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Chargement... Kafka sur le rivage (2002)par Haruki Murakami
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Le site VendrediLecture dans son petit jeu du lundi soumettait le défi de décrire notre lecture à l'aide de six mots, ni plus ni moins. Lisant à ce moment-là Kafka sur le rivage, j'ai soumis « Conte initiatique, métaphore de la vie». (ici) Cela me paressait assez juste. Mais Murakami, dès les premières pages, nous offre aussi un résumé du roman : «Le jour de mes quinze ans, je ferai une fugue, je voyagerai jusqu'à une ville inconnue et lointaine, et trouverai refuge dans une petite bibliothèque.» [H.M.] Et pour la métaphore, qui revient tout au long de notre lecture, Murakami prend Goethe à témoin : «Comme disait Goethe, la création tout entière est une métaphore.» [H.M.] Je mettrais en exergue plein de passages de Kafka sur le rivage. C'est une lecture qui m'a accompagné pendant un bon moment, le roman fait un bon nombre de pages, mais elle a occupé aussi mes réflexions, mes regards sur moi et sur le monde. «Tout en ce monde est constamment en mouvement. La Terre, le temps, les idées, l'amour, la vie, la foi, la justice, le mal. Tout est fluide, tout est transitoire. Rien ne reste éternellement au même endroit, sous la même forme. L'univers lui-même est une sorte d'énorme service postal.» [H.M.] Montaigne, à ce sujet, n'écrivait-il pas :« Le monde est une branloire pérenne. Toutes choses y branlent sans cesse [...] La constance mesme n'est autre chose qu'un branle plus languissant?» Des siècles de distance, des mondes différents, et pourtant un regard semblable. «- Ce qui est en train de se passer n'est pas ta faute, dit-il. Ni la mienne. Ni la faute d'une prédiction ou d'une malédiction. Ni de l'ADN, ni de l'absurdité du monde, ni du structuralisme, ni de la troisième révolution industrielle. Si nous mourons et disparaissons, c'est parce que le monde repose sur un mécanisme d'anéantissement et de perte. Nos existences ne sont rien d'autre que les ombres projetées par ce principe.» [H.M.] Haruki Murakami est amateur de musique, amateur de jazz, de classique, de rock, amateur de musique, quoi. Cela est présent dans toute son oeuvre et à ce titre, Kafka sur le rivage ne fait pas exception. La musique nous accompagne, que ce soit Crossroads par Cream, une oeuvre pianistique de Schubert, du Duke Ellington, le trio « À l'Archiduc » de Beethoven avec Rubinstein, ou Sergent Pepper's Lonely Hearts Club Band parmi plein d'autres pièces. Certains ont fait des compilations des morceaux de musique qui parsèment l'oeuvre de Murakami, on peut y consacrer plusieurs heures d'écoute. «Un corbeau crie à tue-tête au-dessus de moi. Ce cri perçant serait-il un avertissement, à moi destiné?» [H.M.] «Par-delà le bord du monde, il est un espace où le vide et la substance se superposent, où passé et présent forment une boucle.» [H.M.] Est-il nécessaire que je précise que l'univers de Murakami m'a séduit? Je fais le souhait que vous le croisiez dans une lecture prochaine. [http://rivesderives.blogspot.ca/2016/11/kafka-sur-le-rivage-haruki-murakami.html] étrange Quelle tendresse ! A lire intensément ! Une forme de fantastique qui me déroute et dans laquelle je n'entre pas ; une histoire un peu trop lourdement symbolique pour que je la trouve réellement envoûtante. Mais de beaux personnages, notamment bien sûr celui de Nakata
The weird, stately urgency of Murakami's novels comes from their preoccupation with . . . internal problems; you can imagine each as a drama acted out within a single psyche. In each, a self lies in pieces and must be put back together; a life that is stalled must be kick-started and relaunched into the bruising but necessary process of change. Reconciling us to that necessity is something stories have done for humanity since time immemorial. Dreams do it, too. But while anyone can tell a story that resembles a dream, it's the rare artist, like this one, who can make us feel that we are dreaming it ourselves. Maar net zoals in de rest van Murakami’s omvangrijke oeuvre blijft het niet bij het wegloop-realisme van de hoofdpersoon. Onverklaarbare wendingen, bovennatuurlijke verschijnselen, irreële toevalligheden en onwaarschijnlijke personages roepen bij de nuchtere lezer al snel de vraag op waarom hij in godsnaam maar blijft dóórlezen. Kafka Tamura se va de casa el día en que cumple quince años. La razón, si es que la hay, son las malas relaciones con su padre, un escultor famoso convencido de que su hijo habrá de repetir el aciago sino del Edipo de la tragedia clásica, y la sensación de vacío producida por la ausencia de su madre y su hermana, a quienes apenas recuerda porque también se marcharon de casa cuando era muy pequeño. El azar, o el destino, le llevarán al sur del país, a Takamatsu, donde encontrará refugio en una peculiar biblioteca y conocerá a una misteriosa mujer mayor, tan mayor que podría ser su madre, llamada Saeki. Si sobre la vida de Kafka se cierne la tragedia –en el sentido clásico–, sobre la de Satoru Nakata ya se ha abatido –en el sentido real–: de niño, durante la segunda guerra mundial, sufrió un extraño accidente que lo marcaría de por vida. En una excursión escolar por el bosque, él y sus compañeros cayeron en coma; pero sólo Nakata salió con secuelas, sumido en una especie de olvido de sí, con dificultades para expresarse y comunicarse... salvo con los gatos. A los sesenta años, pobre y solitario, abandona Tokio tras un oscuro incidente y emprende un viaje que le llevará a la biblioteca de Takamatsu. Vidas y destinos se van entretejiendo en un curso inexorable que no atiende a razones ni voluntades. Pero a veces hasta los oráculos se equivocan. ”Hurra!” ”Et stort verk, men likevel lekende lett lesning.” ContientContient un guide de lecture pour étudiant
"Un adolescent, Kafka Tamura, quitte la maison familiale de Tokyo pour e chapper a une male diction oedipienne profe re e par son pe re. De l'autre co te de l'archipel, Nakata, un vieil homme amne sique, de cide lui aussi de prendre la route. Leurs deux destine es s'entreme lent pour devenir le miroir l'une de l'autre, tandis que, sur leur chemin, la re alite bruisse d'un murmure envou tant." Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)895.635Literature Literature of other languages Asian (east and south east) languages Japanese Japanese fiction 1945–2000Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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> Florinette : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R1NBGORYL5ZDIX/
> Le Monde (René de Ceccatty, 12/01/2006) : https://www.lemonde.fr/livres/article/2006/01/12/une-demonstration-de-murakami_7...
> Le Temps (Eléonore Sulser, 23/12/2009) : https://www.letemps.ch/culture/litterature-kafka-rivage-simpose
> Lecturissime : http://www.lecturissime.com/2021/07/kafka-sur-le-rivage-de-haruki-murakami.html
> Critiques Libres : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/10885
> Télérama (Martine Laval, 27/01/06) : https://www.telerama.fr/livre/haruki-murakami-auteur-de-kafka-sur-le-rivage-ains...
> Le libraire, No 33 | Mars - Avril 2006 : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2562744
> Billault Alain. Œdipe au Japon : mythe et métaphore dans Kafka sur le rivage de Haruki Murakami.
In: Bulletin de l'Association Guillaume Budé, n°1,2011. pp. 225-242. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_2011_num_1_1_6776
> Nul besoin d'être familier de l'auteur pour se laisser dériver en sa compagnie au fil de ce splendide récit initiatique.
—Christine Gomariz (Paris Match)
> KAFKA SUR LE RIVAGE, de Haruki Murakami. — « C’est le troisième jour que je passe dans la cabane. Je m’habitue chaque jour davantage au silence et à la profondeur des ténèbres. Je n’ai plus vraiment peur de la nuit. » Le jeune Kafka Tamura s’est enfui de chez lui pour échapper, comme Œdipe dans la légende grecque, à une inquiétante prophétie. Il rencontre bientôt le vieux Nakata qui, malgré l’amnésie dont il souffre, va l’entraîner avec lui dans ses souvenirs... À moins que ce ne soient les souvenirs de tout un pays ? Haruki Murakami entremêle avec délicatesse histoire et réflexion. 10/18, coll. Domaine étranger, 640 p., 17,50$
—Le libraire