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Chargement... L'Attrape-cœurspar J. D. Salinger
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Pourquoi ce livre? J’ai choisi de lire ce livre après avoir lu le dernier roman de Frédéric Beigbeder, Oona & Salinger (2014) paru chez Grasset. Le texte de Beigbeder était un récit fictif basé sur la vie de personnes réelles (Oona O’Neill, fille d’un dramaturge américain et femme de Charlie Chaplin, et J. D. Salinger, un auteur américain) imaginé par l’auteur en se basant sur divers documents authentiques (Beigbeder, 2014, 11). J’ai vraiment aimé ce livre et il a éveillé en moi une certaine curiosité quant aux personnages du roman. Je ne connaissais pas l’œuvre de Salinger, donc j’ai décidé de me procurer l’un de ces écrits les plus connus, soit L’attrape-cœurs (The Catcher in the Rye) et d’en faire la lecture. Un premier aspect qui m’a plu : J’ai bien aimé le rythme du récit. Le roman de Salinger est relativement court malgré ses 253 pages. Par le fait même, on peut le lire en entier assez rapidement. Ce qui est intéressant, c’est que l’histoire racontée par l’auteur à travers le personnage d’Holden se déroule en à peine trois jours. Il ne semble pas y avoir de pause dans le récit, ni même d’ellipse temporelle qui nous aurait projeté plus tard dans l’histoire. Tout semble se passer en temps réel. Le lecteur suit le parcours emprunté par le personnage principal pendant trois jours entiers. Un second aspect qui m’a plu : J’ai aussi apprécié le fait que tout le récit soit raconté directement par le personnage principal, Holden. Étant donné qu’Holden nous raconte ce qu’il vit et pense, il n’y a pas réellement de filtre qui aurait pu être introduit par un narrateur externe. Autrement dit, on lit tout ce que l’auteur pense au moment précis où il le pense dans l’histoire. Le lecteur n’a pas accès à d’autres interprétations des différentes situations qui se passent que celle fournie par Holden lui-même. Cela permet de bien comprendre le caractère d’Holden. Un aspect qui m’a moins plu : Le langage utilisé dans le livre est très familier, voire trop familier à mon goût. Bien que j’aie aimé le fait que le récit soit raconté par Holden, cela implique aussi qu’il le raconte à sa manière. Il m’a fallu un moment avant de m’y habituer et de pouvoir apprécier le récit. Or, je crois que le réel problème que j’ai avec ce niveau de langage, c’est qu’il ne m’apparaît pas naturel du tout. Cela est sans doute dû à la traduction qui commence un peu à dater et qui a été faite dans un langage familier de France. L’objet livre : Le livre de Salinger que je me suis procuré est en format de poche. Sa qualité matérielle n’est donc pas tout à fait formidable : le papier est mince et fragile; les mots sont clairs, mais l’encre utilisée n’est pas complètement opaque ; il n’y a aucune illustration ou photographie de l’auteur ; la reliure n’est pas très solide (certaines pages se détachent déjà après une seule lecture du roman). Le titre, l’auteur et la maison d’édition apparaissent sur la couverture glacée du livre, couverture illustrée de ce qui semble être une peinture abstraite rouge et noire. La quatrième de couverture ne contient aucune information (sauf le code-barres) et elle est aussi illustrée par la même image rouge et noire. Le livre ne contient aucun élément en complément au texte autre que les informations concernant la présente édition du livre, la traduction et le titre original inscrites aux premières pages du livre. Pas de préface, pas de biographie de l’auteur, ni d’index. Même certains éléments que l’on retrouve dans la plupart des livres comme une table des matières, un résumé ou un extrait du texte situé au verso du livre sont absents. Malgré l’absence de tous ces éléments relativement importants qui permettent d’augmenter la qualité d’un livre imprimé, l’éditeur a pris soin d’insérer une publicité pour son site web. En somme, cette édition du roman de Salinger est un petit livre très simple et très fragile comprenant uniquement le texte original traduit de l’anglais. Toutefois, il a bonne odeur! Livre qui n'a l'air de rien avec son anti-héros en rupture qui agace autant qu'il émeut, son langage parlé et son contenu touchant à l'anecdotique. On peine aujourd'hui à le considérer tel un brûlot aux senteurs de soufre, associé à de nombreuses polémiques. Pourtant, en l'analysant de plus près, il en deviendrait bouleversant. Un roman que je n'avais jamais lu auparavant, et qui pourtant a tant marqué son époque (années 50s), devenu véritable livre culte pour toute une génération. Pas de grande marque littéraire, juste des envolées d'un jeune ado obsédé par la sexualité, faisant l'expérience des prostitués, décrochant au niveau scolaire. C'est ce qui a sans doute enthousiasmé les foules de jeunes à cette époque. Un moment agréable de lecture, plus du fait de découvrir ce titre si célèbre que d'un réel plaisir littéraire. Et puis j'ai apprécié de le lire à New-York.
“Holden Caulfield is supposed to be this paradigmatic teenager we can all relate to, but we don’t really speak this way or talk about these things,” Ms. Levenson said, summarizing a typical response. At the public charter school where she used to teach, she said, “I had a lot of students comment, ‘I can’t really feel bad for this rich kid with a weekend free in New York City.’ ” "Some of my best friends are children," says Jerome David Salinger, 32. "In fact, all of my best friends are children." And Salinger has written short stories about his best friends with love, brilliance and 20-20 vision. In his tough-tender first novel, The Catcher in the Rye (a Book-of-the-Month Club midsummer choice), he charts the miseries and ecstasies of an adolescent rebel, and deals out some of the most acidly humorous deadpan satire since the late great Ring Lardner. Holden's story is told in Holden's own strange, wonderful language by J. D. Salinger in an unusually brilliant novel. This Salinger, he's a short story guy. And he knows how to write about kids. This book though, it's too long. Gets kind of monotonous. And he should've cut out a lot about these jerks and all at that crumby school. They depress me. Est contenu dansFait l'objet d'une suite (ne faisant pas partie de la série) dansContient une étude deContient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiantContient un guide pour l'enseignantPrix et récompensesDistinctionsWhitcoulls Top 100 Books (60 – 2008) Whitcoulls Top 100 Books (59 – 2010) Listes notables
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![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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> Le Monde (Martine Silber) : https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2010/01/28/le-mystere-attrape-coeurs...
> Elle, (par Laura Boudoux) : 21 livres à lire au moins une fois dans votre vie