bradbury came to write Fahrenheit 451 as a progress through his own short stories, letters and drafts. A similar collection of stories but without some of the other material is also available as "A Pleasure To Burn"
lquilter: "A Gift Upon the Shore" is a post-apocalyptic world; some people seek to preserve books and knowledge, but they are seen as a danger to others. Beautifully written.
> Par Momes.net : Résumé détaillé de Fahrenheit 451 de Ray Bradbury 01/09/2017 ... En 1953, Fahrenheit 451, est devenu depuis un classique de la science-fiction, l'une des visions les plus effroyables de l'avenir. Dans cette première adaptation autorisée en bande dessinée, réalisée en étroite collaboration avec Ray Bradbury, Tim Hamilton a su créer une œuvre d'art véritablement saisissante. La prise de conscience par le héros des méthodes d'un gouvernement violemment obscurantiste s'y accompagne de la découverte de l'importance de la lecture en tant que liberté individuelle ...
Publié en 1953. Dans un monde dystopique et futuriste, Montag est pompier. Sa tâche est d’incendier les maisons qui contiennent des livres, objets subversifs qui vont à l’encontre de la pensée unique distillée à longueur de journée par les murs transformés en écrans. Une œuvre étonnante, avant-gardiste, qui parle de dictature de l’esprit, de liberté de pensée, d’indépendance intellectuelle et de savoirs à sauvegarder. Un texte toujours d’actualité. ( )
Autant de critiques déjà faites, je ne peux qu'enfoncer une porte ouverte... J'ai adoré ce bouquin tant sur la forme que sur le fond.
Sur la forme, ce n'est qu'un style très américain qui va droit au but (OMG que c'est caricatural ce que je dis : la plus absconse de mes lectures est américaine, i.e. Faulkner, ceci dit ce n'est pas de la même époque...), je l'ai trouvée moins naïve que dans les Chroniques martiennes écrites quelques années plus tôt où j'avais carrément l'impression que certains personnages tenaient plutôt du demeuré.
Sur le fond, j'adore parce que ce qu'il nous raconte reste tout à fait actuel malgré le fait que ça a été écrit il y a plus de 60 ans. Le rapport à la lecture, aux connaissances, la superficialité des rapports sociaux, la Real TV, les médias qui s'adaptent à leurs consommateurs tels une bannière publicitaire Google, etc. Ce n'est plus de la science-fiction mais un exercice réussi de futurologie. Je suppose que c'est comme ça qu'un roman de SF devient un classique.
Un bémol cependant sur cette aversion de la technologie (sur la fin du bouquin), ce néo-luddisme qui me crispe, là pour le coup, je le trouve trop catégorique et caricatural le Bradbury. ( )
Mercy ne cracherait pas sur quelques jours de vacances.Après avoir passé les derniers mois à tenter d'échapper aux griffes de la Reine des Vampires, elle découvre que le grimoire des faes est tombé dans de très mauvaises mains : les secrets qu'il renferme sont sur le point d'être révélés. Ce qui n'est pas du goût de tout le monde. Non contente de devoir régler cette crise majeure, Mercy a des problèmes personnels : sa maison a brûlé, son ami Samuel file un très mauvais coton et on lui reproche les dissensions apparues au sein de la meute.Elle va devoir faire preuve de la plus grande diplomatie... pas facile quand on est sous pression !
Classique parmi les classiques, Fahrenheit 451 est à la SF ce que le Dracula de Stocker est au fantastique. Cette œuvre est une contre-utopie à la mesure du Meilleur des mondes de Huxley ou à 1984 de Orwell. C’est dire…
This intriguing idea might well serve as a foundation on which to build a worst of all possible worlds. And to a certain extent it does not seem implausible. Unfortunately, Bradbury goes little further than his basic hypothesis. The rest of the equation is jerry-built.
FAHRENHEIT 451 : température à laquelle le papier s'enflamme et se consume.
"Si l'on vous donne du papier réglé, écrivez de l'autre côté." Juan Ramon Jimenez
Dédicace
Celui-ci est dédié avec reconnaissance à Don Congdon
Premiers mots
Le plaisir d'incendier!
Quel plaisir extraordinaire c'était de voir les choses se faire dévorer, de les voir noircir et se transformer.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
It doesn't matter what you do, he said, so long as you change something from the way it was before you touched it into something that's like you after you take your hands away.
But that's the wonderful things about man; he never gets so discouraged or disgusted that he gives up doing it all over again, because he knows very well it is important and worth the doing.
But remember that the Captain belongs to the most dangerous enemy of truth and freedom, the solid unmoving cattle of the majority. Oh, God, the terrible tyranny of the majority.
I'm afraid of children my own age. they kill each other. Did it always use to be that way? My uncle says no. Six of my firends have been shot in the last year alone. Ten of them died in car wrecks. I'm afraid of them and they don't like me because I'm afraid. My uncle says his grandfather remembered when children didn't kill each other. But that was a long time ago when they had things different. They believed in responsibility, my uncle says. Do you know, I'm responsible. I was spanked when I needed it, years ago. And I do all the shopping and housecleaning by hand.
The same infinite detail and awareness could be projected through the radios and televisors, but are not. No, no, it's not books at all you're looking for! Take it where you can find it, in old phonograph records, old motion pictures, and in old friends; look for it in nature and look for it in yourself. Books were only one type of receptacle where we stored a lot of things we were afraid we might forget. There is nothing magical in them at all. The magic is only in what books say, how they stitched the patches of the universe together into one garment for us. Of course you couldn't know this, of course you still can't understand what I mean when I say all this.
There is more than one way to burn a book. And the world is full of people running about with lit matches. Every minority, be it Baptist/Unitarian, Irish/Italian/Octogenarian/Zen Buddhist, Zionist/Seventh-day Adventist, Women’s Lib/Republican, Mattachine/FourSquareGospel feels it has the will, the right, the duty to douse the kerosene, light the fuse. Every dimwit editor who sees himself as the source of all dreary blanc-mange plain porridge unleavened literature, licks his guillotine and eyes the neck of any author who dares to speak above a whisper or write above a nursery rhyme.
Do your own bit of saving, and if you drown, at least die knowing you were heading for shore.
Do you know why books such as this are so important? Because they have quality. And what does the word quality mean? To me it means texture. This book has pores. It has features. This book can go under the microscope. You'd find life under the glass, streaming past in infinite profusion. The more pores, the more truthfully recorded details of life per square inch you can get on a sheet of paper, the more "literary" you are. That's my definition, anyway. Telling detail. Fresh detail. The good writers touch life often.
Most of us can't rush around talking to everyone, know all the cities of the world, we haven't time, money or that many friends. The things you're looking for, Montag, are in the world, but the only way the average chap will ever see ninety-nine per cent of them is in a book.
"Stuff your eyes with wonder," he said, "live as if you'd drop dead in ten seconds. See the world. It's more fantastic than any dream made or paid for in factories. Ask no guarantees, ask for no security, there never was such an animal."
Derniers mots
Oui, se dit Montag, voilà ce que je vais retenir pour midi. Pour midi...
"Appel à tous les limiers-robots: recherchez cet homme. Nom: Montag. Signes particuliers: Refuse le bonheur obligatoire et rêve d'un monde perdu où la littérature ne serait pas bannie.Cet ancien pompier est un dangereux criminel: au lieu de brûler les livres, il les lit." [Source : 4e de couv.]
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Flippant!
https://www.noid.ch/fahrenheit-451/ (