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American Psycho (1991)

par Bret Easton Ellis

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13,844289419 (3.71)350
In a black satire of the eighties, a decade of naked greed and unparalleled callousness, a successful Wall Street yuppie cannot get enough of anything, including murder. In American Psycho, Bret Easton Ellis imaginatively explores the incomprehensible depths of madness and captures the insanity of violence in our time or any other. Patrick Bateman moves among the young and trendy in 1980s Manhattan. Young, handsome, and well educated, Bateman earns his fortune on Wall Street by day, while spending his nights in ways we cannot begin to fathom. Expressing his true self through torture and murder, Bateman prefigures an apocalyptic horror that no society could bear to confront.… (plus d'informations)
  1. 153
    Fight Club par Chuck Palahniuk (sacredheartofthescen)
    sacredheartofthescen: Both about bored men in American society that found odd ways to fill their time and become what they want to be.
  2. 30
    L'assassin qui est en moi par Jim Thompson (gtross)
    gtross: I would be very much surprised if Bret Easton Ellis hadn't been influenced by Jim Thompson's first person narrative of a psychopathic mind.
  3. 30
    Miso Soup par Ryū Murakami (TheRavenking)
  4. 10
    Un tueur sur la route par James Ellroy (yokai)
  5. 10
    Les Mutilés par Hermann Ungar (askthedust)
  6. 00
    People Live Still in Cashtown Corners par Tony Burgess (ShelfMonkey)
  7. 00
    Crash - L'île de béton - I.G.H. par J. G. Ballard (amanda4242)
  8. 00
    Like Me: A Novel par Hayley Phelan (readingtangent)
  9. 00
    Zombi par Joyce Carol Oates (Aug3Zimm)
  10. 01
    The Seven Days of Peter Crumb: A Novel (P.S.) par Jonny Glynn (gooneruk)
    gooneruk: Peter Crumb is more intense, shorter, and more schizophrenic, but Bateman is a good cross-Atlantic mirror for him.
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> Au début des années 90, on suit les tribulations de Patrick Bateman, un yuppie superficiel en mal de sensations fortes.

-- American Psycho nous dresse un portrait de la sophistication ultime et vaine de l'être humain à la fin du vingtième siècle, être humain qui, malgré tout, reste un animal.
Dante Mullin, Saguenay (ICI.Radio-Canada.ca)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ellis-American-Psycho/156995
> Nicolas (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R3I2G11G9AWQ8?ref=pf_vv_at_pdctrvw_srp
> L'Express : https://www-lexpress-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.lexpress.fr/culture/livre/qui...
> Tangence, No 44 (juin 1994), pp. 94–105 : https://id.erudit.org/iderudit/025816ar ; DOI : https://doi.org/10.7202/025816ar
> Vanity Fair : https://www-vanityfair-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.vanityfair.fr/amp/culture/v...

> Pour « l’écriture cannibale qui phagocytera la pub, les marques, l’oral et le cinéma » (Catherine Mavrikakis); ex-æquo avec James Ellroy, Le quatuor de Los Angeles (1987-1992) (qui comprend Le Dahlia noir, Le grand nulle part, L.A. Confidential et White Jazz) – Une oeuvre « qui a dévoyé, voire perverti, notre récente littérature. Ellroy a chambardé les notions du vrai et du faux en s’incluant lui-même, en tant qu’écrivain et personnage, comme témoin des faits et gestes d’une ville, d’une époque. » (Alain Fisette).
La presse, 7 sept. 2008

> Zaller Robert. American Psycho, American Censorship and the Dahmer Case.
In: Revue Française d'Etudes Américaines, N°57, juillet 1993. Cinéma américain : aux marches du Paradis. pp. 317-325. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rfea_0397-7870_1993_num_57_1_1511

> La société de consommation dégénérée et l'Argent
Dans "American Psycho", Bret Easton Ellis met en scène un jeune et riche golden-boy obsédé par son mobilier, ses
cartes de visites, les restaurants hypes et bien sûr, chaque détail de son apparence physique.
Sa particularité ? Lorsqu'il ne travaille pas, Patrick Bateman égorge, tue et viole à peu près tout ce qui lui tombe sous la main avec une férocité extrême.
La volonté de puissance de Bateman est sans limite, et il s'en prend en priorité à ceux qu'il considère comme "faibles" : les animaux, les pauvres, les homosexuels, les femmes.
Le Mal est ici insufflé par un capitalisme et une société de consommation totalement dégénérés et obsessionnels. Bret Easton Ellis en fait une représentation à la fois lyrique et grotesque.
Annick Liedts - Linternaute

> Le portrait lucide et froid d'un golden boy de Wall Street qui, la nuit venue, se transforme en serial killer et, à travers lui, celui d'une Amérique rongée par l'argent et la violence.
L'Express
  Joop-le-philosophe | Dec 15, 2018 |
L'apparence est le centre de ce livre, c'est la quête du héros, sembler être le meilleur, le plus beau, le plus riche, le plus puissant..
J’ai lu les 200 premières pages sans souci (ok le mec est un monstre lubrique complètement névrosé) mais ensuite, le rythme des meurtres sordides s’est intensifié. J’ai dû survoler 6-8 pages sans trop lire, juste en diagonale, car je n’arrivais pas, tout simplement pas.
C'est un monstre duplique, manipulateur, cynique, dérangé, prédateur…mais aussi tellement vide, creux, seul, superficiel, influençable… comment ces deux personnalités cohabitent ??
La fin est vraiment au niveau. ( )
  nar_ | Jun 5, 2013 |
Attention, chronique froide et ultra-violente d'un psychopathe golden boy. C'est à la fois choquant, glaçant et... fascinant. Ellis choisit un style brut et clinique afin de décrire aussi bien la meilleure manière de se raser, le dernier disque à acheter qu'une scène insoutenable de torture - que faire avec un rat affamé, un tuyau et... un vagin ? Vous l'apprendrez -. L'ambiance années 80 amuse ; et pourtant, si la technologie décrite paraît aujourd'hui démodée au possible, on se dit que l'humain n'a au contraire guère évoluer et que des Patrick Bateman, pour qui une vie n'a guère de valeur en comparaison d'une chemise Armani, s'affirment encore et toujours sans le moindre état d'âme. Demeure le doute et l’ambiguïté sur lesquels Ellis jouent avec brio : et si toute cette horreur n'existait que dans la tête de cet anti-héros ? Impossible de trancher. Libre à chaque lecteur d'opter pour l'interprétation qui le rassurera le plus. ( )
  PaFink | Feb 19, 2012 |
Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant goldenboy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d’une Amérique autosatisfaite où l’argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, American Psycho, qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd’hui un best-seller mondial.
  vdb | Dec 29, 2011 |
Un livre tout simplement exceptionnel. Le livre que j'aurai voulu écrire. ( )
  fleg0063 | Apr 16, 2011 |
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"American Psycho" von Bret Easton Ellis ist ein kontroverser Roman aus dem Jahr 1991. Die Geschichte spielt im Manhattan der späten 1980er Jahre und wird von Patrick Bateman, einem wohlhabenden und erfolgreichen Investmentbanker, erzählt. Oberflächlich betrachtet scheint Bateman ein typischer Yuppie zu sein, doch unter seinem polierten Äußeren verbirgt sich eine dunkle und gestörte Persönlichkeit.

Im Laufe der Geschichte wird klar, dass Bateman ein psychopathischer Mörder ist, der brutale und sadistische Taten begeht. Der Roman befasst sich mit den Exzessen der materialistischen und hedonistischen Kultur dieser Zeit, wobei Bateman zwanghaft auf Konsum, Mode und die Oberflächlichkeit seines sozialen Umfelds fixiert ist.

In der Erzählung verschwimmen die Grenzen zwischen der Realität und Batemans zunehmend aus den Fugen geratenem Geist, so dass der Leser den Wahrheitsgehalt der Ereignisse in Frage stellt. Der Roman erforscht Themen wie Entfremdung, Nihilismus und die entmenschlichenden Auswirkungen einer Gesellschaft, die vom Schein besessen ist.

"American Psycho" ist bekannt für seine expliziten und anschaulichen Gewaltdarstellungen, die bei seinem Erscheinen sowohl Beifall als auch Kontroversen auslösten. Ellis' Werk wird oft als satirische Kritik am Exzess der 1980er Jahre und als Kommentar zur moralischen Leere einer Kultur gesehen, die materiellen Reichtum und Oberflächlichkeit in den Vordergrund stellt. Der Roman ist inzwischen zu einem Kultklassiker geworden und hat Diskussionen über die Art seiner Erzählung und die darin enthaltene Gesellschaftskritik ausgelöst.
ajouté par vibesandall | modifierLove Books Review (2023)
 
I read “American Psycho” for the first time recently, and this is certain: This novel was ahead of its time.

ajouté par vibesandall | modifierThe New York Times, DWIGHT GARNER (Mar 24, 2016)
 
What’s rarely said in all the furor over this novel is that it’s a satire, a hilarious, repulsive, boring, seductive, deadpan satire of what we now call--as if it were something in the past--the Age of Reagan.
ajouté par vibesandall | modifierLos Angeles Times, Henry Bean (Mar 17, 1991)
 
That was its point, argues Irvine Welsh – it is a brilliant depiction of the savage society we’ve created
ajouté par vibesandall | modifierThe Guardian, Irvine Welsh
 
The first novel to come along in years that takes on deep and Dostoyevskian themes…. [Ellis] is showing older authors where the hands come to on the clock.
ajouté par vibesandall | modifierVanity Fair, Norman Mailer
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Ellis, Bret Eastonauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Culicchia, GiuseppeTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Lenders, BaltTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Épigraphe
L'auteur de ce journal et le journal lui-même appartiennent évidemment au domaine de la fiction. Et pourtant, si l'on considère les circonstances sous l'action desquelles s'est formée notre société, il apparaît qu'il peut, qu'il doit exister parmi nous des êtres semblables à l'auteur de ce journal. J'ai voulu montrer au public, en en soulignant quelque peu les traits, un des personnages de l'époque qui vient de s'écouler, un des représentants de la génération qui s'éteint actuellement. Dans ce premier fragment, intitulé Le Sous-Sol, le personnage se présente au lecteur, il expose ses idées et semble vouloir expliquer les causes qui l'ont fait naître dans notre société. Dans le second fragment, il relate certains évènements de son existence.

Fedor Dostoïevski
Le Sous-Sol
Une des grandes erreurs que l'on peut commetre est de croire que les bonnes manières ne sont que l'expression d'une pensée heureuse. Les bonnes manières peuvent être l'expression d'un large éventail d'attitudes. Voici le but essentiel de la civilisation : exprimer de façon élégante et non pas agressive. Une de ces errances est le mouvement naturiste, rousseauiste des années soixante où l'on disait : "Pourquoi ne pas dire tout simplement ce que l'on pense ?" La civilisation ne peut exister sans quelques contraintes. Si nous suivions toutes nos impulsions, nous nous entretuerions.

Miss Manners (Judith Martin)
And a thing fell apart
Nobody paid much attention


Talking Heads
Dédicace
Pour Bruce Taylor
Premiers mots
ABANDONNE TOUT ESPOIR, TOI QUI PENETRES ICI peut-on lire, barbouillé en lettres de sang au flanc de la Chemical Bank, presque au coin de la Onzième Rue et de la Première Avenue, en caractères assez grands pour être lisibles du fond du taxi qui se faufile dans la circulation au sortir de Wall Street, et à l'instant où Timothy Price remarque l'inscription un bus s'arrête et l'affiche des Misérables collée à son flanc lui bouche la vue mais cela ne semble pas contrarier Price, qui a vingt-six ans et travaille chez Pierce & Pierce, car il promet cinq dollars au chauffeur s'il monte le son de la radio, qui passe Be My Baby sur WYNN, et le chauffeur, un Noir, un étranger, obtempère.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
And if another round of Bellinis comes within a twenty-foot radius of this table we are going to set the maitre d' on fire. So you know, warn him. - Timothy Price
"Beat the shit out of him," the girl suggests, pointing at me. "Oh honey," I say, shaking my head, "the things I could do to you with a coat hanger."
"Blitzen was a reindeer"
"The only Jewish one," Peterson reminds us.
...McDermott, in a state of total frustration, asked the girls if they knew the names of any of the nine planets. Libby and Caron guessed the moon. Daisy wasn't sure but she actually guessed...Comet. Daisy thought that Comet was a planet. Dumbfounded, McDermott, Taylor and I all assured her that it was.
"Lobster to start with? And for an entrée?"
"What do you want me to order? The Pringle Potato Chip appetizer?"
Derniers mots
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (2)

In a black satire of the eighties, a decade of naked greed and unparalleled callousness, a successful Wall Street yuppie cannot get enough of anything, including murder. In American Psycho, Bret Easton Ellis imaginatively explores the incomprehensible depths of madness and captures the insanity of violence in our time or any other. Patrick Bateman moves among the young and trendy in 1980s Manhattan. Young, handsome, and well educated, Bateman earns his fortune on Wall Street by day, while spending his nights in ways we cannot begin to fathom. Expressing his true self through torture and murder, Bateman prefigures an apocalyptic horror that no society could bear to confront.

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