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Chargement... Fight Club (1996)par Chuck Palahniuk
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» 37 plus 20th Century Literature (366) Unreliable Narrators (47) 1990s (30) Best Satire (90) First Novels (41) Books Read in 2015 (1,740) Existentialism (19) Books Read in 2020 (3,352) Page Turners (75) Metafiction (70) Books I've Read (15) One Book, Many Authors (388) Books Read in 2003 (44) Books tagged favorites (292) Books on my Kindle (160) Biggest Disappointments (392) Books Read in 2022 (4,434) Unread books (902) Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. une claque livresque Un célibataire, asphyxié par une vie étroite trouve un sens à sa vie en s'immisçant dans des groupes de soutien aux malades. Il sympathise alors avec Tyler Durden, qui partage son dégoût du système. Ils créent ensemble les fight clubs, des réunions secrètes où chacun doit combattre à poings nus. Mais peu à peu, les clubs se multiplient, et le mouvement prend la forme d'une milice dévouée à Tyler. Plongée schizophrénique et violente dans le chaos opposé à la société de consommation... Brillant et culte.
A volatile, brilliantly creepy satire filled with esoteric tips for causing destruction, Fight Club marks Chuck Palahniuk's debut as a novelist. Ever wonder how to pollute a plumbing system with red dye, or inject an ATM machine with axle grease or vanilla pudding? Along with instructions for executing such quirky acts of urban terrorism, Fight Club offers diabolically sharp and funny writing. This brilliant bit of nihilism succeeds where so many self-described transgressive novels do not: It's dangerous because it's so compelling. Every generation frightens and unnerves its parents, and Palahniuk's first novel is gen X's most articulate assault yet on baby-boomer sensibilities. This is a dark and disturbing book that dials directly into youthful angst and will likely horrify the parents of teens and twentysomethings. It's also a powerful, and possibly brilliant, first novel. Caustic, outrageous, bleakly funny, violent and always unsettling, Palahniuk's utterly original creation will make even the most jaded reader sit up and take notice. Fait l'objet d'une adaptation dansContient une étude de
Laisse-moi te parler de Tyler. Tyler dit : les choses que tu posse des finissent toujours par te posse der. C'est seulement apre s avoir tout perdu que tu es libre de faire ce dont tu as envie. Le fight club t'offre cette liberte . Premie re re gle du fight club :'Tu ne parles pas du fight club. Deuxie me re gle du fight club : Tu ne punies pas du fight club. Tyler dit que chercher a s'ame liorer, c'est rien que de la branlette. Tyler dit que l'autodestruction est sans doute la re ponse. [ source : couverture ] Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813 — Literature English (North America) American fictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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