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Chargement... La Route (2006)par Cormac McCarthy
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Conseillé par Paul Moreira (avec Edwy Plenel) sur Thinkerview le 23/02/2022. > Entre les lignes, vol. 4 n° 4 (été 2008), p. 49 : https://id.erudit.org/iderudit/10904ac > Annales. Histoire, Sciences Sociales, No No. 2 (mars-avril 2010), pp. 531-534 : https://drive.google.com/file/d/1K77Hk4J-tHIhVg9Q6yGta_2FuJP-p4XJ/view?usp=shari... > Esprit, No 344 (5) (Mai 2008), pp. 223-226 : https://drive.google.com/file/d/1wG98z5NbtZt5fmjUH-1R7j1sr3mSfCZh/view?usp=shari... > Babelio : https://www.babelio.com/livres/McCarthy-La-route/34709 > Québec français, No 149 (printemps 2008), p. 19 : https://id.erudit.org/iderudit/1721ac > Nuit blanche, No 112 (automne 2008), p. 19-20 : https://id.erudit.org/iderudit/19552ac > Depuis « un certain cynisme » (Fabienne Larouche) et « parce que désormais la fin du monde ne pourra plus être prise à la légère » (Catherine Mavrikakis). —La presse, 7 sept. 2008 > Ce roman vous étreint dans une émotion d'une intensité rarement atteinte dans la littérature. —Le Point Quel univers que celui, sec, dévasté et gris de McCarthy! Il est très difficile de décrire ce livre. Le père et le fils marchent. Ils marchent dans une Amérique détruite, brulée et ensevelie. Ils marchent à la recherche du bleu de la mer, à la recherche de la sérénité perdue, à la recherche d'un passé presque oublié. McCarthy a, par ce livre, exploré les sentiments profonds d'un homme face à la désolation, face à l'inimaginable et pour qui son fils constitue le seul lien avec ce qui reste de la vie. La route est un roman dépouillé qui déstabilise autant par sa forme que par son objet. [http://rivesderives.blogspot.ca/2009/07/la-route-cormac-mccarthy.html] Un père et son fils errent dans un décor post-apocalyptique. A ce stade du bouquin, rien n’est dit (pas besoin) mais on suppose qu’un conflit nucléaire a grande échelle a eu lieu et qu’un hiver atomique s’installe ou se dissipe à peine. Les paysages sont recouverts de cendres comme pour une éruption du volcan Pinatubo, la végétation est totalement morte. Il n’y a rien à tirer de la terre. On apprend rapidement que le gamin est né pendant ou peu après la catastrophe, ce qui nous dit que la situation dure déjà depuis quelques années. Comme contexte à peu près similaires, je connais une BD un peu similaire : Neige de Convard et Gine aux éditions Glénat. Et il y a bien sûr Mad Max. A ceci près que ces anticipations sont bucoliques comparées à cette lecture. Objectif ? Il fait froid, il faut aller dans le Sud et le livre s’attèle à nous raconter leur périple. C’est un combat permanent contre la faim, le froid et surtout les autres survivants. Comprenez qu’en quelques années, la terre ne produit rien, les plantes sont mortes et ont été bouffées, pareil pour les animaux les plus facilement rattrapables. Il ne reste à bouffer que des vieilles conserves trouvées dans les ruines et… les autres survivants. L’expression « l’homme est un loup pour l’homme » prend tout son sens. Si on croise un survivant non-agressif, il ne faut pas l’aider parce que le peu de bouffe qu’on lui donnerait pourrait nous être utile le lendemain ou pire, si on aide ce survivant en détresse, il nous poignardera dans le dos pour bouffer le petit. Dans ce contexte, les enfants ne sont pas un espoir pour l’humanité qu’on imagine déjà condamnée mais des proies plus faciles à attraper voire à la chair plus tendre…Rien de neuf à priori (j’ai déjà cité 2 œuvres qui relatent un contexte similaire…) à ceci près que McCarthy a un style très (excessivement ?) efficace. Tout est très simple, pas de contexte géopolitique posé, on ne sait rien sur rien, on ne perçoit que ce que le père perçoit, on a faim, on a froid, l’immersion est totale et c’est le stress à chaque paragraphe ou presque. C’est du « survival horror » sans une once d’invraisemblance et c’est ce qui nous plonge rapidement dans le malaise. On se doutait déjà de la fragilité physique et/ou mentale des hommes mais ce bouquin semble tellement réaliste qu’à mes yeux, il tient plus de la démonstration que de la fiction.
Délaissant les paysages arides de l'Ouest américain, Cormac McCarthy imagine une planète ravagée par une apocalypse nucléaire, un monde d'une radicale hostilité où un homme et son fils tentent de survivre envers et contre tout. But McCarthy’s latest effort, The Road, is a missed opportunity. Nicht minder bedeutend und nicht minder nobelpreiswürdig als die immer noch berühmteren, aber ebenso nobelpreislosen amerikanischen Kollegen Philip Roth und John Updike ist für Hubert Spiegel der Literat Cormac McCarthy. Dies Buch ist hierzulande, wohl der Verfilmung wegen im Deutschen erst jetzt erschienen, fast zeitgleich mit dem ihm im Original erst ein Jahr später folgenden "Die Straße". Spiegel bespricht sie in einer Kritik und betont, dass nur eines von beiden, nämlich dies hier ein wirkliches "Meisterwerk" ist, womöglich sogar McCarthys stärkstes Buch. Das Szenario ist postapokalyptisch. Spiegel: "Die Welt ist verbrannt, verkohlt, entseelt." Ein paar marodierende Menschen sind übrig, nicht einmal vor Kannibalismus schrecken sie zurück. Im Zentrum stehen, namenlos unterwegs, Vater und Sohn. Sie diskutieren moralische und metaphysische Fragen und wollen zum Meer. Eine totale Reduktion aufs Grundsätzliche, die der Rezensent Hubert Spiegel in diesem Fall mit Enthusiasmus quittiert . Alex Rühle gibt sich als langjähriger Cormac-McCarthy-Bewunderer zu erkennen, findet es aber dann doch ärgerlich, dass der amerikanische Autor ausgerechnet für "Die Straße" nun den Pulitzer-Preis erhalten hat, wo er doch schon so viel Besseres geschrieben habe. Immerhin erweist sich der Autor auch bei der völlig verwüsteten, verkohlten Landschaft, durch die ein Vater und sein Sohn nach einem nicht näher beschriebenen Krieg irren, noch als virtuoser Beschwörer der - in diesem Fall zerstörten - Natur, so der Rezensent bewundernd. Allerdings findet er den alles durchziehenden Ernst und die stets auf existentiellem Niveau schwingenden Dialoge auf die Dauer ziemlich anstrengend. Im Roman geht es stets ums nackte Überleben und um die Frage, angesichts der Katastrophe noch moralisch integer zu bleiben, meint Rühle, der einen kleinen Scherz hin und wieder zu schätzen gewusst hätte. Die Versatzstücke aus dem Horrorgenre kratzen zudem am Niveau des Romans, und am Ende hat der Rezensent gar den Eindruck, bei einem Hollywoodschinken a la "Conan, der Barbar" gelandet zu sein. Für Angela Schader spaltet sich das Werk von Cormac McCarthy in den Insidertipp und den Bestseller, und sie macht deutlich, wo ihre Sympathien liegen. "Die Straße" bedient ihrer Einschätzung nach wieder das breite Publikum, was ihr Missfallen erregt. Vater und Sohn sind seit Jahren auf dem Weg durch eine völlig zerstörte Welt an die Küste, wo sie sich ein leichteres Leben und vor allem Sicherheit vor der allgegenwärtigen Gefahr, Kannibalen anheim zu fallen, erhoffen. Für die Rezensentin operiert der Roman mit einer allzu eindeutigen Moral, Gut und Böse seien zu eindimensional zugeordnet. Auch wenn, wie Schader einräumt, das Buch insbesondere in seinen endzeitlichen Szenarien sehr fesselnd ist, findet sie, dass es gerade durch seine Konzentration auf die Beziehung zwischen Vater und Sohn und wegen des abenteuerlichen Settings über Jugendbuch-Niveau kaum hinausgeht. Auch das etwas gezwungenen Happy End, das die Rezensentin fairer Weise nicht verrät, scheint ihr als Schwäche und so ist sie von dem Roman, der wie sie findet der Konstruktion nach einiges zu versprechen schien, ziemlich enttäuscht. Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansContient une étude deContient un guide de lecture pour étudiantPrix et récompensesDistinctionsListes notables
In this postapocalyptic novel, a father and his son walk alone through burned America. Nothing moves in the ravaged landscape save the ash on the wind. It is cold enough to crack stones, and when the snow falls it is gray. They sky is dark. Their destination is the coast, although they don't know what, if anything, awaits them there. They have nothing; just a pistol to defend themselves against the lawless bands that stalk the road, the clothes they are wearing, a cart of scavenged food--and each other. This book boldly imagines a future in which no hope remains, but in which the father and his son, "each the other's world entire," are sustained by love. It is an unflinching meditation on the worst and the best that we are capable of: ultimate destructiveness, desperate tenacity, and the tenderness that keeps two people alive in the face of total devastation.--From publisher description. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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