Un excellent roman, subtil dans ses interrogations sur la quête et la valeur de la vérité, parfaitement mises en abyme via le format du roman policier. A défaut de proposer des personnages extrêmement fouillés, il met très bien en scène les interrogations philosophiques et théologiques de moines d’obédiences opposés (bénédictins et franciscains, notamment). Questionnements sur la vérité et la foi sont ici entremêlés de façon subtile. ( )

The film was good. but the book is better. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Eco-Le-nom-de-la-rose/4561
> Le Livre de Poche (celiatas) : https://fr.calameo.com/books/0043038443afedcb9a996
> Nouvelles Clés, (24), (Juillet-Août 1992), pp. 44-45 : https://drive.google.com/file/d/1t2odJYUbyFJ9kW_FK5EKYBa0EQFSVo6V/view?usp=shari...

> LE NOM DE LA ROSE, par Umberto Eco. — Nous sommes au Moyen-Âge. Un moine et son disciple sont accueillis dans une abbaye. Un incident survient… En dépit de sa réputation, le moine mène une enquête envers et contre tous. Et tous semblent le craindre… parce l'inquisition arrive à grand pas!
-- Eco nous trame une intrigue que seul un esprit anachronique douè d'un sens "LA BIBLIOTHEQUE EST LE PERSONAGE CENTRAL DU ROMAN…. ARISTOTE COMIQUE???
--Ronald Garceau (ICI.Radio-Canada.ca)

> LE NOM DE LA ROSE, par Umberto Eco. — An de grâce 1327, la chrétienté est en crise. L'ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville se rend dans une abbaye bénédictine du Sud de la France pour participer à une rencontre entre franciscains prônant la pauvreté du Christ et partisans d'un pape amateur de richesses. Dès son arrivée, il se voit prié par l'abbé de découvrir au plus vite la raison de la mort violente d'un de ses moines, retrouvé assassiné. L'inquisiteur Bernard Gui, dont la réputation de cruauté n'est plus à faire, est attendu, et l'abbé craint pour l'avenir de son abbaye. Tel un ancêtre de Sherlock Holmes, Baskerville se met à l'ouvrage, assisté du jeune Adso de Melk. D'autres morts vont venir compliquer sa tâche.
Porté à l'écran par Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery dans le rôle de Guillaume, Le Nom de la Rose fait date dans l'histoire des romans policiers historiques. Umberto Eco n'est pas seulement un romancier, c'est surtout un érudit qui connaît son sujet sur le bout des doigts. Il entraîne le lecteur dans une aventure à la fois philosophique et policière, où il est question d'Aristote, de liberté, d'injustice et de cyanure. Un roman exceptionnel.
--Lisa B.

> LE NOM DE LA ROSE, par Umberto Eco. — En l’an de grâce et de disgrâce 1327, rien ne va plus dans la chrétienté. Des bandes d'hérétiques sillonnent les royaumes. Lorsque Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, arrive dans le havre de sérénité et de neutralité qu'est l'abbaye située entre Provence et Ligurie – que tout l'Occident admire pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque –, il est aussitôt mis à contribution par l’abbé. La veille, un moine s’est jeté du haut des murailles. C’est le premier des assassinats qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique. Crimes, stupre, vice, hérésie, tout va advenir en l’espace de sept jours.
Sous sa forme amusante de roman policier et savante de devinette érudite, un vibrant plaidoyer pour la liberté, pour la mesure, pour la sagesse, menacées de tous côtés par les forces de la déraison et de la nuit.
--Dominique Fernandez, L’Express.

Prix Médicis étranger 1982.

> …un vibrant plaidoyer pour la liberté, pour la mesure, pour la sagesse, menacées de tous côtés par les forces de la déraison et de la nuit.
--Dominique Fernandez, L'Express

> Le Nom de la rose est d'abord un grand roman policier pour amateurs de criminels hors pair qui ne se découvrent qu'à l'ultime rebondissement d'une enquête allant à un train d’enfer, entre humour et cruauté, malice et séductions érotiques…
--Le Livre de Poche

> LE NOM DE LA ROSE, par Umberto Eco. — Lorsque l’ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville se rend dans une abbaye bénédictine, il ne s’attend pas à reprendre ses fonctions suite au meurtre d’un moine. Sur fond d’intrigue politique et théologique au XIV siècle, Umberto Eco nous amène, grâce au jeune Adso, assistant de Guillaume, à découvrir ce qui se cache derrière les apparences, que ce soit pour résoudre une enquête, lire l’âme humaine ou interroger la foi. Un roman policier médiéval à l’humour subtil et plein de références qui sont autant de portes s’ouvrant habilement vers d’autres histoires.
--Aurélie Janssens, Librairie Page et Plumes à Limoges (87)

Un roman monde sur le savoir, l'histoire, les envies des hommes, l'ouverture et la fermeture, l'amour. Une oeuvre magistrale toujours relue avec plaisir où l'accumulation des signes envient les hommes sur de fausses pistes en pensant que ce sont les bonnes. ( )

J'ai adoré. Un des tout grands livres que je retiens. Une très belle intrigue soutenue par une connaissance historique de haut niveau et une écriture minutieuse.

De la grande littérature à mes yeux. ( )