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Ged was the greatest sorcerer in all Earthsea, but once he was called Sparrowhawk, a reckless youth, hungry for power and knowledge, who tampered with long-held secrets and loosed a terrible shadow upon the world. This is the tale of his testing, how he mastered the mighty words of power, tamed an ancient dragon, and crossed death's threshold to restore the balance.… (plus d'informations)
ed.pendragon: The protagonist who starts from humble beginnings to become a powerful mage may be a cliche, but in both these series beginnings there is a carefully thought-out alterative world with sympathetic characters.
Cette critique se rapporte aux quatre premiers volumes de la série « Terremer ».
Terremer est une bien étrange collection de livres. Dans un monde fait d’une multitude d’îles qui forment un ensemble cohérent tout en conservant leurs particularités, ce cycle de fantasy est centré sur un personnage, Ged, et différentes étapes de sa vie. Les trois premiers livres peuvent être lus indépendamment les uns des autres, tandis que le quatrième est réellement dans la continuité des tomes deux et trois. Il est étrange de constater qu’il y a bien peu d’action dans ces livres. Il est surtout question de voyages (en bateau, notamment, à bord du Voitloin), de paysages. L’action ne vient souvent que dans les 50, voire les 20, dernières pages, comme si l’auteur se souvenait que c’était le prétexte du livre et qu’il faudrait bien qu’elle en dise un mot… C’est donc un livre qu’il faut lire plus pour la construction du monde qui est présenté que pour un bon livre de fantasy classique. Il y a bien de la magie, des dragons et tout et tout, mais c’est plus pour les voir évoluer dans de beaux paysages que pour les voir s’affronter ou affronter le mal qu’il faut lire ce livre. Si chaque livre est construit de la même façon, ce n’est pas pour autant qu’ils sont identiques. C’est comme si chacun avait son propre thème. En simplifiant, on pourrait dire que : - Le Sorcier de Terremer est sur l’apprentissage et la connaissance de soi, dans le bien et dans le mal. - Les tombeaux d’Atuan, sous couvert d’une histoire très sombre, est sur la liberté de choisir sa vie (en opposition à la pré-destination). - L’Ultime rivage regarde la mort de près et le sens que l’on peut donner à notre propre finitude. - Tehanu, qui se démarque du reste du cycle, explore la vie simple par rapport à la vie d’aventure et la place de la femme dans la société (avec des thèses qui ne me plaisent pas trop d’ailleurs).
Ce type de livre est une découverte pour moi, pas désagréable, mais je ne suis pas certaine que cela me convertisse tout à fait à ce genre. A lire à petites bouchées, de temps à autre, peut-être…
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Only in silence the word, only in dark the light, only in dying life: bright the hawk's flight on the empty sky. —The Creation of Éa
Dédicace
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To my brothers Clifton, Ted, Karl
Premiers mots
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The island of Gont, a single mountain that lifts its peak a mile above the storm-racked Northeast Sea, is a land famous for wizards.
Citations
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It is very hard for evil to take hold of the unconsenting soul.
The wise man is one who never sets himself apart from other living things, whether they have speech or not, and in later years he strove long to learn what can be learned, in silence, from the eyes of animals, the flight of birds, the great slow gestures of trees.
Derniers mots
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But in the Deed of Ged nothing is told of that voyage nor of Ged's meeting with the shadow, before ever he sailed the Dragons' Run unscathed, or brought back the Ring of Erreth-Akbe from the Tombs of Atuan to Havnor, or came at last to Roke once more, as Archmage of all the islands of the world.
Ged was the greatest sorcerer in all Earthsea, but once he was called Sparrowhawk, a reckless youth, hungry for power and knowledge, who tampered with long-held secrets and loosed a terrible shadow upon the world. This is the tale of his testing, how he mastered the mighty words of power, tamed an ancient dragon, and crossed death's threshold to restore the balance.
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Terremer est une bien étrange collection de livres. Dans un monde fait d’une multitude d’îles qui forment un ensemble cohérent tout en conservant leurs particularités, ce cycle de fantasy est centré sur un personnage, Ged, et différentes étapes de sa vie. Les trois premiers livres peuvent être lus indépendamment les uns des autres, tandis que le quatrième est réellement dans la continuité des tomes deux et trois.
Il est étrange de constater qu’il y a bien peu d’action dans ces livres. Il est surtout question de voyages (en bateau, notamment, à bord du Voitloin), de paysages. L’action ne vient souvent que dans les 50, voire les 20, dernières pages, comme si l’auteur se souvenait que c’était le prétexte du livre et qu’il faudrait bien qu’elle en dise un mot…
C’est donc un livre qu’il faut lire plus pour la construction du monde qui est présenté que pour un bon livre de fantasy classique. Il y a bien de la magie, des dragons et tout et tout, mais c’est plus pour les voir évoluer dans de beaux paysages que pour les voir s’affronter ou affronter le mal qu’il faut lire ce livre.
Si chaque livre est construit de la même façon, ce n’est pas pour autant qu’ils sont identiques. C’est comme si chacun avait son propre thème. En simplifiant, on pourrait dire que :
- Le Sorcier de Terremer est sur l’apprentissage et la connaissance de soi, dans le bien et dans le mal.
- Les tombeaux d’Atuan, sous couvert d’une histoire très sombre, est sur la liberté de choisir sa vie (en opposition à la pré-destination).
- L’Ultime rivage regarde la mort de près et le sens que l’on peut donner à notre propre finitude.
- Tehanu, qui se démarque du reste du cycle, explore la vie simple par rapport à la vie d’aventure et la place de la femme dans la société (avec des thèses qui ne me plaisent pas trop d’ailleurs).
Ce type de livre est une découverte pour moi, pas désagréable, mais je ne suis pas certaine que cela me convertisse tout à fait à ce genre. A lire à petites bouchées, de temps à autre, peut-être…