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Chargement... American Psycho (1991)par Bret Easton Ellis
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. L'apparence est le centre de ce livre, c'est la quête du héros, sembler être le meilleur, le plus beau, le plus riche, le plus puissant.. J’ai lu les 200 premières pages sans souci (ok le mec est un monstre lubrique complètement névrosé) mais ensuite, le rythme des meurtres sordides s’est intensifié. J’ai dû survoler 6-8 pages sans trop lire, juste en diagonale, car je n’arrivais pas, tout simplement pas. C'est un monstre duplique, manipulateur, cynique, dérangé, prédateur…mais aussi tellement vide, creux, seul, superficiel, influençable… comment ces deux personnalités cohabitent ?? La fin est vraiment au niveau. Attention, chronique froide et ultra-violente d'un psychopathe golden boy. C'est à la fois choquant, glaçant et... fascinant. Ellis choisit un style brut et clinique afin de décrire aussi bien la meilleure manière de se raser, le dernier disque à acheter qu'une scène insoutenable de torture - que faire avec un rat affamé, un tuyau et... un vagin ? Vous l'apprendrez -. L'ambiance années 80 amuse ; et pourtant, si la technologie décrite paraît aujourd'hui démodée au possible, on se dit que l'humain n'a au contraire guère évoluer et que des Patrick Bateman, pour qui une vie n'a guère de valeur en comparaison d'une chemise Armani, s'affirment encore et toujours sans le moindre état d'âme. Demeure le doute et l’ambiguïté sur lesquels Ellis jouent avec brio : et si toute cette horreur n'existait que dans la tête de cet anti-héros ? Impossible de trancher. Libre à chaque lecteur d'opter pour l'interprétation qui le rassurera le plus. Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant goldenboy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d’une Amérique autosatisfaite où l’argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, American Psycho, qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd’hui un best-seller mondial. Appartient à la série éditorialeEst contenu dansContientFait l'objet d'une adaptation dansEst un guide de référence deListes notables
In a black satire of the eighties, a decade of naked greed and unparalleled callousness, a successful Wall Street yuppie cannot get enough of anything, including murder. In American Psycho, Bret Easton Ellis imaginatively explores the incomprehensible depths of madness and captures the insanity of violence in our time or any other. Patrick Bateman moves among the young and trendy in 1980s Manhattan. Young, handsome, and well educated, Bateman earns his fortune on Wall Street by day, while spending his nights in ways we cannot begin to fathom. Expressing his true self through torture and murder, Bateman prefigures an apocalyptic horror that no society could bear to confront. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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-- American Psycho nous dresse un portrait de la sophistication ultime et vaine de l'être humain à la fin du vingtième siècle, être humain qui, malgré tout, reste un animal.
—Dante Mullin, Saguenay (ICI.Radio-Canada.ca)
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ellis-American-Psycho/156995
> Nicolas (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R3I2G11G9AWQ8?ref=pf_vv_at_pdctrvw_srp
> L'Express : https://www-lexpress-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.lexpress.fr/culture/livre/qui...
> Tangence, No 44 (juin 1994), pp. 94–105 : https://id.erudit.org/iderudit/025816ar ; DOI : https://doi.org/10.7202/025816ar
> Vanity Fair : https://www-vanityfair-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.vanityfair.fr/amp/culture/v...
> Pour « l’écriture cannibale qui phagocytera la pub, les marques, l’oral et le cinéma » (Catherine Mavrikakis); ex-æquo avec James Ellroy, Le quatuor de Los Angeles (1987-1992) (qui comprend Le Dahlia noir, Le grand nulle part, L.A. Confidential et White Jazz) – Une oeuvre « qui a dévoyé, voire perverti, notre récente littérature. Ellroy a chambardé les notions du vrai et du faux en s’incluant lui-même, en tant qu’écrivain et personnage, comme témoin des faits et gestes d’une ville, d’une époque. » (Alain Fisette).
—La presse, 7 sept. 2008
> Zaller Robert. American Psycho, American Censorship and the Dahmer Case.
In: Revue Française d'Etudes Américaines, N°57, juillet 1993. Cinéma américain : aux marches du Paradis. pp. 317-325. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rfea_0397-7870_1993_num_57_1_1511
> La société de consommation dégénérée et l'Argent
Dans "American Psycho", Bret Easton Ellis met en scène un jeune et riche golden-boy obsédé par son mobilier, ses
cartes de visites, les restaurants hypes et bien sûr, chaque détail de son apparence physique.
Sa particularité ? Lorsqu'il ne travaille pas, Patrick Bateman égorge, tue et viole à peu près tout ce qui lui tombe sous la main avec une férocité extrême.
La volonté de puissance de Bateman est sans limite, et il s'en prend en priorité à ceux qu'il considère comme "faibles" : les animaux, les pauvres, les homosexuels, les femmes.
Le Mal est ici insufflé par un capitalisme et une société de consommation totalement dégénérés et obsessionnels. Bret Easton Ellis en fait une représentation à la fois lyrique et grotesque.
—Annick Liedts - Linternaute
> Le portrait lucide et froid d'un golden boy de Wall Street qui, la nuit venue, se transforme en serial killer et, à travers lui, celui d'une Amérique rongée par l'argent et la violence.
—L'Express