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Chargement... Les Misérables (1862)par Victor Hugo
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lu en français. presque tout. trois volumes (de quatres). ( ) Quel chef d'oeuvre ! Quel monument ! Difficile de donner un avis en quelques lignes par rapport à tout ce qui a déjà pu être écrit, commenté, analysé, disséqué sur ce roman. A part souligner qu'il ne s'agit pas seulement d'un roman narrant l'histoire de Jean Valjean, Cosette, Javert, Marius, Gavroche, Thénardier, et tant d'autres personnages. Ce texte est également un livre d'histoire, une analyse sociologique, un texte philosophique et politique, un guide touristique du Paris des années 1830. Finalement ce qui est entré dans la culture commune, raconté dans des films, des comédies musicales, des dessins animés, n'est que la couche superficielle du roman, le fil narratif et tragique. Certes, le style de Hugo semble parfois étrange et daté. Les envolées lyriques et larmoyantes peuvent faire sourire. Certes, la philosophie de Hugo, le positivisme, la foi dans l'éducation, la science, le progrès peut être entendu avec doute et un peu de cynisme au vu de notre société et de l'histoire du monde et de l'humanité depuis la fin du XIX° siècle. Néanmoins, il reste la description sociale de l'époque, les raisons des révoltes, des émeutes, qui ont un étrange écho avec la situation en France ces derniers mois. Et puis la foi fondamental en l'homme donne envie d'y croire encore et d'espérer. Tout au long de ma lecture j'ai été également impressionné par le niveau de culture des lecteurs de Hugo à l'époque de l'édition de ce roman. Les références à l'antiquité, à l'histoire, aux sciences, sont permanentes, les citations en latin pullulent et sans l'imposant appareil critique de l'édition La Pléiade je n'aurai pas apprécier autant ce magnifique texte. Les Misérables fait partie des livres cultes, je l'inscrit dans mes Favoris et certainement l'un des livres à relire que j'emporterai dans une île déserte. Chapeau bas Monsieur Hugo ! > Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. Hauteville-House, 1er janvier 1862. Victor Hugo. —admincb (Culturebox) > Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus ! 07/05/2017 - Bon, est-il bien nécessaire de présenter cette tête de proue de la littérature française ? Peut-être. Ses milliers de page peuvent dissuader. Elles ne le doivent pas. Les événements relatés dans Les Misérables appartiennent plus à l’histoire de France que certains événements réels. Pas vraiment une note de lecture, certainement pas une critique, plutôt une note à moi-même, pour me souvenir de cette lecture et du moment où je l’ai faite. Je connaissais l’histoire, pour en avoir lu une version abrégée étant enfant, et parce qu’on ne peut dire aimer Victor Hugo sans connaître cette œuvre et ses ressorts. Et même sans cela, ses personnages sont tellement emblématiques qu’ils sont passés dans la culture populaire, tout le monde connaît, ou croit connaître Jabert, Gavroche, Fantine et les Ténardier. Je les ai approché de plus près par cette lecture, même si je crois les connaître plus que je ne les connais véritablement. Cette œuvre est tellement connue que je ne suis pas sûre que ce soit celle que je préfère de ce que je connais de Victor Hugo, mais c’est une réflexion passionnante sur le déterminisme social et sur la culpabilité et la rédemption. Très riche, plus nuancé que sa trame pleine d’heureuses coïncidences peut le laisser supposer au premier abord. Un beau livre, un grand livre, qu’il faudra un jour que je lise en lui donnant le temps et la disponibilité d’esprit qu’il mérite, pour tenter de m’approcher au plus près de cette galerie de personnages mémorables. C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc "Les Misérables," publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Hugo est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit - ses histoires et son temps. De la récidive malheureuse de Jean Valjean, frais libéré du bagne, à sa progressive rédemption, de l'enfance désastreuse de Cosette à son idylle avec Marius, de la figure sacrificielle de Fantine aux personnages sinistres de Thénardier et de Javert, le roman propose une belle leçon d'humanité vivante. "Je viens détruire la fatalité humaine, écrit Hugo, je condamne l'esclavage, je chasse la misère, j'enseigne l'ignorance, je traite la maladie, j'éclaire la nuit, je hais la haine. Voilà ce que je suis et voilà pourquoi j'ai fait "Les Misérables." Un plaisir de lecture qui se poursuit par le volume 2. --Céline Darner Appartient à la série éditorialeAmstelboeken (138-139-140) Aufbau Taschenbuch (1700) Austral (646) — 25 plus Capolavori della narrativa [De Agostini] (46-47-48) Modern Library Giant (G3) Penguin Clothbound Classics (2012) Gli struzzi [Einaudi] (284) Est contenu dansContientEst une ré-écriture deFait l'objet d'une ré-écriture dansFait l'objet d'une suite (ne faisant pas partie de la série) dansFait l'objet d'une adaptation dansEst en version abrégée dansEst parodié dansA inspiréContient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiantContient un guide pour l'enseignantPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1896 edition. Extrait: ...de Napoleon, deteste par M. Gillenormand. Le colonel, grievement blesse a Waterloo, a ete ramene a la vie, par accident, par Thenardier, occupe a devaliser morts et blesses et a achever ceux-ci. Le colonel croit qu'il lui doit la vie. Eevenu en France, il trouve sa femme morte et veut avoir son fils pres de lui, mais M. Gillenormand ayant annonce que si l'enfant rejoint son pere il perdra l'heritage de l'aieul, le colonel consent a se separer de son fils. L'enfant, qui s'appelait Marius, savait qu'il avait un pere, mais rien de plus. Personne ne lui en ouvrait la bouche. Cependant, dans le monde ou son grand-pere le menait, les chuchotements, les demi-mots, les clins d'yeux, s'etaient fait jour a la longue dans l'esprit du petit; il avait fini par comprendre quelque chose, et comme il prenait naturellement, par une sorte d'infiltration et de penetration lente, les idees et les opinions qui etaient, pour ainsi dire, son milieu respirable, il en vint peu a peu a ne songer a son pere qu'avec honte et le coeur serre. Pendant qu'il grandissait ainsi, tous les deux ou trois mois le colonel s'echappait, venait furtivement a Paris, comme un repris de justice qui rompt son ban,1 et allait se poster a Saint-Sulpice, a l'heure ou la tante Gillenormand menait Marius a la messe. La, tremblant que la tante ne se retournat, cache derriere un pilier, immobile, n'osant respirer, il regardait son enfant. Ce balafre avait peur de cette vieille fille. De la... Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.7Literature French and related languages French fiction Constitutional monarchy 1815–48Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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