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Ah, les quatre filles du Docteur March ! Quel beau souvenir d’enfance ! Et quelle ne fut pas ma joie lorsque j’appris qu’il y avait une suite ! Mais quand j’ai su avec qui se mariait Laurie, j’ai refusé tout net de la lire, et je ne suis toujours pas revenue de ma bouderie ! Mais c’est là une autre histoire. Celle que je dois conter maintenant, c’est celle d’une relecture. J’avais tellement aimé cette histoire que, lorsque l’adaptation cinématographique est sortie, j’ai eu l’idée de le proposer (« l’imposer » serait peut-être plus juste…) comme lecture à haute voix à M’ni Raton (et à l’oreille indiscrète de M’sieur Raton qui aime bien aussi qu’on lui fasse la lecture…). Je craignais un peu les réactions de mon p’tit bout de raton, qui n’est pas toujours tendre avec mes grands souvenirs d’enfance et mes lectures enthousiastes. Elle y allait même un peu à reculons. Et pourtant ! Elle a aimé accompagner ces personnages dans leurs tribulations, elle a un peu tremblé pour Beth lorsqu’elle est tombée malade, elle a vu les qualités et les défauts de ces quatre demoiselles, elle en a pris de la graine. Et chose étrange, elle a beaucoup ri ! Il semblerait qu’un bon mot reste un bon mot un siècle plus tard, même s’il n’y a pas de smartphone dans l’histoire, qu’une situation cocasse reste une situation cocasse même sans réseaux sociaux. Cela m’a fait du bien de voir que ce texte a un petit quelque chose d’intemporel, qu’un roman d’apprentissage demeure un roman d’apprentissage même plus de cent ans plus tard. Bien sûr, certaines situations semblent étranges, comme l’épisode des cheveux, qui semble avoir autant choqué M’ni Raton que moi à l’époque, mais avec un peu d’explication et de mise en contexte, le texte reste très abordable et vraiment agréable à lire ou à écouter lire, foi de M’ni Raton !
Le livre retrace le quotidien de quatre soeurs pendant la Guerre de Sécession aux Etats-Unis. Les quatre caractères très différents contrastent et se complètent. Le voisin Laurie apporte une touche masculine dans un univers très féminin. Le livre permet d'entrer dans une autre époque, un autre monde. ( )
Alors d'accord, c'est un classique de la littérature de jeunesse et on ne tire pas sur le pianiste. Soit ! Mais Louisa May Alcott est née en 1832 et est décédée en pleine conquête de l'Ouest. Son style date énormément. Alors bien entendu, il est facile d'imaginer le succès qu'a du avoir ce livre lors de sa parution en 1868 : de la littérature moraliste comme il s'en faisait beaucoup, une famille vertueuse, des filles souriantes et de bonne volonté, une famille pauvre mais digne comme les imaginent les écrivains de ce temps qui croient aux vertus du travail, de la politesse et toutes ces sortes de choses. Oui, c'est fort sympathique mais je n'ai pas accroché et j'ai lâchement abandonné Jo alors qu'elle lisait la lettre de James Laurence : "Chère mademoiselle, j'ai eu beaucoup de paires de pantoufles dans ma vie, mais jamais aucune qui m'aille aussi bien que la votre" ! Mon esprit a décroché avec cette scène sous tension. C'était plus qu'il n'en fallait à mes émotions de lecteur !
Je ne connaîtrai pas la fin de ce roman mais sans nul doute se termine-t-il bien, et c'est bien ainsi. J'ai croisé son chemin, nous nous sommes salués et partis chacun de notre côté après quelques pages passées ensembles. ( )
Almost every single line is overflowing with passion, the choice of words, the portrayal of characters, and the eloquence of emotions, all of this just makes me wonder how is it even possible for someone to write so elegantly with a simple yet appealing tone. This is surely one of those books where you know it is going to be a classic masterpiece at first glance. It delivers so well that I feel as if I am there, in that house along with the characters.
Informations provenant du Partage des connaissances néerlandais.Modifiez pour passer à votre langue.
Go then, my little Book, and show all that entertain, and bid thee welcome shall, what thou dost keep close shut up in thy breast; and wish that thou dost show them may be blest to them for good, may make them choose to be pilgrims better, by far, than thee or me. Tell them of Mercy; she is one who early hath her pilgrimage begun. Yea, let young damsels learn of her to prize the world which is to come, and so be wise; for little tripping maids may follow God along the ways which saintly feet have trod. - adapted from John Bunyan
Dédicace
Premiers mots
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“Christmas won't be Christmas without any presents,” grumbled Jo, lying on the rug.
Citations
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I am not afraid of storms for I am learning to sail my ship.
Derniers mots
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“Oh, my girls, however long you may live, I never can wish you a greater happiness than this!”
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This is the original, Part One, of Little Women that does NOT include the subsequently published Part Two (sometimes published separately as Good Wives). Please do not combine editions of Little Women that contain Part Two, or abridgments, adaptations, movie versions, or the like.
ISBN 0866119558 is the adaption by Lucia Monfried.
Directeur(-trice)(s) de publication
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