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peine sorti de prison, Ombre apprend que sa femme et son meilleur ami viennent de mourir dans un accident de voiture et qu'ils taient amants. Seul et dsempar, il accepte de travailler pour l'nigmatique Voyageur qui se prtend Roi de l'Amrique. Entran dans une aventure o ceux qu'il rencontre semblent en savoir plus sur ses origines que lui-mme, Ombre va dcouvrir que son rle dans les desseins de Voyageur est bien plus dangereux qu'il aurait pu l'imaginer. Car, alors que menace un orage d'apocalypse, se prpare une guerre sans merci entre les anciens dieux saxons des premiers migrants, passs la postrit sous les traits des super-hros de comics, et les nouveaux dieux barbares de la technologie et du consumrisme qui prosprent aujourd'hui en Amrique… Un roman fantastique culte, lu par le doubleur en franais d'Ombre dans la srie tl produite en 2017.… (plus d'informations)
Utilisateur anonyme: It's a great collection all around but the kicker is this collection includes a novella about Shadow a couple years after the events of American Gods
moonstormer: Fragile Things contains a short story with the same character as is in American Gods. Both are highly recommended.
klarusu: The same sense of unreality layered over a real-world setting, the same undercurrent of humour but this time it's the Devil that lands in Moscow
guyalice: Neil Gaiman was surprised to discover that the concept of Eight Days of Luke was very similar to what he had initially planned for the plot of American Gods. He dropped the day-theme to avoid too many similarities and gave props to Wynne Jones.
rockhopper_penguin: I read these two books one after another. It wasn't a deliberate decision, but the two did seem to work well together. The books visit a few of the same places, and it's interesting to note how differently they are portrayed in each.
J'ai voulu participer à cette lecture commune du Book Club de Livraddict parce que j'ai été conquise par le roman Coraline du même auteur. Et c'est anecdotique, mais la couverture de ce American Gods dans cette édition m'a énormément plu.
Je dirais qu'il y a deux niveaux de lectures de cette oeuvre. Une première disons "en surface", notamment pour les gens comme moi qui ne sont pas forcément habitués à ce genre fantastique, et n'ont pas l'habitude de s'imprégner de ce genre d'univers.
Une deuxième plus approfondie qui pousse à la réflexion, et pour ça je remercie le bookclub et ses participants. ^^
American Gods, c'est l'histoire d'Ombre, ex-détenu de prison qui finit par sortir à la mort de sa femme et se voit approché par un curieux personnage qui lui propose de travailler pour lui sans réellement lui en dire plus. Ainsi, de voyages en voyages, Ombre va rencontrer de nombreux personnages tous plus mystérieux les uns que les autres, et qui vont lui faire vivre une sacré aventure.
Premier point : j'ai adoré l'écriture. Le style est génial, le langage parfois cru n'est jamais vulgaire, mais donne toute sa simplicité et crédibilité au récit.
L'histoire quant à elle est juste farfelue. Pour être honnête, j'ai aimé ce livre sans pour autant l'avoir compris dans son intégralité. Certains ont eu le courage de le faire et c'est selon moi la bonne méthode pour aborder l'oeuvre : se renseigner au fur et à mesure sur les personnages mythologiques qui interviennent dans le récit, afin de mieux l'appréhender.
J'ai aimé le jeu de piste qui consistait un peu à deviner quel personnage représentait quel dieu. J'ai aimé la multitude de personnages, les dialogues loufoques et les situations cocasses. Mais c'est aussi ce qui m'a souvent perdue ; beaucoup de scènes différentes, beaucoup de monde, des conversations étranges... Neil Gaiman a fait reposer son récit sur les non-dits, il n'explique pas forcément jusqu'au bout ses raisonnements. D'un côté c'est génial pour le lecteur qui peut laisser aller son imagination à tout va, mais quand c'est trop souvent, on se paume réellement.
On comprend tout de même que notre personnage est embarqué dans une guerre qui oppose les dieux "d'antan" aux dieux contemporains, ceux de la technologie et de la consommation.
Et c'est là qu'intervient le deuxième niveau de lecture. Tout ceci n'est qu'une énorme allégorie, une grande critique de la société actuelle (je déteste dire ça...) et peut-être de son côté religion. Alors a-t-il voulu attaquer la religion et nos croyances, ou plus particulièrement le consumérisme et le changement ? Difficile à dire, et pour avoir des pistes je vous recommande d'aller lire le topic sur Livraddict. Je n'aime pas les livres moralisateurs, mais j'ai aimé celui-là qui n'a pas seulement voulu nous donner une leçon. Il avait un côté moquerie innocente pure et simple qui m'a plu. Neil Gaiman constate, romance, et nous fait rire.
En tout cas je lirai la suite, Anansi Boys, et d'autres oeuvres de cet auteur. Il faut juste que je m'habitue à ce genre d'univers et de lecture.
Ombre vient de sortir de prison quand un étrange borgne qui se fait appeler "voyageur" l'embauche comme homme de main. sans aucune explication, voyageur entraine ombre à sa suite dans un étrange road movie : Il est en fait le dieu Odin, amené en Amérique par les premiers vikings et affaibli par le manque de croyance en lui. Menacé par les nouveaux dieux de l'Amérique, "media", le technicien et les autres, il tente de rallier tous les anciens dieux ramenés par les immigrants pour se battre pour leur survie. Ombre est balloté dans cette étrange guerre invisible pour le commun des mortels, entre mythe et réalité. Gaiman entretient un climat irréel et étrange tout au long du livre et on se demande comment tout cela va finir. Et cela ne finit pas comme on pourrait s'y attendre!
Un excellent livre, autant par son sujet (en quoi croient encore les américains?) que par la manière et le style. ( )
This is a fantastic novel, as obsessed with the minutiae of life on the road as it is with a catalogue of doomed and half-forgotten deities. In the course of the protagonist Shadow's adventures as the bodyguard and fixer of the one-eyed Mr Wednesday, he visits a famous museum of junk and the motel at the centre of the US, as well as eating more sorts of good and bad diner food than one wants especially to think about.
Part of the joy of American Gods is that its inventions all find a place in a well-organised structure. The book runs as precisely as clockwork, but reads as smoothly as silk or warm chocolate.
Gaiman's stories are always overstuffed experiences, and ''American Gods'' has more than enough to earn its redemption, including a hero who deserves further adventures.
"American Gods" is a juicily original melding of archaic myth with the slangy, gritty, melancholy voice of one of America's great cultural inventions -- the hard-boiled detective; call it Wagnerian noir. The melting pot has produced stranger cocktails, but few that are as tasty.
Sadly, American Gods promises more than it delivers. The premise is brilliant; the execution is vague, pedestrian and deeply disappointing. It's not bad, but it's not nearly as good as it could be. There are wonderful moments, but they are few and far between. This should be a massive, complex story, a clash of the old world and the new, a real opportunity to examine what drives America and what it lacks. Instead, it is an enjoyable stroll across a big country, populated by an entertaining sequence of "spot the god" contests.
American Gods is easily Gaiman's most amusing and entertaining work since Good Omens, his brilliant collaboration with Terry Pratchett. Interestingly, there are some plot points in common between the two novels -- here is clearly a theme that Gaiman tackles with glee and aplomb. If his name is not a household word yet, this book could well be the one that lands him that status.
With brilliance, Gaiman has painted a portrait of the American, as well as of America itself, and, in so doing, created a tale worthy to be placed alongside the finest of American literature. He has presented a mirror whereby, perhaps, Americans can better understand themselves.
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One question that has always intrigued me is what happens to demonic beings when immigrants move from their homelands. Irish-Americans remember the fairies, Norwegian-Americans the nisser, Greek-Americans the vryókolas, but only in relation to events remembered in the Old Country. When I once asked why such demons were not seen in America, my informants giggled confusedly and said, "They're scared to pass the ocean, it's too far," pointing out that Christ and the apostles never came to America.
—Richard Dorson, "A Theory For American Folklore," American Folklore and the Historian (University of Chicago Press, 1971)
CHAPTER ONE The boundaries of our country sir? Why sir, on the north we are bounded by the Aurora Borealis, on the east we are bounded by the rising sun, on the south we are bounded by the procession of the Equinoxes, and on the west by the Day of Judgement —The American Joe Miller's Jest Book
CHAPTER TWO They took her to the cemet'ry In a big ol' cadillac They took her to the cemet'ry But they did not bring her back. —old song
Dédicace
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For absent friends—Kathy Acker and Roger Zelazny, and all points between
Premiers mots
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Shadow had done three years in prison.
Citations
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Fiction allows us to slide into these other heads, these other places, and look out through other eyes. And then in the tale we stop before we die, or we die vicariously and unharmed, and in the world beyond the tale we turn the page or close the book, and we resume our lives. "A town isn't a town without a bookstore. It may call itself a town, but without a bookstore it knows it's not fooling a soul."
When people came to America they brought us with them. They brought me, and Loki, and Thor, Anansi and the Lion-God, Leprechauns and Kobalds and Banshees, Kubera and Frau Holle and Ashtaroth, and they brought you. We rode here in their minds, and we took root. We travelled with the settlers to the new lands across the ocean. The land is vast. Soon enough, our people abandoned us, remembered us only as creatures of the old land, as things that had not come with them to the new. Our true believers passed on, or stopped believing, and we were left, lost and scared and dispossessed, only what little smidgens of worship or belief we could find. And to get by as best we could. 'So that's what we've done, gotten by, out on the edges of things, where no-one was watching us too closely.'
Gods die. And when they truly die they are unmourned and unremembered. Ideas are more difficult to kill than people, but they can be killed, in the end.
All we have to believe with is our senses, the tools we use to perceive the world: our sight, our touch, our memory. If they lie to us, then nothing can be trusted. And even if we do not believe, then still we cannot travel in any other way than the road our senses show us; and we must walk that road to the end.
There's never been a true war that wasn't fought between two sets of people who were certain they were in the right. The really dangerous people believe they are doing whatever they are doing solely and only because it is without question the right thing to do. And that is what makes them dangerous.
* There is a secret that the casinos possess, a secret they hold and guard and prize, the holiest of their mysteries. For most people do not gamble to win money, after all, although that is what is advertised, sold, claimed, and dreamed. But that is merely the easy lie that gets them through the enormous, ever-open, welcoming doors. The secret is this: people gamble to lose money. They come to the casinos for the moment in which they feel alive, to ride the spinning wheel and turn with the cards and lose themselves, with the coins, in the slots. They may brag about the nights they won, the money they took from the casino, but they treasure, secretly treasure, the times they lost. It's a sacrifice, of sorts.
People imagine, and people believe: and it is that belief, that rock-solid belief, that makes things happen.
“Gods are great,” said Atsula, slowly, as if she were comprehending a great secret. “But the heart is greater. For it is from our hearts they come, and to our hearts they shall return…”
Derniers mots
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There are at least two different editions of this book. The original was published in 2001, and the tenth anniversary edition (Author's preferred text) was published in 2011. Please do not combine.
Directeur de publication
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peine sorti de prison, Ombre apprend que sa femme et son meilleur ami viennent de mourir dans un accident de voiture et qu'ils taient amants. Seul et dsempar, il accepte de travailler pour l'nigmatique Voyageur qui se prtend Roi de l'Amrique. Entran dans une aventure o ceux qu'il rencontre semblent en savoir plus sur ses origines que lui-mme, Ombre va dcouvrir que son rle dans les desseins de Voyageur est bien plus dangereux qu'il aurait pu l'imaginer. Car, alors que menace un orage d'apocalypse, se prpare une guerre sans merci entre les anciens dieux saxons des premiers migrants, passs la postrit sous les traits des super-hros de comics, et les nouveaux dieux barbares de la technologie et du consumrisme qui prosprent aujourd'hui en Amrique… Un roman fantastique culte, lu par le doubleur en franais d'Ombre dans la srie tl produite en 2017.
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Je dirais qu'il y a deux niveaux de lectures de cette oeuvre. Une première disons "en surface", notamment pour les gens comme moi qui ne sont pas forcément habitués à ce genre fantastique, et n'ont pas l'habitude de s'imprégner de ce genre d'univers.
Une deuxième plus approfondie qui pousse à la réflexion, et pour ça je remercie le bookclub et ses participants. ^^
American Gods, c'est l'histoire d'Ombre, ex-détenu de prison qui finit par sortir à la mort de sa femme et se voit approché par un curieux personnage qui lui propose de travailler pour lui sans réellement lui en dire plus. Ainsi, de voyages en voyages, Ombre va rencontrer de nombreux personnages tous plus mystérieux les uns que les autres, et qui vont lui faire vivre une sacré aventure.
Premier point : j'ai adoré l'écriture. Le style est génial, le langage parfois cru n'est jamais vulgaire, mais donne toute sa simplicité et crédibilité au récit.
L'histoire quant à elle est juste farfelue. Pour être honnête, j'ai aimé ce livre sans pour autant l'avoir compris dans son intégralité. Certains ont eu le courage de le faire et c'est selon moi la bonne méthode pour aborder l'oeuvre : se renseigner au fur et à mesure sur les personnages mythologiques qui interviennent dans le récit, afin de mieux l'appréhender.
J'ai aimé le jeu de piste qui consistait un peu à deviner quel personnage représentait quel dieu. J'ai aimé la multitude de personnages, les dialogues loufoques et les situations cocasses. Mais c'est aussi ce qui m'a souvent perdue ; beaucoup de scènes différentes, beaucoup de monde, des conversations étranges... Neil Gaiman a fait reposer son récit sur les non-dits, il n'explique pas forcément jusqu'au bout ses raisonnements. D'un côté c'est génial pour le lecteur qui peut laisser aller son imagination à tout va, mais quand c'est trop souvent, on se paume réellement.
On comprend tout de même que notre personnage est embarqué dans une guerre qui oppose les dieux "d'antan" aux dieux contemporains, ceux de la technologie et de la consommation.
Et c'est là qu'intervient le deuxième niveau de lecture. Tout ceci n'est qu'une énorme allégorie, une grande critique de la société actuelle (je déteste dire ça...) et peut-être de son côté religion. Alors a-t-il voulu attaquer la religion et nos croyances, ou plus particulièrement le consumérisme et le changement ? Difficile à dire, et pour avoir des pistes je vous recommande d'aller lire le topic sur Livraddict. Je n'aime pas les livres moralisateurs, mais j'ai aimé celui-là qui n'a pas seulement voulu nous donner une leçon. Il avait un côté moquerie innocente pure et simple qui m'a plu. Neil Gaiman constate, romance, et nous fait rire.
En tout cas je lirai la suite, Anansi Boys, et d'autres oeuvres de cet auteur. Il faut juste que je m'habitue à ce genre d'univers et de lecture.
Une belle découverte ! (