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Chargement... L'Elegance du Herisson (French Edition) (original 2006; édition 2009)par Muriel Barbery
Information sur l'oeuvreL'élégance du hérisson par Muriel Barbery (2006)
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Une histoire magnifique. Un texte sensible et très bien écrit. Tout ce qu'il faut pour entrer dans ces personnages singuliers de Renée, Paloma ou Kakuro. ( ) > L'élégance du hérisson, de Muriel BARBERY (Gallimard, Paris 2006, 360 pages) Se reporter à la critique de Hans-Jürgen GREIF In: (2008). Compte rendu de [Nouveautés]. Québec français, (149), p. 10… ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/1721ac > L'élégance du hérisson, de Muriel BARBERY (Gallimard, coll. Folio, 2010) Se reporter au compte rendu de Pierre PARÉ In: (2011). Compte rendu de [Coups de coeur à partager]. Entre les lignes, 7 (2), p. 7… ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/62393ac > La surprise est jolie et le succès mérité pour cette enseignante en philosophie qui croque de si réjouissante façon les personnages et les situations... Les plaisirs minuscules de l'existence, ces instants parfaits où, parfois, tout bascule, Barbery les saisit avec la nostalgie atemporelle d'un Marcel Proust et la fraîcheur d'un Philippe Delerm. Drôle, intelligent et servi par une langue mélodieuse, ce conte philosophique a quelque chose de japonais : gravement léger, aérien comme un haïku. —(Anne Berthod – L'Express du 23 novembre 2006) > Dire que Muriel Barbery est douée serait rester en dessous de la vérité. Elle est comme l'orgue, un orchestre à elle seule. Capable de faire entendre les jeux les plus variés, l'érudit, le bouffon, le moqueur, l'ému, le polémique, le truculent... Elle a un humour dévastateur. Plus rare encore, le sens de l'inattendu. On pleure de rire en la lisant. Et ce n'est que son deuxième roman. Si elle est, à 37 ans, capable d'une telle virtuosité, que sera-ce demain ? —(Jacques Nerson – Le Nouvel Observateur du 23 novembre 2006) > Elle dit également qu'elle écrit de manière désordonnée – alors que dans son livre, c'est justement cette structure de narration alternée et très travaillée que l'on remarque, de même que l'architecture savamment étudiée d'une galerie de personnages animée par trois acteurs forts et psychologiquement bien pensés : la concierge, l'adolescente riche et surdouée qui veut se suicider, et le nouveau locataire japonais, riche également, veuf, et amateur d'art – il y a de belles envolées sur l'art et la culture dans cet ouvrage. Renée, n'est pas ce que l'on peut appeler une héroïne, et elle n'est même pas sympathique – au début tout au moins. Cette concierge de 54 ans, qui officie depuis près de trente années au 7, rue de Grenelle, est une veuve, «rarement aimable», «une haleine de mammouth», «petite, laide, grassouillette», «des oignons aux pieds», qui manie l'ironie avec générosité. Personne n'échappe à ses sarcasmes. En fait, derrière la concierge se cache une férue de philosophie. Les apparences sont trompeuses : c'est l'un des messages simples de ce récit, écrit dans un style vraiment piquant, drôle, léger et érudit. Un roman qui pourrait entrer dans le registre des contes, sans leur côté puéril, avec une dose d'insolence même. Bien sûr, il est difficile d'expliquer les raisons d'un succès qui a été, avant tout, porté par le formidable travail des libraires – Muriel Barbery a d'ailleurs décroché le prix des libraires. Mais on peut dire que c'est un livre bien. De L'Élégance du hérisson, son auteur souligne qu'elle s'est fait plaisir en l'écrivant. Un plaisir largement partagé. —(Mohammed Aïssaoui – Le Figaro du 10 mai 2007) — Marx change totalement ma vision du monde, m’a déclaré ce matin le petit Pallières qui ne m’adresse d’ordinaire jamais la parole. [M.B.] Tiens, encore un roman dont la trame se déroule entièrement sous la même adresse. Cette fois-ci, c'est le "7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe, tous habités, tous gigantesques". Certains explorent ce type de romans pour trouver un mode d'emploi de la vie, pour ma part je recherche La vie, mode d'emploi. Mais, contrairement à ma lecture fétiche, ici, nous ne parcourerons pas l'ensemble des espaces habités de l'hôtel. Nous serons surtout dans la loge de la concierge, Renée, qui sera avec Paloma, une jeune désespérée au regard de l'absurdité de la vie, l'une des protagonistes de cette histoire de choc des classes, de ce conte où deux voix se succèdent pour décrire la réalité changeante de leur immeuble et de ses habitants. Si les deux voix n'ont pas la même histoire de vie, l'une a cinquante quatre ans, l'autre assume ses douze années, elles partagent une approche philosophique, un certain angle de vue sur le monde. Dans cet univers établi, un atome libre venu du Japon viendra bouleverser l'équilibre et une autre histoire débute. « Travaille-t'on sur Platon, Épicure, Descartes, Spinoza, Kant, Hegel ou même Husserl ? Sur l'esthétique, la politique, la morale, l'épistémologie, la métaphysique ? Se consacre-t-on à l'enseignement, à la constitution d'une œuvre, à la recherche, à la Culture ? C'est indifférent. Car, en pareille matière, seule importe l'intention : élever la pensée, contribuer à l’intérêt commun ou bien rallier une scolastique qui n'a d'autre objet que sa propre perpétuation et d'autre fonction que l’autoreproduction de stériles élites — par où l'Université devient secte. »[M.B.] « Ceux qui savent faire font, ceux qui ne savent pas faire enseignent, ceux qui ne savent pas enseigner enseignent aux enseignants et ceux qui ne savent pas enseigner aux enseignants font de la politique. » [M.B.] « Le futur, ça sert à ça : à construire le présent avec des vrais projets de vivants. »[M.B.] http://rivesderives.blogspot.ca/2014/02/l-du-herisson-muriel-barbery.html Malgré quelques considérations philosophiques sur l'Art et la Beauté qui alourdissent le récit, ce roman est très réussi, plein d'humanité, de tendresse et en plus, très drôle. Les personnages sont bien sentis : de la concierge érudite, au mystérieux locataire japonais, en passant par la jeune ado surdouée. Trouvant généralement les romans français ennuyeux, j'ai été agréablement surprise par celui-ci alors que ce n'était pas franchement gagné au départ. Difficile d'aller à contre-courant, ai-je vraiment été la seule à détester ce livre ? L'auteur semble avoir pour seul but de nous faire prendre conscience de notre ignorance en étalant avec pédanterie son "savoir" sur tout ou presque. Pas d'intrigue ou si peu, des personnages clichés, une fin mélodramatique. Et la nécessité absolue du dictionnaire à portée de main. Pauvres hérissons ! Ils ne méritaient pas cela.
Barbery’s sly wit, which bestows lightness on the most ponderous cogitations, keeps her tale aloft. Le Figaro has described this book as 'the publishing phenomenon of the decade'. Elsewhere, there were comparisons to Proust. It sold more than a million copies in France last year and has won numerous awards. Does it match up to the hype? Almost. It is a profound but accessible book (not quite Proust, then), which elegantly treads the line between literary and commercial fiction. Even when the novel is most essayistic, the narrators’ kinetic minds and engaging voices... propel us ahead. Efter en något trög första del, förvandlades Igelkottens elegans till en liten pärla, till en bok som berörde mig. Och jag som sällan läser om böcker, funderar skarpt på att läsa om. Därefter blir ”Igelkottens elegans” en fråga om ett ganska enkelt demaskerande och en ännu enklare trivialpsykologisk analys. Men fram till dess skrockar man förnöjt när Renée och Paloma var och en på sitt håll övertrumfar varandra i knivskarpa beskrivningar av den korkade och obildade parisiska överklassen och dess själsliv – tunt som en kålsoppa utan kål. Prix et récompensesDistinctionsListes notables
"Je m'appelle Re?e, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, ?en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme ?l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait ?l'i?e de personne que je suis plus lett?e que tous ces riches suffisants. Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis trs? longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal ?poissons, la vacui? et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais? Il se trouve que je suis trs? intelligente. Exceptionnellement intelligente, mm?e. C'est pour ? que j'ai pris ma ?cision : ?la fin de cette an?e scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai." -- Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-premièreLe livre The Elegance of the Hedgehog [Audio Edition] de Muriel Barbery était disponible sur LibraryThing Early Reviewers. Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.92Literature French and related languages French fiction Modern Period 21st CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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