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Charles Dickens, ne a Portsmouth dans le comte du Hampshire (1812-1870), est un romancier britannique. Il est le plus celebre des ecrivains anglais du dix neuvieme siecle. En 1833, il commence a ecrire des histoires qu'il fait publier dans des journaux et des magazines. Celles-ci furent republiees plus tard sous le titre de Esquisses par 'Boz'. En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Aventures de M. Pickwick. Avant que Pickwick ne s'acheve, Dickens, devenu en 1836 editeur du Recueil de Bentley avait entame la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837/39). Dickens publie La Vie et les Aventures de Nicolas Nickleby de 1838 a 1839 en revue mensuelle puis en episodes hebdomadaires: Le Magasin d'Antiquites de 1840 a 1841 et Barnabe Rudge en 1841. Viennent ensuite La Maison Desolee de 1852 a 1853, Les Temps difficiles en 1854 et Petite Dorrit de 1855 a 1857. Il retourna au roman historique avec Le Conte de Deux Cites en 1859 et a l'utilisation de la premiere personne dans Les Grandes Esperances de 1860 a 1861.… (plus d'informations)
JenniferRobb: Both have male protagonists who experience visions of the past and of the future and whose visions cause a behavioral change. Dickens's work is about Christmas while Kingsbury's is not.
JenniferRobb: Both books look at three different periods in the main characters life. In Dickens it is past, present, and future. In Blount, it is childhood, adulthood, and old age.
Utilisateur anonyme: The Greatest Gift is the book that was turned into It's a Wonderful Life, probably the second best Christmas story after A Christmas Carol!
Qui ne connaît pas le conte de Noël de Dickens ? Un classique parmi les classiques, non ? Je suis un peu à contre-saison, mais j’ai pris le prétexte de ce texte pour différer la lecture audio d’un texte autrement plus ardu auquel j’avais encore besoin de me préparer. Et finalement, grand bien m’en a pris car je me suis aperçue que finalement, je connaissais bien peu de cette longue nouvelle de Dickens. A mieux y réfléchir, je crois que j’ai découvert cette histoire en bande dessinée dans un des rares Je Bouquine que j’ai eus entre les mains, un magazine littéraire pour jeunes, qui présentait toujours une œuvre du patrimoine en bd, dans le but de donner envie de la découvrir. C’est donc bien des années plus tard que je m’y attèle, et ce fut un plaisir de découvrir un texte beaucoup plus riche que ce que j’en avais alors entraperçu. En particulier, j’ai beaucoup aimé la description de chacun des esprits, ainsi que leur aspect changeant. C’est l’image de la bd lue il y a probablement vingt cinq ans qui m’est apparue devant les yeux pour l’esprit des Noëls présents, je me souviens encore de ses couleurs vives tranchant avec un dessin oscillant partout ailleurs entre marron et gris, mais les esprits des Noëls passés et des Noëls futurs ont pris de l’épaisseur avec cette lecture. J’ai aussi plus voyagé, vu plus de noëls, assisté à la transformation de Scrooge et ce fut un plaisir. On retrouve aussi le Dickens politique, compagnon intellectuel de Victor Hugo, avec une critique ouverte des maisons de force, cette incroyable réalité dont j’ai pris conscience il y a finalement bien peu de temps, et grâce à la littérature. Certes, la transformation de Scrooge me paraît un peu trop rapide (il n’y a guère besoin de trois esprits, le premier aurait probablement suffi pour le convertir), certes elle ne se fait pas vraiment pour des bonnes raisons (c’est la peur de la punition après la mort qui l’emmène à changer, pas vraiment la compréhension de l’ignominie de son attitude), mais je suppose qu’il faut prendre en compte l’âge du livre et la période à laquelle il a été écrit, ainsi que la contrainte que s’impose Dickens de prendre l’esprit de Noël pour pivot de son intrigue. Et puis, il faut bien avouer que la plume de Dickens est une caresse bien agréable, avec de belles descriptions qui font de ce chant de Noël tout en prose un classique bien mérité. Il m’a été agréable de me frotter enfin à l’original, de découvrir toute la saveur qu’il renferme et que les adaptations édulcorent bien trop. Une belle lecture, donc, que je ne regrette pas d’avoir fait, même si c’est à contre saison !
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Marley was dead: to begin with. There is no doubt whatever about that. The register of his burial was signed by the clergyman, the clerk, the undertaker, and the chief mourner. Scrooge signed it: and Scrooge’s name was good upon ’Change, for anything he chose to put his hand to. Old Marley was as dead as a door-nail.
Para começar, quero ganatir que Marley estava morto. Sobre isso não havia a menor dúvida.
Citations
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"God bless us, every one!" said Tiny Tim, the last of all.
"Bah!" said Scrooge. "Humbug!"
Marley was dead: to begin with.
If you should happen, by any unlikely chance, to know a man more blest in a laugh than Scrooge's nephew, all I can say is I should like to know him too.
[This is when Scrooge is about to meet the Ghost of Christmas Past. The clock has struck 12 and he's wondering if it's noon or midnight, even though it's dark. He's not hearing people rushing around outside, though. Because the story was first published in 1843, this snark must be about the US depression of 1837-1844.]
... This was a great relief, because 'three days after sight of this First of Exchange pay to Mr. Ebenezer Scrooge or his order,' and so forth, would have become a mere United States security if there were no days to count by.
[Scrooge is waiting for the Ghost of Christmas Present to show up in his bedroom, which is filled with a ruddy light.]
... and which, being only light, was more alarming than a dozen ghosts, as he was powerless to make out what it meant, or would be at; and was sometimes apprehensive that he might be at that very moment an interesting case of spontaneous combustion, without having the consolation of knowing it.
[This was about bakers leaving their ovens available, for a small fee, for poor people to cook their dinners on Sundays and others wanting those ovens cold on the Sabbath. Scrooge wanted to know why the Ghost of Christmas Present would want to have those ovens closed on Sundays and deprive poor persons of a chance for their one real meal a week.]
'I seek!' exclaimed the Spirit.
'Forgive me if I am wrong. It has been done in your name, or at least in that of your family,' said Scrooge.
'There are some upon this earth of yours,' returned the Spirit, 'who lay claim to know us, and who do their deeds of passion, pride, ill-will, hatred, envy, bigotry, and selfishness in our name, who are as strange to us and all our kith and kin, as if they had never lived. Remember that, and charge their doings on themselves, not us.'
Derniers mots
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He had no further intercourse with Spirits, but lived upon the Total Abstinence Principle, ever afterwards; and it was always said of him, that he knew how to keep Christmas well, if any man alive possessed the knowledge. May that be truly said of us, and all of us! And so, as Tiny Tim observed, God bless Us, Every One!
Scrooge não voltou a encontrar os espíritos, embora tenha se tornado o homem que melhor sabia festejat o Natal. Oxalá isso aconteça com todos nós! E, como dizia o pequeno Tim, que Deus nos abençoe a todos!
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This work contains various editions of the unabridged book "A Christmas Carol" by Charles Dickens. Please do not combine it with adaptations or abridgments, or with collections that contain additional works.
I am assuming (without any evidence!) that the Puffin children's edition is an adaptation: if you know that it is NOT, please combine with the main work, otherwise leave it be.
Specially edited for reading aloud before an audience.
ISBN 1568461828 is not a DK Eyewitness Classics edition.
ISBN 1580495796 is "Unabridged with glossary and reader's notes." "This Prestwick House edition, is an unabridged republication of A Christmas Carol, published by George Routledge and Sons, London."
Charles Dickens, ne a Portsmouth dans le comte du Hampshire (1812-1870), est un romancier britannique. Il est le plus celebre des ecrivains anglais du dix neuvieme siecle. En 1833, il commence a ecrire des histoires qu'il fait publier dans des journaux et des magazines. Celles-ci furent republiees plus tard sous le titre de Esquisses par 'Boz'. En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Aventures de M. Pickwick. Avant que Pickwick ne s'acheve, Dickens, devenu en 1836 editeur du Recueil de Bentley avait entame la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837/39). Dickens publie La Vie et les Aventures de Nicolas Nickleby de 1838 a 1839 en revue mensuelle puis en episodes hebdomadaires: Le Magasin d'Antiquites de 1840 a 1841 et Barnabe Rudge en 1841. Viennent ensuite La Maison Desolee de 1852 a 1853, Les Temps difficiles en 1854 et Petite Dorrit de 1855 a 1857. Il retourna au roman historique avec Le Conte de Deux Cites en 1859 et a l'utilisation de la premiere personne dans Les Grandes Esperances de 1860 a 1861.
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Et finalement, grand bien m’en a pris car je me suis aperçue que finalement, je connaissais bien peu de cette longue nouvelle de Dickens. A mieux y réfléchir, je crois que j’ai découvert cette histoire en bande dessinée dans un des rares Je Bouquine que j’ai eus entre les mains, un magazine littéraire pour jeunes, qui présentait toujours une œuvre du patrimoine en bd, dans le but de donner envie de la découvrir. C’est donc bien des années plus tard que je m’y attèle, et ce fut un plaisir de découvrir un texte beaucoup plus riche que ce que j’en avais alors entraperçu. En particulier, j’ai beaucoup aimé la description de chacun des esprits, ainsi que leur aspect changeant. C’est l’image de la bd lue il y a probablement vingt cinq ans qui m’est apparue devant les yeux pour l’esprit des Noëls présents, je me souviens encore de ses couleurs vives tranchant avec un dessin oscillant partout ailleurs entre marron et gris, mais les esprits des Noëls passés et des Noëls futurs ont pris de l’épaisseur avec cette lecture. J’ai aussi plus voyagé, vu plus de noëls, assisté à la transformation de Scrooge et ce fut un plaisir. On retrouve aussi le Dickens politique, compagnon intellectuel de Victor Hugo, avec une critique ouverte des maisons de force, cette incroyable réalité dont j’ai pris conscience il y a finalement bien peu de temps, et grâce à la littérature.
Certes, la transformation de Scrooge me paraît un peu trop rapide (il n’y a guère besoin de trois esprits, le premier aurait probablement suffi pour le convertir), certes elle ne se fait pas vraiment pour des bonnes raisons (c’est la peur de la punition après la mort qui l’emmène à changer, pas vraiment la compréhension de l’ignominie de son attitude), mais je suppose qu’il faut prendre en compte l’âge du livre et la période à laquelle il a été écrit, ainsi que la contrainte que s’impose Dickens de prendre l’esprit de Noël pour pivot de son intrigue.
Et puis, il faut bien avouer que la plume de Dickens est une caresse bien agréable, avec de belles descriptions qui font de ce chant de Noël tout en prose un classique bien mérité. Il m’a été agréable de me frotter enfin à l’original, de découvrir toute la saveur qu’il renferme et que les adaptations édulcorent bien trop. Une belle lecture, donc, que je ne regrette pas d’avoir fait, même si c’est à contre saison !