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brnoze: This is a wonderful story with a great premise. A young adult who wakes up as a different person every 24 hours. The author drops into the lives of many different characters and we get to learn through the eyes of the main character A. This is a love story. a coming of age story and a fantasy of a very different kind. I really enjoyed it.… (plus d'informations)
Ce "Love Story" du 21e siècle est un petit miracle. Racontant l'idylle entre deux jeunes et leur combat contre le cancer, le récit oscille entre l'humour et la gravité, la vie et la mort, avec l'amour comme centre et comme transcendance. L'auteur qui joue comme un virtuose sur ces différentes tonalités contrastés, panse nos blessures ordinaires en nous accompagnant sur le chemin d'une réconciliation avec la vie, avec ce qu'elle nous prend, ce qu'elle nous laisse dans la lumière crue de notre finitude. ( )
Émouvante histoire qui se veut un regard à la fois incisif et tendre sur un sujet difficile : la maladie incurable chez les enfants. Les jeunes entre eux sont adorables : mélange d'émotions fortes, de sarcasme et d'humour pétillant ainsi que rage et d'impuissance. Les adultes ne sont pas trop empotés non plus, et le personnage de Peter est brillant :il permet de briser tous les tabous. Curieusement, j'ai toutefois eu une impression de superficialité. Les personnages sont tous un peu trop courageux, parfois même stoïques face à la maladie; les sentiments sont trop purs - il manque de la nuance et de l'ambiguïté. Pourtant le livre a bien atteint son but : la larme à l'œil, j'ai fermé le livre avec beaucoup d'empathie pour ces êtres de papier en pensant aux êtres chairs qui doivent passer par de pareilles épreuves. ( )
Ce livre n'a pas été un coup de cœur comme pour tant d'autres mais j'ai passé un très bon moment, une très belle lecture. Ce livre ne parle pas vraiment du cancer malgré ce que l'on pourrait croire, il parle de la vie, la vie qui continue malgré la maladie, malgré la déchéance des corps. Ce livre ne tombe jamais dans le mélodramatique ou dans le pathos et même si j'ai parfois eu la vue un peu brouillée, j'ai eu bien plus souvent le sourire aux lèvres. Malgré cela la maladie n'est jamais niée, Hazel est réaliste, elle sait qu'elle est condamnée à plus ou moins long terme ce qui va l'amener a refuser dans un premier temps toutes histoires d'amour. Hazel est courageuse, elle continue de se lever chaque matin malgré son corps qui tombe en ruine. Au final ce livre est un livre sur l'amour aussi éphémère et intense qu'il peut être à l'adolescence et lorsque que l'on se sait condamné. L'amour, magnifique, alors que la mort est surement au bout du chemin. Les personnages sont hyper attachants: leur courage, leur cynisme, leur humour noir et leur répartie, leur amour, leurs projets... Je suis ressorti de cette lecture en ayant envie de profiter encore plus que d'habitude de ma vie et de mes amours, je lirais donc avec un grand plaisir les autres livres de cet auteur.
Tandis que la vague déferlait sur la grève, Monsieur Tulipe se tourna vers le large. - Entremetteur, cajoleur, empoisonneur, dissimulateur, révélateur. Non mais regarde-le monter et descendre, entraînant tout sur son passage. - Qui ça? demanda Anna - L'océan, répondit Monsieur Tulipe. Enfin, l'océan et le temps." Une impériale affliction -PETER VAN HOUTEN,
Dédicace
À Esther Earl
Premiers mots
L'année de mes dix-sept ans, vers la fin de l'hiver, ma mère a décrété que je faisais une dépression.
Citations
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My favorite book, by a wide margin, was An Imperial Affliction, but I didn't like to tell people about it. Sometimes, you read a book and it fills you with this weird evangelical zeal, and you become convinced that the shattered world will never be put back together unless and until all living humans read the book. And then there are books like An Imperial Affliction, which you can't tell people about, books so special and rare and yours that advertising your affection feels like a betrayal.
It wasn't even that the book was so good or anything; it was just that the author, Peter Van Houten, seemed to understand me in weird and impossible ways. An Imperial Affliction was my book, in the way my body was my body and my thoughts were my thoughts.
There was time before organisms experienced consciousness, and there will be time after. And if the inevitability of human oblivion worries you, I encourage you to ignore it. Got knows that's what everyone else does.
You are buying into the cross-stitched sentiments of your parents' throw pillows. You're arguing that the fragile, rare thing is beautiful simply because it is fragile and rare. But that's a lie, and you know it.
What am I at war with? My cancer. And what is my cancer? My cancer is me. The tumors are made of me. They're made of me as surely as my brain and my heart are made of me. It is a civil war, Hazel Grace, with a predetermined winner.
We live in a universe devoted to the creation, and eradication, of awareness. Augustus Waters did not die after a lengthy battle with cancer. He died after a lengthy battle with human consciousness, a victim—as you will be—of the universe's need to make and unmake all that is possible.
You don't get to choose if you get hurt in this world...but you do have some say in who hurts you. I like my choices.
Apparently, the world is not a wish granting factory.
There will come a time when all of us are dead. All of us. There will come a time when there are no human beings remaining to remember that anyone ever existed or that our species ever did anything. There will be no one left to remember Aristotle or Cleopatra, let alone you. Everything that we did and built and wrote and thought and discovered will be forgotten and all of this will have been for naught. Maybe that time is coming soon and maybe it is millions of years away, but even if we survive the collapse of our sun, we will not survive forever. There was time before organisms experienced consciousness, and there will be time after. And if the inevitability of human oblivion worries you, I encourage you to ignore it. God knows that’s what everyone else does.
Without pain, how could we know joy?' This is an old argument in the field of thinking about suffering and its stupidity and lack of sophistication could be plumbed for centuries but suffice it to say that the existence of broccoli does not, in any way, affect the taste of chocolate.
“I'm in love with you," he said quietly.
"Augustus," I said.
"I am," he said. He was staring at me, and I could see the corners of his eyes crinkling. "I'm in love with you, and I'm not in the business of denying myself the simple pleasure of saying true things. I'm in love with you, and I know that love is just a shout into the void, and that oblivion is inevitable, and that we're all doomed and that there will come a day when all our labor has been returned to dust, and I know the sun will swallow the only earth we'll ever have, and I am in love with you.”
My thoughts are stars I cannot fathom into constellations.
That’s part of what I like about the book in some ways. It portrays death truthfully. You die in the middle of your life, in the middle of a sentence.
▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
Description du livre
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie
Résumé sous forme de haïku
Auteur LibraryThing
John Green est un auteur LibraryThing, c'est-à-dire un auteur qui catalogue sa bibliothèque personnelle sur LibraryThing.