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Mark Z. Danielewski

Auteur de House of Leaves

15 oeuvres 20,672 utilisateurs 488 critiques 102 Favoris

A propos de l'auteur

Mark Z. Danielewski is the author of House of Leaves, The Whalestoe Letters, Only Revolutions, The Fifty Year Sword, and The Familiar. (Bowker Author Biography)
Crédit image: Photo (c) Marion Ettlinger

Séries

Œuvres de Mark Z. Danielewski

House of Leaves (2000) 15,821 exemplaires, 377 critiques
O Révolutions (2006) 2,107 exemplaires, 34 critiques
The Familiar, Volume 1: One Rainy Day in May (2015) 754 exemplaires, 19 critiques
L'épée des cinquante ans (2005) 654 exemplaires, 28 critiques
Les Lettres de Pelafina (2000) — Auteur — 491 exemplaires, 9 critiques
The Familiar, Volume 2: Into the Forest (2015) 305 exemplaires, 5 critiques
The Familiar, Volume 3: Honeysuckle & Pain (2016) 213 exemplaires, 5 critiques
The Familiar, Volume 4: Hades (2017) 155 exemplaires, 3 critiques
The Familiar, Volume 5: Redwood (2017) 116 exemplaires, 5 critiques
The Little Blue Kite (2019) 48 exemplaires, 3 critiques
House of Leaves Pilot — Auteur — 1 exemplaire
Clip 4 1 exemplaire
Yapraklar Evi (2018) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Danielewski, Mark Z.
Date de naissance
1966-03-05
Sexe
male
Nationalité
USA
Lieu de naissance
New York, New York, USA
Lieux de résidence
New York, New York, VS
Los Angeles, Californië, VS
Études
Yale University (English Literature)
University of South Carolina (School of Cinema-Television)
Professions
author
Relations
Danielewski, Tad (father)
Poe (sister)
Courte biographie
Mark Z. Danielewski werd geboren in 1966. Het kaartenhuis is zijn debuut.

Membres

Discussions

House of leaves Mark Z. Danielewski à Thing(amabrarian)s That Go Bump in the Night (Janvier 2009)
House of Leaves à Someone explain it to me... (Mars 2008)

Critiques

On a donc entre les mains un texte racontant le film, annoté par Zampano qui y a ajouté nombre de citations, sur-annoté par Johnny lui-même, et complété par des annexes dont certaines concernent la personnalité ou le passé de Johnny. Bien entendu, chaque lecture montre progressivement combien le texte de base rend fou celui qui entreprend d'y travailler.

Au début, j'ai eu du mal, puis ensuite on découvre la véritable trame sous-jacente (celle qui est évoquée en 4e de couverture) et on essaie d'aller au devant de cette gageure, en parallèle avec celle qui est progressivement dévoilée, celle de l'intérieur-externe de cette maison cauchemardesque. le problème vient surtout de toutes les annotations et des ruptures dans le récit lorsque le premier auteur reprend la parole.

Ce n'est pas un livre dont on peut se taper un bout de chapitre chaque soir avant le dodo, parce que chaque fois, on est obligé de revenir 10 pages en arrière pour le reprendre. Il est éprouvant, parfois malsain, souvent fascinant, évoque la psychanalyse, surfe sur le spleen romantique avant de plonger dans l'horreur métaphysique : si les errances et les visions hallucinées du narrateur peinent à nous toucher, si les notes du précédent propriétaire du livre semblent énigmatiques, la narration adroite concernant le film de Davidson parvient à distiller quelques moments de pure angoisse, voire d'effroi.

Au final, je suis content d'être allé au bout, d'avoir satisfait une saine curiosité face à l'accroche qui m'avait poussé à acquérir le livre. En même temps, un peu déçu car on a quand même l'impression de ne pas avoir concrétisé tout ce qui était promis. de la frustration donc, mais pas de ressentiment vis-à-vis de l'auteur qui a su nous duper, nous manipuler avec compétence et un brin de vice, procédant par coups, augmentant l'attente en se servant de l'Internet comme les producteurs de Blair Witch ont su le faire pour faire de leur film l'un des plus rentables de tous les temps. La Maison des feuilles est un roman remarquable, pratiquement abouti et particulièrement séduisant, qui parvient à transformer l'acte de lecture en expérience multi-dimensionnelle. Sur le plan de l'épouvante, il est intéressant mais manque de substance, délayant la peur viscérale (atavique) qui hante les profondeurs de cette maison à la géométrie non-euclidienne chère à Lovecraft par des atermoiements et des digressions intellectuelles parfois trop lourdes à digérer. On pourrait se contenter de ne lire que le Navidson Record, ce qui ferait du livre un roman à géométrie variable, mais ôterait tant de matière littéraire !
… (plus d'informations)
 
Signalé
Arpenteur | 376 autres critiques | Mar 13, 2022 |
Trop long, vraiment trop long. L'idée est excellente, déroutante par la mise en page, mais que c'est long ...
 
Signalé
MatthieuQ | 376 autres critiques | Feb 2, 2014 |
Je viens de finir The Fifty Year Sword, de M.Z. Danieliewski. C'est très sympathique même si, quand je réfléchis à l'histoire dans son ensemble, y'a une impression de vide. J'ai passé un très agréable moment mais j'ai l'impression de m'être fait escroquer : il n'y a pas d'histoire, en fait. Pas vraiment. Quand j'ai fermé le livre, j'ai eu l'impression d'entendre l'auteur ricaner, quoi.

Je développe :
- le jeu des guillemets, j'avoue mon désarroi car je n'en vois pas l'utilité. A la limite, le langage infantile parfois ferait penser que ce sont les 5 orphelins qui ont raconté les événements à un flic et que celui-ci a assemblé les récits ?
- si ce n'est pas le cas, pourquoi le langage infantile ? En effet, la narration fait l'emphase sur Chintana or un enfant ne ferait pas ça.
- la chute de l'histoire donne un sentiment de vol

Mais, pourtant, étrangement, j'ai passé un très bon moment.
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
greuh | 27 autres critiques | Sep 23, 2013 |
TL;DR

Roman étrange avec un lot de contraintes assez hallucinant en termes d'écriture, Only Revolutions utilise un langage bien trop référentiel, complexe et difficile à suivre pour le pauvre frouze que je suis. L'intérêt du format et des contraintes ne réussit pas à compenser la difficulté de lecture et le fait que je n'ai pas accroché à l'histoire.
Dommage, dommage. Il existe en VF (apparemment traduit avec conservation des contraintes, ce qui est un exploit), mais je n'ai pas le courage. Vraiment dommage.

(pour les non-geeks, l'acronyme au dessus signifie "too long ; did not read")
… (plus d'informations)
 
Signalé
greuh | 33 autres critiques | Oct 31, 2011 |

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