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Ethan Frome, a poor, downtrodden New England farmer is trapped in a loveless marriage to his invalid wife, Zeena. His ambition and intelligence are oppressed by Zeena's cold, conniving character. When Zeena's young cousin Mattie arrives to help care for her, Ethan is immediately taken by Mattie's warm, vivacious personality. They fall desperately in love as he realizes how much is missing from his life and marriage. Tragically, their love is doomed by Zeena's ever-lurking presence and by the social conventions of the day. Ethan remains torn between his sense of obligation and his urge to satisfy his heart's desire up to the suspenseful and unanticipated conclusion.… (plus d'informations)
BookshelfMonstrosity: In Remembering Laughter a woman confronts her husband's escalating use of alcohol; in Ethan Frome the title character's wife is difficult and demanding. Both novels elegantly depict a husband obsessed with his wife's sister, resulting in a love triangle with tragic consequences.… (plus d'informations)
toute leur intimité était faite de pareils instants de rapprochement muet, où, étonnés et attendris, ils rencontraient le bonheur, comme s’ils eussent surpris un papillon dans les bois dénudés et neigeux. (p. 97, Chapitre 9).
J’avais envie d’une lecture intimiste, d’un drame psychologique, ce qui est rare chez moi et, n’ayant jamais lu Edith Wharton dont j’entends beaucoup parler depuis que je fréquente les repères de lecteurs sur internet, je me suis laissée tenter par ce livre. Ce fut une lecture assez rapide, qui m’a laissée tiède. Il faut dire que j’avais lu la quatrième de couverture, qui dévoile l’ensemble du roman. Ce que je croyais être le point de départ d’un huis-clos sombre était en réalité l’aboutissement du récit, et ce huis-clos que j’attendais n’est finalement qu’effleuré. Si parfois il ne me déplaît pas de connaître la fin d’un livre pour l’apprécier, ici, la tension psychologique qui monte peu à peu est le ressort principal du livre, et il m’a été gâché. Difficile dans ces conditions de donner un avis sur cette lecture et sur cet auteur que je découvre. Je comprends que ce livre est un peu à part dans l’œuvre de cette auteure, qui, habituée à situer ses livres dans son milieu, celui de la haute bourgeoisie de la côte est des Etats-Unis, décrit ici la campagne froide et triste du Massachussetts. C’est une vision peu habituelle de cet état que l’on associe plutôt à la ville prospère et puritaine de Boston et sa célèbre Tea Party, et c’est une description réussie, me semble-t-il. Je ne sais pourquoi, je pensais à La petite maison dans la prairie de Laura Ingalls en lisant ce livre, tant le contraste est frappant entre la candeur et la luminosité de ses écrits, même lorsque des malheurs touchent la famille, et la mélancolie, le froid qui pèse sur ce livre, même dans le cours passage qui fait référence à l’été. Beaucoup de tristesse dans ce livre, de dignité et de moralité dans la pauvreté et l’impossibilité de se réaliser. Un livre à lire au coin d’un feu nourri pour chasser de ses os le froid qui s’insinue entre chacune de ses lignes.
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I had the story, bit by bit, from various people, and, as generally happens in such cases, each time it was a different story. (Author's Introductory Note)
The village lay under two feet of snow, with drifts at the windy corners.
Citations
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He never turned his face to mine, or answered, except in monosyllables, the questions I put, or such slight pleasantries as I ventured. He seemed a part of the mute melancholy landscape, an incarnation of its frozen woe, with all that was warm and sentient in him fast bound below the surface; but there was nothing unfriendly in his silence. I simply felt that he lived in a depth of moral isolation too remote for casual access, and I had the sense that his loneliness was not merely the result of his personal plight, tragic as I guessed that to be, but had in it, as Harmon Gow had hinted, the profound accumulated cold of many Starkfield winters.
...we came to an orchard of starved apple-trees writing over a hillside among outcroppings of slate that nuzzled up through the snow like animals pushing out their noses to breathe. Beyond the orchard lay a field or two, their boundaries lost under drifts, and above the fields, huddled against the white immensities of land and sky, one of those lonely New England farmhouses that make the landscape lonelier.
Derniers mots
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She took off her spectacles again, leaned toward me across the bead-work table-cover, and went on with lowered voice: “There was one day, about a week after the accident, when they all thought Mattie couldn’t live. Well, I say it’s a pity she did. I said it right out to our minister once, and he was shocked at me. Only he wasn’t with me that morning when she first came to… And I say, if she’d ha’ died, Ethan might ha’ lived; and the way they are now, I don’t see’s there’s much difference between the Fromes up at the farm and the Fromes down in the graveyard; ’cept that down there they’re all quiet, and the women have got to hold their tongues.”
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Ethan Frome, a poor, downtrodden New England farmer is trapped in a loveless marriage to his invalid wife, Zeena. His ambition and intelligence are oppressed by Zeena's cold, conniving character. When Zeena's young cousin Mattie arrives to help care for her, Ethan is immediately taken by Mattie's warm, vivacious personality. They fall desperately in love as he realizes how much is missing from his life and marriage. Tragically, their love is doomed by Zeena's ever-lurking presence and by the social conventions of the day. Ethan remains torn between his sense of obligation and his urge to satisfy his heart's desire up to the suspenseful and unanticipated conclusion.
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Description du livre
Ethan Frome, dans une petite ferme du Massachusetts, est sous la domination de sa femme Zenobia, une mégère. L'arrivée de Mattie Silver, une cousine de Zenobia, illumine la vie d'Ethan en lui apportant de la douceur et de la compréhension. Mais elle déchaîne la jalousie de la redoutable Zenobia, qui va réussir à chasser la jeune fille.
J’avais envie d’une lecture intimiste, d’un drame psychologique, ce qui est rare chez moi et, n’ayant jamais lu Edith Wharton dont j’entends beaucoup parler depuis que je fréquente les repères de lecteurs sur internet, je me suis laissée tenter par ce livre.
Ce fut une lecture assez rapide, qui m’a laissée tiède. Il faut dire que j’avais lu la quatrième de couverture, qui dévoile l’ensemble du roman. Ce que je croyais être le point de départ d’un huis-clos sombre était en réalité l’aboutissement du récit, et ce huis-clos que j’attendais n’est finalement qu’effleuré. Si parfois il ne me déplaît pas de connaître la fin d’un livre pour l’apprécier, ici, la tension psychologique qui monte peu à peu est le ressort principal du livre, et il m’a été gâché.
Difficile dans ces conditions de donner un avis sur cette lecture et sur cet auteur que je découvre. Je comprends que ce livre est un peu à part dans l’œuvre de cette auteure, qui, habituée à situer ses livres dans son milieu, celui de la haute bourgeoisie de la côte est des Etats-Unis, décrit ici la campagne froide et triste du Massachussetts. C’est une vision peu habituelle de cet état que l’on associe plutôt à la ville prospère et puritaine de Boston et sa célèbre Tea Party, et c’est une description réussie, me semble-t-il. Je ne sais pourquoi, je pensais à La petite maison dans la prairie de Laura Ingalls en lisant ce livre, tant le contraste est frappant entre la candeur et la luminosité de ses écrits, même lorsque des malheurs touchent la famille, et la mélancolie, le froid qui pèse sur ce livre, même dans le cours passage qui fait référence à l’été.
Beaucoup de tristesse dans ce livre, de dignité et de moralité dans la pauvreté et l’impossibilité de se réaliser. Un livre à lire au coin d’un feu nourri pour chasser de ses os le froid qui s’insinue entre chacune de ses lignes.