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La quatrie me de couverture indique : "Amy et Nick forment en apparence un couple mode le. Victimes de la crise financie re, ils ont quitte Manhattan pour s'installer dans le Missouri. Un jour, Amy disparai t et leur maison est saccage e. L'enque te policie re prend vite une tournure inattendue : petits secrets entre e poux et trahisons sans importance de la vie conjugale font de Nick le suspect ide al. Alors qu'il essaie lui aussi de retrouver Amy, il de couvre qu'elle dissimulait beaucoup de choses, certaines sans gravite , d'autres plus inquie tantes."… (plus d'informations)
claudiemae: I really enjoyed this book,my first read by this author. I got "Gone Girl,because i like how this author writes.But,I did not like "Gone Girl',really,was this written by Gillian Flynn? I was dissapointed,and hope she can do better with her next one,she does have talent.… (plus d'informations)
BookshelfMonstrosity: In these character-driven and intricately plotted psychological suspense stories, seemingly devoted husbands become prime suspects in their wives' disappearances. As investigations unfold, disturbing secrets are unearthed -- casting both couples' relationships in a new and unsettling light.… (plus d'informations)
BookshelfMonstrosity: Dark, disturbing secrets belie seemingly perfect marriages in these fast-paced, compelling psychological suspense novels, which unfold from multiple perspectives. In each, the narrator searches for a missing spouse who may not be the person they thought they knew.… (plus d'informations)
GirlMisanthrope: "Consequences" too has twists and turns, becomes sinister, while detailing an insane relationship. Cold, calculating, then a shocking ending.
KayCliff: Both novels have multiple points of view, an unreliable narrator, and a complex, clever plot, but only Gone Girl is stuffed with filthy language.
> Par Julie Malaure (Le Point) : “Les apparences”, de Gillian Flynn 23 août 2012 ... "Les apparences", de Gillian Flynn. Ce thriller est tordu : les 300 premières pages construisent patiemment ce que les 300 autres démontent. Et malsain : l'auteure - passée avec ce troisième livre devant John Grisham dans les charts américains - élabore lentement le bouillon quotidien d'un couple. On y croit, à cette idylle entre trentenaires new-yorkais partis s'installer dans le Missouri après la crise économique. Même si le titre nous dit de ne pas nous y fier. Et, dès le départ, il est vrai, comme dans les couples, l'histoire se scinde. Version racontée par Amy, belle, brillante, riche, soumise au rêve de son mariage. Puis par Nick, beau gosse fauché devenu époux parfait. Mais, le jour où Amy disparaît, laissant, en lieu et place de living-room, un champ de bataille étrangement orchestré, la police va faire sauter le vernis de l'entente pour découvrir que, comme toujours, le mari fait un coupable idéal. La suite ? La lecture addictive d'un chapelet de vérités affreusement âpres mais justes sur les rapports hommes/femmes, mais surtout une intrigue si machiavélique qu'on ne saurait la résumer sans la trahir. ____________________ "Les apparences", de Gillian Flynn. Traduit de l'américain par Héloïse Esquié (Sonatine, 574 p., 22 E).
Récit jouissif à la structure très maligne qui décrit à l'extrême cette impossibilité caractérisant homme et femme de vivre ensemble et isolé l'un de l'autre. Amy et Nick forment véritablement le couple parfait... dans toute son horreur. Une référence désormais ? L'adaptation cinématographique excellente et très fidèle de David Fincher est à (re)découvrir. ( )
"Les Apparences" de Gillian Flynn figurant depuis longtemps sur ma Liste à lire, j'ai renoncé à voir le film de David Fincher sorti cet automne et ne peux donc comparer les deux œuvres. Ce roman psychologique happe le lecteur dès les premières pages, le plonge dans l'horreur et, bien vite, dans le doute et la suspicion. Au final, et malgré une baisse d'intérêt une fois le mystère découvert, une description froide et cruelle d'une relation de couple toxique et malsaine. ( )
Roman passionnant de bout en bout, on se demande quand la perversité et la violence s'arrêteront. L'imagination de l'auteur est sans borne. On a du mal à lâcher le livre, même s'il frôle parfois l'invraisemblance. ( )
Flynn writes bright, clever, cynical sentences. Maybe too many of them in Gone Girl. The same facts and ideas seem to repeat themselves. But that’s a minor gripe in a book that never slacks in tightening the suspense.
The basic questions the mystery asks are these: did the journalist husband murder his well-to-do missing wife or is she setting him up to pay a creepy price? On Flynn’s slick way to reaching the answer, she pulls the rug from under us readers three times. Or was it four?
ajouté par VivienneR | modifierThe Toronto Star, Jack Batten(Jun 2, 2012)
This American author shook up the thriller scene in 2007 with her debut Sharp Objects, nasty and utterly memorable. Gone Girl, her third novel, is even better – an early contender for thriller of the year and an absolute must read.
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Love is the world's infinite mutability: Lies, hatred, murder even, are all knit up in it; it is the inevitable blossoming of its opposites, a magnificent rose smelling faintly of blood.
Tony Kushner, THE ILLUSION
Dédicace
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To Brett: light of my life, senior and Flynn: light of my life, junior
Premiers mots
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When I think of my wife, I always think of her head.
Citations
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I don’t know that we are actually human at this point, those of us who are like most of us, who grew up with TV and movies and now the Internet. If we are betrayed, we know the words to say; when a loved one dies, we know the words to say. It we want to play the stud or the smart-ass or the fool, we know the words to say. We are all working from the same dog-eared script.
I'm a big fan of the lie of omission.
I hated Nick for being surprised when I became me.
You are an average, lazy, boring, cowardly, woman-fearing man. Without me, that’s what you would have kept on being, ad nauseam. But I made you into something. You were the best man you’ve ever been with me. And you know it.
It’s a very difficult era in which to be a person, just a real, actual person, instead of a collection of personality traits selected from an endless Automat of characters.
Derniers mots
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I don't have anything else to add. I just wanted to make sure I had the last word. I think I've earned that.
La quatrie me de couverture indique : "Amy et Nick forment en apparence un couple mode le. Victimes de la crise financie re, ils ont quitte Manhattan pour s'installer dans le Missouri. Un jour, Amy disparai t et leur maison est saccage e. L'enque te policie re prend vite une tournure inattendue : petits secrets entre e poux et trahisons sans importance de la vie conjugale font de Nick le suspect ide al. Alors qu'il essaie lui aussi de retrouver Amy, il de couvre qu'elle dissimulait beaucoup de choses, certaines sans gravite , d'autres plus inquie tantes."
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Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Si beau est le couple. Trompeuses sont les apparences. Tranchante est la lame.
23 août 2012 ... "Les apparences", de Gillian Flynn. Ce thriller est tordu : les 300 premières pages construisent patiemment ce que les 300 autres démontent. Et malsain : l'auteure - passée avec ce troisième livre devant John Grisham dans les charts américains - élabore lentement le bouillon quotidien d'un couple. On y croit, à cette idylle entre trentenaires new-yorkais partis s'installer dans le Missouri après la crise économique. Même si le titre nous dit de ne pas nous y fier. Et, dès le départ, il est vrai, comme dans les couples, l'histoire se scinde. Version racontée par Amy, belle, brillante, riche, soumise au rêve de son mariage. Puis par Nick, beau gosse fauché devenu époux parfait. Mais, le jour où Amy disparaît, laissant, en lieu et place de living-room, un champ de bataille étrangement orchestré, la police va faire sauter le vernis de l'entente pour découvrir que, comme toujours, le mari fait un coupable idéal. La suite ? La lecture addictive d'un chapelet de vérités affreusement âpres mais justes sur les rapports hommes/femmes, mais surtout une intrigue si machiavélique qu'on ne saurait la résumer sans la trahir.
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"Les apparences", de Gillian Flynn. Traduit de l'américain par Héloïse Esquié (Sonatine, 574 p., 22 E).