AccueilGroupesDiscussionsPlusTendances
Site de recherche
Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.

Résultats trouvés sur Google Books

Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.

Chargement...

La Route (2006)

par Cormac McCarthy

Autres auteurs: Voir la section autres auteur(e)s.

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneDiscussions / Mentions
34,213140176 (4.06)1 / 1542
In this postapocalyptic novel, a father and his son walk alone through burned America. Nothing moves in the ravaged landscape save the ash on the wind. It is cold enough to crack stones, and when the snow falls it is gray. They sky is dark. Their destination is the coast, although they don't know what, if anything, awaits them there. They have nothing; just a pistol to defend themselves against the lawless bands that stalk the road, the clothes they are wearing, a cart of scavenged food--and each other. This book boldly imagines a future in which no hope remains, but in which the father and his son, "each the other's world entire," are sustained by love. It is an unflinching meditation on the worst and the best that we are capable of: ultimate destructiveness, desperate tenacity, and the tenderness that keeps two people alive in the face of total devastation.--From publisher description.… (plus d'informations)
  1. 315
    La servante écarlate par Margaret Atwood (mrstreme)
  2. 304
    Le dernier homme par Margaret Atwood (goodiegoodie)
  3. 251
    L'aveuglement par José Saramago (browner56, ateolf, lilisin)
    browner56: Two harrowing, well-written looks at what we can expect when society breaks down
  4. 181
    Je suis une légende par Richard Matheson (PDcastello)
    PDcastello: Same type of small and silent epic
  5. 150
    Les Fils de l'homme par P. D. James (macktan894)
  6. 130
    Alas, Babylon par Pat Frank (BookshelfMonstrosity)
  7. 142
    Le temps du déluge par Margaret Atwood (JD456)
  8. 132
    Un cantique pour Leibowitz par Walter M. Miller Jr. (skroz, goodiegoodie)
  9. 121
    Le dernier rivage par Nevil Shute (Navarone)
  10. 123
    Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme par Cormac McCarthy (dmitriyk)
    dmitriyk: Written simply, with a very similar style and attitude.
  11. 103
    La Terre demeure par George R. Stewart (psybre)
    psybre: Earth Abides, a classic post-apocalyptic novel published in 1949, is a bit less dark, and as an ecological fable, contains more science than The Road. When pondering to read The Road again, read this book instead.
  12. 169
    Le Fléau par Stephen King (2810michael)
  13. 70
    Dans la forêt par Jean Hegland (owen1218)
  14. 30
    Moi qui n'ai pas connu les hommes par Jacqueline Harpman (Tanglewood, tottman)
    tottman: Both are dystopian novels with engaging and driven main characters. They are bleak but extraordinarily moving and compelling.
  15. 73
    Le Jour des Triffides par John Wyndham (hazzabamboo)
    hazzabamboo: Two post-apocalyptic masterpieces, with much of their power coming from their focus on a couple of characters and the exotic horrors that threaten them.
  16. 51
    The Pesthouse par Jim Crace (llishman, MarkYoung)
  17. 41
    L'oiseau bariolé par Jerzy Kosiński (Stbalbach)
    Stbalbach: Kosinski & McCarthy were born 5 weeks apart in 1933 and were ages 6-12 during WWII. Both books are dark violent fables told from a child's view.
  18. 30
    Rivers par Michael Farris Smith (GCPLreader)
  19. 42
    La parabole du semeur par Octavia E. Butler (Boohradley)
    Boohradley: There are a lot of similarities between the plot of this book and The Road. In Parable of the Sower an adolescent girl, who suffers from hyper-empathy, makes a long journey in hope of survival in a hostile, post-apocalyptic world.
  20. 31
    Ravage par René Barjavel (grimm)

(voir toutes les recommandations de 44)

AP Lit (315)
Chargement...

Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre

» Voir aussi les 1542 mentions

Anglais (1,316)  Français (20)  Espagnol (16)  Italien (8)  Néerlandais (8)  Allemand (6)  Suédois (5)  Danois (4)  Catalan (3)  Portugais (Portugal) (2)  Finnois (2)  Norvégien (2)  Bulgare (1)  Hébreu (1)  Polonais (1)  Tchèque (1)  Toutes les langues (1,396)
Affichage de 1-5 de 20 (suivant | tout afficher)
Conseillé par Paul Moreira (avec Edwy Plenel) sur Thinkerview le 23/02/2022.
  jmv55 | Feb 25, 2022 |
> Entre les lignes, vol. 4 n° 4 (été 2008), p. 49 : https://id.erudit.org/iderudit/10904ac
> Annales. Histoire, Sciences Sociales, No No. 2 (mars-avril 2010), pp. 531-534 : https://drive.google.com/file/d/1K77Hk4J-tHIhVg9Q6yGta_2FuJP-p4XJ/view?usp=shari...
> Esprit, No 344 (5) (Mai 2008), pp. 223-226 : https://drive.google.com/file/d/1wG98z5NbtZt5fmjUH-1R7j1sr3mSfCZh/view?usp=shari...
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/McCarthy-La-route/34709
> Québec français, No 149 (printemps 2008), p. 19 : https://id.erudit.org/iderudit/1721ac
> Nuit blanche, No 112 (automne 2008), p. 19-20 : https://id.erudit.org/iderudit/19552ac

> Depuis « un certain cynisme » (Fabienne Larouche) et « parce que désormais la fin du monde ne pourra plus être prise à la légère » (Catherine Mavrikakis).
La presse, 7 sept. 2008

> Ce roman vous étreint dans une émotion d'une intensité rarement atteinte dans la littérature.
Le Point
  Joop-le-philosophe | Jan 30, 2019 |
Quel univers que celui, sec, dévasté et gris de McCarthy! Il est très difficile de décrire ce livre. Le père et le fils marchent. Ils marchent dans une Amérique détruite, brulée et ensevelie. Ils marchent à la recherche du bleu de la mer, à la recherche de la sérénité perdue, à la recherche d'un passé presque oublié. McCarthy a, par ce livre, exploré les sentiments profonds d'un homme face à la désolation, face à l'inimaginable et pour qui son fils constitue le seul lien avec ce qui reste de la vie. La route est un roman dépouillé qui déstabilise autant par sa forme que par son objet.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2009/07/la-route-cormac-mccarthy.html] ( )
  GIEL | Mar 3, 2015 |
Un père et son fils errent dans un décor post-apocalyptique. A ce stade du bouquin, rien n’est dit (pas besoin) mais on suppose qu’un conflit nucléaire a grande échelle a eu lieu et qu’un hiver atomique s’installe ou se dissipe à peine. Les paysages sont recouverts de cendres comme pour une éruption du volcan Pinatubo, la végétation est totalement morte. Il n’y a rien à tirer de la terre. On apprend rapidement que le gamin est né pendant ou peu après la catastrophe, ce qui nous dit que la situation dure déjà depuis quelques années.

Comme contexte à peu près similaires, je connais une BD un peu similaire : Neige de Convard et Gine aux éditions Glénat. Et il y a bien sûr Mad Max. A ceci près que ces anticipations sont bucoliques comparées à cette lecture.

Objectif ? Il fait froid, il faut aller dans le Sud et le livre s’attèle à nous raconter leur périple. C’est un combat permanent contre la faim, le froid et surtout les autres survivants. Comprenez qu’en quelques années, la terre ne produit rien, les plantes sont mortes et ont été bouffées, pareil pour les animaux les plus facilement rattrapables. Il ne reste à bouffer que des vieilles conserves trouvées dans les ruines et… les autres survivants. L’expression « l’homme est un loup pour l’homme » prend tout son sens. Si on croise un survivant non-agressif, il ne faut pas l’aider parce que le peu de bouffe qu’on lui donnerait pourrait nous être utile le lendemain ou pire, si on aide ce survivant en détresse, il nous poignardera dans le dos pour bouffer le petit. Dans ce contexte, les enfants ne sont pas un espoir pour l’humanité qu’on imagine déjà condamnée mais des proies plus faciles à attraper voire à la chair plus tendre…Rien de neuf à priori (j’ai déjà cité 2 œuvres qui relatent un contexte similaire…) à ceci près que McCarthy a un style très (excessivement ?) efficace. Tout est très simple, pas de contexte géopolitique posé, on ne sait rien sur rien, on ne perçoit que ce que le père perçoit, on a faim, on a froid, l’immersion est totale et c’est le stress à chaque paragraphe ou presque. C’est du « survival horror » sans une once d’invraisemblance et c’est ce qui nous plonge rapidement dans le malaise. On se doutait déjà de la fragilité physique et/ou mentale des hommes mais ce bouquin semble tellement réaliste qu’à mes yeux, il tient plus de la démonstration que de la fiction. ( )
1 voter Chassegnouf | Jan 4, 2014 |
Dans un monde post-apocalyptique, un père et son fils essaient de survivre. Jour après jour, ils luttent pour leurs besoins essentiels et se battent contre la peur et la mort. Une histoire froide, dure et d'un effrayant réalisme. Un livre très fort et véritablement une épreuve. ( )
  Steph. | Nov 24, 2013 |
Affichage de 1-5 de 20 (suivant | tout afficher)
Délaissant les paysages arides de l'Ouest américain, Cormac McCarthy imagine une planète ravagée par une apocalypse nucléaire, un monde d'une radicale hostilité où un homme et son fils tentent de survivre envers et contre tout.
ajouté par vibesandall | modifierLePoint (Jun 16, 2023)
 
But McCarthy’s latest effort, The Road, is a missed opportunity.
ajouté par vibesandall | modifierThe New Criterion, Stefan Beck (Oct 3, 2011)
 
Nicht minder bedeutend und nicht minder nobelpreiswürdig als die immer noch berühmteren, aber ebenso nobelpreislosen amerikanischen Kollegen Philip Roth und John Updike ist für Hubert Spiegel der Literat Cormac McCarthy. Dies Buch ist hierzulande, wohl der Verfilmung wegen im Deutschen erst jetzt erschienen, fast zeitgleich mit dem ihm im Original erst ein Jahr später folgenden "Die Straße". Spiegel bespricht sie in einer Kritik und betont, dass nur eines von beiden, nämlich dies hier ein wirkliches "Meisterwerk" ist, womöglich sogar McCarthys stärkstes Buch. Das Szenario ist postapokalyptisch. Spiegel: "Die Welt ist verbrannt, verkohlt, entseelt." Ein paar marodierende Menschen sind übrig, nicht einmal vor Kannibalismus schrecken sie zurück. Im Zentrum stehen, namenlos unterwegs, Vater und Sohn. Sie diskutieren moralische und metaphysische Fragen und wollen zum Meer. Eine totale Reduktion aufs Grundsätzliche, die der Rezensent Hubert Spiegel in diesem Fall mit Enthusiasmus quittiert .
ajouté par vibesandall | modifierFrankfurter Allgemeine Zeitung (Jun 7, 2008)
 
Alex Rühle gibt sich als langjähriger Cormac-McCarthy-Bewunderer zu erkennen, findet es aber dann doch ärgerlich, dass der amerikanische Autor ausgerechnet für "Die Straße" nun den Pulitzer-Preis erhalten hat, wo er doch schon so viel Besseres geschrieben habe. Immerhin erweist sich der Autor auch bei der völlig verwüsteten, verkohlten Landschaft, durch die ein Vater und sein Sohn nach einem nicht näher beschriebenen Krieg irren, noch als virtuoser Beschwörer der - in diesem Fall zerstörten - Natur, so der Rezensent bewundernd. Allerdings findet er den alles durchziehenden Ernst und die stets auf existentiellem Niveau schwingenden Dialoge auf die Dauer ziemlich anstrengend. Im Roman geht es stets ums nackte Überleben und um die Frage, angesichts der Katastrophe noch moralisch integer zu bleiben, meint Rühle, der einen kleinen Scherz hin und wieder zu schätzen gewusst hätte. Die Versatzstücke aus dem Horrorgenre kratzen zudem am Niveau des Romans, und am Ende hat der Rezensent gar den Eindruck, bei einem Hollywoodschinken a la "Conan, der Barbar" gelandet zu sein.
ajouté par vibesandall | modifierSüddeutsche Zeitung (Apr 26, 2007)
 
Für Angela Schader spaltet sich das Werk von Cormac McCarthy in den Insidertipp und den Bestseller, und sie macht deutlich, wo ihre Sympathien liegen. "Die Straße" bedient ihrer Einschätzung nach wieder das breite Publikum, was ihr Missfallen erregt. Vater und Sohn sind seit Jahren auf dem Weg durch eine völlig zerstörte Welt an die Küste, wo sie sich ein leichteres Leben und vor allem Sicherheit vor der allgegenwärtigen Gefahr, Kannibalen anheim zu fallen, erhoffen. Für die Rezensentin operiert der Roman mit einer allzu eindeutigen Moral, Gut und Böse seien zu eindimensional zugeordnet. Auch wenn, wie Schader einräumt, das Buch insbesondere in seinen endzeitlichen Szenarien sehr fesselnd ist, findet sie, dass es gerade durch seine Konzentration auf die Beziehung zwischen Vater und Sohn und wegen des abenteuerlichen Settings über Jugendbuch-Niveau kaum hinausgeht. Auch das etwas gezwungenen Happy End, das die Rezensentin fairer Weise nicht verrät, scheint ihr als Schwäche und so ist sie von dem Roman, der wie sie findet der Konstruktion nach einiges zu versprechen schien, ziemlich enttäuscht.
ajouté par vibesandall | modifierNeue Zürcher Zeitung (Apr 25, 2007)
 

» Ajouter d'autres auteur(e)s (18 possibles)

Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
McCarthy, Cormacauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Borràs, RosaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Chabon, MichaelPostfaceauteur secondairequelques éditionsconfirmé
DuBois, GérardIllustrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Golüke, GuidoTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Hansen, JanTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Hirsch, FrançoisTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Murillo Fort, LuisTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Oates, Joyce CarolIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Preis, ThomasTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Stechschulte, TomNarrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Testa, MartinaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Prix et récompenses

Distinctions

Listes notables

Vous devez vous identifier pour modifier le Partage des connaissances.
Pour plus d'aide, voir la page Aide sur le Partage des connaissances [en anglais].
Titre canonique
Titre original
Titres alternatifs
Date de première publication
Personnes ou personnages
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Lieux importants
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Évènements importants
Films connexes
Épigraphe
Dédicace
Ce livre est dédié à John Francis McCarthy
Premiers mots
Quand il se réveillait dans les bois dans l'obscurité et le froid de la nuit il tendait la main pour toucher l'enfant qui dormait à son côté.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
He'd not have thought the value of the smallest thing predicated on a world to come. It surprised him. That the space which these things occupied was itself an expectation (149).
From daydreams on the road there was no waking. He plodded on. He could remember everything of her save her scent. Seated in a theatre with her beside him leaning forward listening to the music. Gold scrollwork and sconces and the tall columnar folds of the drapes at either side of the stage. She held his hand in her lap and he could feel the tops of her stockings through the thin stuff of her summer dress. Freeze this frame. Now call down your dark and your cold and be damned.
He pulled the boy closer. Just remember that the things you put into your head are there forever, he said. You might want to think about that.

You forget some things, don't you?

Yes. You forget what you want to remember and you remember what you want to forget.
It took two days to cross that ashen scabland. The road beyond fell away on every side. It's snowing, the boy said. He looked at the sky. A single gray flake sifting down. He caught it in his hand and watched it expire there like the last host of christendom.
He thought if he lived long enough the world at last would be lost. Like the dying world the newly blind inhabit, all of it slowly fading from memory.
Derniers mots
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

In this postapocalyptic novel, a father and his son walk alone through burned America. Nothing moves in the ravaged landscape save the ash on the wind. It is cold enough to crack stones, and when the snow falls it is gray. They sky is dark. Their destination is the coast, although they don't know what, if anything, awaits them there. They have nothing; just a pistol to defend themselves against the lawless bands that stalk the road, the clothes they are wearing, a cart of scavenged food--and each other. This book boldly imagines a future in which no hope remains, but in which the father and his son, "each the other's world entire," are sustained by love. It is an unflinching meditation on the worst and the best that we are capable of: ultimate destructiveness, desperate tenacity, and the tenderness that keeps two people alive in the face of total devastation.--From publisher description.

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Aucun

Couvertures populaires

Vos raccourcis

Évaluation

Moyenne: (4.06)
0.5 30
1 248
1.5 23
2 506
2.5 110
3 1519
3.5 394
4 3504
4.5 617
5 4137

Est-ce vous ?

Devenez un(e) auteur LibraryThing.

 

À propos | Contact | LibraryThing.com | Respect de la vie privée et règles d'utilisation | Aide/FAQ | Blog | Boutique | APIs | TinyCat | Bibliothèques historiques | Critiques en avant-première | Partage des connaissances | 202,657,459 livres! | Barre supérieure: Toujours visible