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Leonid Andreyev (1871–1919)

Auteur de Les Sept pendus

210+ oeuvres 1,205 utilisateurs 35 critiques 12 Favoris

A propos de l'auteur

Leonid Andreyev became one of the most popular writers of the first decade of the twentieth century because of his ability to combine modernist and realist techniques and his willingness to break taboos of theme. His subjects included topics, such as venereal disease, and various abnormalities. His afficher plus works caused a scandal but won their author a wide following. In the aftermath of 1905, Andreyev dealt with the defeated revolutionaries' moral and psychological dilemmas and with the intelligentsia as a whole, while in The Tale of the Seven Who Were Hanged (1909), he produced a stunning condemnation of the death penalty. Andreyev had a talent for depicting the dark, irrational forces in life within existential dilemmas. However, his pessimism and mysticism are sometimes undercut by a blatant tugging on the heartstrings and a lack of personal engagement and authenticity. Andreyev died in 1919. (Bowker Author Biography) afficher moins
Crédit image: wikimedia commons

Œuvres de Leonid Andreyev

Les Sept pendus (1908) 283 exemplaires
Le Rire rouge (1904) 87 exemplaires
Journal de Satan et autres récits (1920) 82 exemplaires
Judas Iscariote (1907) 41 exemplaires
Visions: Stories and Photographs (1987) 36 exemplaires
Abyss (1924) 31 exemplaires
Lazarus (1998) 27 exemplaires
Sachka Yegulev (1911) 21 exemplaires
Le Gouverneur (1998) 14 exemplaires
Zhizn' Vasilija Fivejskogo (2009) 12 exemplaires
Relatos (1971) 12 exemplaires
Los espectros (2008) 10 exemplaires
Jour de colère et autres récits (2001) 9 exemplaires
The Dark (2015) 8 exemplaires
Dani našeg života (1979) 6 exemplaires
Valitut kertomukset (1984) 5 exemplaires
Dies irae Novelas breves (1932) 5 exemplaires
ESPECTROS - LAS TINIEBLAS, LOS (1989) 5 exemplaires
La Pensée (1998) 4 exemplaires
Lazzaro e altre novelle (1993) 4 exemplaires
Moje zápisky : povídka (1981) 4 exemplaires
El káiser y el prisionero (2005) 3 exemplaires
La rialla roja (2021) 3 exemplaires
De syv hengte 3 exemplaires
Cuentos escogidos 3 exemplaires
Savva (2013) 3 exemplaires
Los Espectros: Novelas Brevas (2009) 3 exemplaires
Rasskaz O Semi Poveshennyh (2013) 3 exemplaires
El yugo de la guerra (2013) 3 exemplaires
Rasskaz o Sergee Petroviche (2013) 2 exemplaires
Dnevnik Satany (2013) 2 exemplaires
Igo vojny (2013) 2 exemplaires
Un hombre original 2 exemplaires
Judas Iscariot & Other Stories (1947) 2 exemplaires
Relatos del alma rusa 2 exemplaires
Jutustused 2 exemplaires
Gullivers Tod (1971) 2 exemplaires
s.o.s (2017) 2 exemplaires
Černé masky 2 exemplaires
Zhizn' Cheloveka (2013) 2 exemplaires
Los espectros 2 exemplaires
Mysl' (2013) 2 exemplaires
Cuentos escogidos 2 exemplaires
C'était... 2 exemplaires
Samson in Chains 2 exemplaires
The Greater Omnibus of Private Books — Contributeur — 2 exemplaires
Bargamot i Garas'ka (2013) 2 exemplaires
Judas Iscariot and Others (2004) 2 exemplaires
The Leonid Andreyev Collection (2019) 2 exemplaires
Cuentos 2 exemplaires
Novelle e drammi 2 exemplaires
La victoire des ténèbres (2014) 2 exemplaires
The Red Laugh and The Abyss (2020) 2 exemplaires
Pet'ka na Dache (2013) 2 exemplaires
Жили-были 1 exemplaire
Том 3: Пьесы 1 exemplaire
Die mauer (2014) 1 exemplaire
El que recibe las bofetadas (1932) 1 exemplaire
Love, Faith, And Hope 1 exemplaire
El capitan Kablukov 1 exemplaire
Gaudeamus 1 exemplaire
Cuentos extranjeros 1 exemplaire
Сочиненiя 1 exemplaire
Том 5: Пьесы 1 exemplaire
Рассказы 1 exemplaire
Kusaka 1 exemplaire
El Abismo (Spanish Edition) (2010) 1 exemplaire
Lui (1998) 1 exemplaire
Dies i r ae 1 exemplaire
Récits Рассказы (2014) 1 exemplaire
Пьесы 1 exemplaire
Plays by Leonid Andreyeff (1915) 1 exemplaire
Izbrannoe 1 exemplaire
Tsvetok pod nogoiu 1 exemplaire
Selected Short Stories (2019) 1 exemplaire
Έρεβος (2012) 1 exemplaire
Short Fiction (2022) 1 exemplaire
Obras selectas (1975) 1 exemplaire
The Dear Departing 1 exemplaire
Nouvelles 1 exemplaire
King Hunger (2004) 1 exemplaire
The Waltz of the Dogs 1 exemplaire
The Crushed Flower (2003) 1 exemplaire
To The Stars 1 exemplaire
Lazarus {Short story} 1 exemplaire
Kurban 1 exemplaire
Jurnalul Satanei 1 exemplaire
Vers les étoiles 1 exemplaire
U tamnu daljinu (1985) 1 exemplaire
SETE ENFORCADOS, OS 1 exemplaire
U magli (1960) 1 exemplaire
Za frontom (1919) 1 exemplaire
Jours de colère 1 exemplaire
VALDA NOVELLER 1 exemplaire
Dan gneva 1 exemplaire
Crveni smeh (2016) 1 exemplaire
Diablov denník a iné novely (2022) 1 exemplaire
El Pope 1 exemplaire
Le gouffre 1 exemplaire
Silence 1 exemplaire
Había una vez-- 1 exemplaire
Nalucile (2002) 1 exemplaire
Ékatérina Ivanovna (1999) 1 exemplaire
La risa roja Novelas 1 exemplaire
Novelle e drammi 1 exemplaire
Spettri (2021) 1 exemplaire
En la niebla y otros relatos (2013) 1 exemplaire

Oeuvres associées

They Came like Swallows (1937) — Artiste de la couverture, quelques éditions605 exemplaires
The Book of Fantasy (1940) — Contributeur — 605 exemplaires
Best Russian Short Stories (1917) — Contributeur — 314 exemplaires
A World of Great Stories (1947) — Contributeur — 261 exemplaires
Blood Is Not Enough: 17 Stories of Vampirism (1989) — Contributeur — 220 exemplaires
Great Russian Short Stories (1958) 181 exemplaires
Great Russian Short Stories (Dover Thrift Editions) (2003) — Contributeur — 138 exemplaires
Great Russian Plays (1960) — Contributeur — 96 exemplaires
Famous Modern Ghost Stories (1921) — Contributeur — 87 exemplaires
13 More Stories They Wouldn't Let Me Do On TV (1959) — Contributeur — 83 exemplaires
World's Great Adventure Stories (1929) — Contributeur — 75 exemplaires
The Theatre Guild Anthology (1936) — Contributeur — 62 exemplaires
New Worlds of Fantasy #2 (1970) — Contributeur — 57 exemplaires
15 International One-Act Plays (1969) — Contributeur — 32 exemplaires
Ten Modern Short Novels (1958) — Contributeur — 26 exemplaires
20th Century Russian Drama (1963) — Contributeur — 22 exemplaires
Meesters der Russische vertelkunst (1948) — Contributeur — 17 exemplaires
Contemporary Drama: European, English and Irish, American Plays (1941) — Contributeur — 17 exemplaires
All verdens fortellere (1990) — Contributeur, quelques éditions15 exemplaires
Selected Russian Short Stories (1928) — Contributeur — 13 exemplaires
He Who Gets Slapped [1924 film] — Original play — 9 exemplaires
Strange Desires (1954) — Contributeur — 5 exemplaires
The Word Lives On: A Treasury of Spiritual Fiction (1951) — Contributeur — 4 exemplaires
Contemporary drama : European plays (1956) — Contributeur — 4 exemplaires
American Aphrodite (Volume Four, Number Thirteen) (1954) — Contributeur — 2 exemplaires
Representative Modern Short Stories (1929) — Contributeur — 2 exemplaires
Po Drugiej Stronie (2013) — Contributeur — 2 exemplaires
Kokaín: Eine Moderne Revue: Issue 2 (1925) — Contributeur — 1 exemplaire
Performing Arts Journal: 16 (Volume VI / Number 1) — Contributeur — 1 exemplaire
Scripsi Vol. 6/No. 2 (1990) — Artiste de la couverture — 1 exemplaire

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Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Andreiev-Jour-de-colere-et-autres-recits/12202

> Dans ce livre on est saisi par la tendresse de l'écriture, sa délicatesse lorsqu'elle évoque l'amour qui unit le pilote et son épouse, ou dans la description de l'ivresse céleste. Comme si la fin, loin d'être terrifiante, était celle d'un accomplissement... ce qu'il pouvait y avoir de nihilisme dans son écriture cède la place à une attente et une espérance lumineuse... Comme une lumière, pas si fragile, au fond du gouffre.
Danieljean (Babelio)
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Joop-le-philosophe | Feb 20, 2021 |
J’ai découvert cet auteur russe qui mériterait d’être plus connu par une nouvelle au titre énigmatique, C’était…, ainsi qu’un court roman au sombre titre, Les Sept Pendus. La nouvelle m’a laissé une bonne impression, le roman un peu moins, mais je suis aujourd’hui moins critique que lorsque j’ai écrit la note de lecture le concernant il y a maintenant cinq and. Comme quoi, le temps change le regard que l’on porte sur ses propres lectures…
Peut-être en sera-t-il de même pour cette œuvre, qui là non plus, ne m’a pas transportée. Elle parle des espoirs suscités par la révolution de 1905 en Russie, et des désillusions de la répression. Mais tout cela est évoqué de façon feutrée, à partir d’un observatoire astronomique planté au milieu de nulle part et, s’il fallait augmenter la sensation d’isolement, encore plus coupé du monde à cause d’une tempête de neige. Les bruits du monde et les enthousiasmes de la jeunesse arrivent donc étouffés, éthérés, déjà congelés et fragiles comme un flocon de neige.
Tout est trop poétique, trop éthéré, trop dans le non-dit ou l’allégorie pour que cela me parle, à un siècle et un continent de distance. J’avais commencé la lecture enthousiaste, intéressée par les premières scènes, puis mon intérêt s’est émoussé au fil de la pièce, pour fondre comme neige au soleil dans les dernières scènes. Je garde tout de même quelques scènes, lorsque la confrontation entre la bouillonnante jeunesse qui veut tout changer et le monde assis des savants prend tout son sens, lorsque les échelles de la vie et celles du cosmos s’affronte. Il y a là matière à de beaux échanges, hélas trop rares dans cette pièce.
Un auteur très inégal donc pour moi, qui peut m’intéresser parfois, alors que d’autres fois il me perd dans les profondeurs d’un cosmos que je n’ai guère plaisir à visiter.
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Signalé
raton-liseur | Oct 17, 2018 |
Ainsi s’était passée toute sa vie : elle n’avait été qu’une longue et amère suite d’humiliations et de haines, où s’étaient bien vite éteintes les petites lueurs fugitives de l’amour, ne laissant dans son âme qu’un grand tas de cendres froides. A présent, il aurait voulu sortir de la vie, oublier ; mais la nuit silencieuse était cruelle et impitoyable. Et il songeait avec mépris à la sottise de ceux qui aimaient cette vie. Il tournait la tête vers le lit voisin, où dormait un de ces sots, le père diacre. Longtemps et attentivement il considérait le petit visage blanc, qui se confondait avec le linge blanc de l’oreiller et des draps. Et parfois un mot lui jaillissait des lèvres :
— Imbécile !

(Partie 2).

Un marchand est admis dans un hôpital universitaire, où il devient un objet d’étude pour les médecins (et « objet » est bien le mot qui convient ici) et un membre de cette petite communauté formée de malades de divers horizons. Il sait que, comme la plupart des malades, il ne sortira pas de cet hôpital, et c’est dans cette ambiance que l’on suit, pour les quelques semaines qui lui restent à vivre, les relations sociales qui se créent dans ce microcosme mais aussi l’idée de la mort qui fait son chemin.
Une écriture et quelques longueurs qui ne font pas tout à fait honneur au sujet, mais une nouvelle finalement assez intéressante et un rien grinçante, dont le titre, qui demeure énigmatique presque jusqu’à la fin, est très bien trouvé et pose la question de la limite entre la vie et la mort.
Cette nouvelle peut ouvrir de nombreuses pistes de réflexions, dont la façon dont on considère la fin de la vie dans le milieu hospitalier n’est pas la moindre, mais j’en retiendrai surtout une réflexion sans manichéisme, toute en nuance et non dénuée d’intérêt sur l’attachement à la vie ou sur la crainte ou l’acceptation de la mort. Une réflexion qui prend un relief supplémentaire si l’on songe qu’elle nous vient d’un auteur qui a longtemps eu la hantise de sa mort, d’un homme mort à l’âge de 48 ans possiblement des suites d’une tentative de suicide ratée quelques années plut tôt.
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Signalé
raton-liseur | Oct 23, 2013 |
Demain, quand le soleil se lèvera, ce visage intelligent et fin sera déformé par une grimace qui n’aura plus rien d’humain ; le cerveau sera inondé d’un sang épais ; les yeux vitrifiés sortiront des orbites. Mais aujourd´hui, Moussia dort tranquille et sourit dans son immortalité. (p. 40-41, Chapitre 7, “Il n’y a pas de mort”).

Je m’attendais à une version russe du Dernier jour d’un condamné, mais Leonid Andreiev semble plus utiliser le prétexte des derniers jours de cinq hommes et deux femmes réunis par les circonstances (même si cinq d’entre eux ont en commun un attentat manqué) pour explorer les différentes attitudes de l’homme par rapport à la vie et, ça n’en est que le miroir, par rapport à la mort.
Certes, le fait de connaître l’heure de sa mort avec une certitude absolue, et le fait de ne pouvoir en être maître change la donne, mais je ne suis pas certaine qu’Andreiev se positionne contre la peine de mort, contre la pendaison. Au contraire, si certains des futurs pendus sont submergés par la peur, jusqu’à la folie, beaucoup semblent arriver, grâce (sic) à cette mort annoncée et donc à cette agonie pleinement vécue, à une acuité dans la réflexion et dans les sens, qui leur permet de mieux savourer la vie, et finalement de se réaliser pleinement.
La thèse sous-jacente m’a donc plutôt dérangée et a un tant soit peu gâché ma lecture, tout comme ce style trop poétique qui en dit soit trop soit pas assez sur l’état d’esprit de ses personnages et sur leur évolution. J’aurais donc pu passer mon chemin, malgré quelques jolis passages, trop rares pour rattraper le tout.
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Signalé
raton-liseur | 9 autres critiques | Jul 21, 2013 |

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