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Chargement... Station elevenpar Emily St. John Mandel
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![]() ![]() Un acteur célèbre monte sur les planches d'un théâtre bondé et meurt subitement d'une crise de cœur. Une artiste peaufine une bande dessinée depuis plusieurs années. Une troupe de théâtre sillonne le Canada et les États-Unis pour offrir un divertissement aux colonies survivantes d'une grippe ayant tué 98% de la population mondiale. Qu'ont tous ces gens en commun? C'est ce qu'on découvre dans ce roman. Il est difficile de résumer ce roman complexe, si bien ficelé. À la lecture, on entend presque l'auteure «tricoter» son scénario ponctué de scènes qui peuvent sembler décousues à prime abord, mais qui au fil des pages, s’emboîtent pour former une trame captivante. L'intrigue est lente: il ne s'agit pas d'un roman post-apocalyptique où le déclin de l'humanité nous plonge dans l'angoisse, la violence ou la mort. Cette dimension, habituellement au cœur de ce type de littérature, a été presque évacuée. Le roman porte davantage sur les relations humaines, l'amour, l'amitié, le deuil, le temps qui passe, etc. Les chapitres nous font voyager entre le «monde d'avant» et celui «d'après» où une pandémie de grippe mortelle a eu raison de la société telle qu'on la connait. Les personnages sont crédibles et on découvre peu à peu ce qui les anime et ce qu'ils ont en commun. Une lecture à recommander.
Station Eleven is not so much about apocalypse as about memory and loss, nostalgia and yearning; the effort of art to deepen our fleeting impressions of the world and bolster our solitude. Mandel evokes the weary feeling of life slipping away, for Arthur as an individual and then writ large upon the entire world. Survival may indeed be insufficient, but does it follow that our love of art can save us? If “Station Eleven” reveals little insight into the effects of extreme terror and misery on humanity, it offers comfort and hope to those who believe, or want to believe, that doomsday can be survived, that in spite of everything people will remain good at heart, and that when they start building a new world they will want what was best about the old. Mandel’s solid writing and magnetic narrative make for a strong combination in what should be a breakout novel. Appartient à la série éditorialePrix et récompensesDistinctionsListes notables
La 4e de couverture indique : "Un soir d’hiver à l’Elgin Theatre de Toronto, le célèbre acteur Arthur Leander s’écroule sur scène, en pleine représentation du Roi Lear. Plus rien ne sera jamais comme avant. Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe itinérante d’acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven. Ceux qui ont connu l’ancien monde l’évoque avec nostalgie, alors que la nouvelle génération peine à se le représenter. De l’humanité ne subsistent plus que l’art et le souvenir. Peut-être l’essentiel." Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.6Literature English (North America) American fiction 21st CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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