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Chargement... La Promenade au phare (1927)par Virginia Woolf
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How was it that, this time, everything in the book fell so completely into place? How could I have missed it - above all, the patterns, the artistry - the first time through? How could I have missed the resonance of Mr Ramsay's Tennyson quotation, coming as it does like a prophecy of the first world war? How could I not have grasped that the person painting and the one writing were in effect the same? ("Women can't write, women can't paint..." ) And the way time passes over everything like a cloud, and solid objects flicker and dissolve? And the way Lily's picture of Mrs Ramsay - incomplete, insufficient, doomed to be stuck in an attic - becomes, as she adds the one line that ties it all together at the end, the book we've just read? "To the Lighthouse" has not the formal perfection, the cohesiveness, the intense vividness of characterization that belong to "Mrs. Dalloway." It has particles of failure in it. It is inferior to "Mrs. Dalloway" in the degree to which its aims are achieved; it is superior in the magnitude of the aims themselves. For in its portrayal of life that is less orderly, more complex and so much doomed to frustration, it strikes a more important note, and it gives us an interlude of vision that must stand at the head of all Virginia Woolf's work. Appartient à la série éditorialeAldina (11) Biblioteca Folha (9) — 27 plus Everyman's Library (949) Penguin English Library, 2012 series (2018-06) Penguin Modern Classics (2165) La temerària (10) A tot vent (216) 池澤夏樹個人編集 世界文学全集 (2-1) Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansContient une étude deThe Things That Matter: What Seven Classic Novels Have to Say About the Stages of Life par Edward Mendelson Contient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiant
La famille Ramsay, huit enfants, reçoit comme chaque année des amis. Puis la mort survient, celle de la mère et de deux des enfants, et la maison est abandonnée. Une dizaine d'années après, c'est le retour à la maison. Tout cela dominé, en toile de fond, par une promenade vers une île et son phare. Difficile de cerner les faits, ce texte est surtout une analyse des sentiments, un vagabondage des pensées de chacun des personnages du roman. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.912 — Literature English {except North American} English fiction Modern Period 1901-1999 1901-1945Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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> « Ce sera assez court, note Virginia Woolf dans son Journal. Rien ne manquera au caractère de Père. Il y aura aussi Mère, Saint-Ives, l'enfance et toutes les choses habituelles que j'essaie d'inclure, la vie, la mort, etc. »
> VOYAGE AU PHARE, par Virginia Woolf (Le Livre de Poche - 1983, Poche, 277 pages). — À 43 ans, jusqu'alors hantée par la disparition prématurée de sa mère et par le despotisme intellectuel et affectif de son père, Virginia Woolf se décide enfin à les placer au centre de son écriture. Avec passion et, pour la première fois, avec une immense facilité, elle se jette dans ce poème psychologique, chaque page la délivrant peu à peu et définitivement de ses souvenirs. Au rythme de trois parties inégales, trois vagues d'une mer intranquille, elle ouvre les fenêtres de la demeure de vacances des îles Hébrides aux souvenirs d'abord, puis au temps qui passe, silencieux, qui empoussière et jaunit la maison, et enfin à l'âme intemporelle des siens et de ce passé qui la constitue.
À peine pose-t-elle sa plume que Leonard, son mari, crie au chef-d'oeuvre. Virginia Woolf elle-même considère cet ouvrage comme le meilleur de ses livres. Elle y perçoit à la perfection les "flux de la conscience", illuminés par ces miracles quotidiens qui donnent sens à la vie comme autant d'"allumettes inopinément frottées dans le noir"... Ou comme les feux alternatifs d'un phare.
--Laure Anciel, Amazon.fr