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The Dog Stars par Peter Heller
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The Dog Stars (édition 2012)

par Peter Heller

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
2,8852214,897 (3.92)326
Surviving a pandemic disease that has killed everyone he knows, a pilot establishes a shelter in an abandoned airport hangar before hearing a random radio transmission that compels him to risk his life to seek out other survivors.
Membre:speakfreelynow
Titre:The Dog Stars
Auteurs:Peter Heller
Info:Knopf (2012), Edition: First Edition, Hardcover, 336 pages
Collections:En cours de lecture
Évaluation:
Mots-clés:fiction, RPL, RTG

Information sur l'oeuvre

La Constellation du Chien par Peter Heller

  1. 90
    Station eleven par Emily St. John Mandel (benjclark)
  2. 70
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  3. 60
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  4. 30
    La Terre demeure par George R. Stewart (amysisson, IamAleem)
  5. 30
    Le Fleau par Stephen King (labrick)
    labrick: Both about a pandemic and colorado is the setting for both, although The Stand has elements of the paranormal.
  6. 20
    La parabole du semeur par Octavia E. Butler (amysisson)
  7. 00
    Children in Reindeer Woods par Kristin Ómarsdóttir (whymaggiemay)
    whymaggiemay: Same feelings of loss and confusion
  8. 00
    Join par Steve Toutonghi (jbizroe)
  9. 00
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  10. 34
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  11. 01
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C’est tout ce qu’il me reste à présent. Ces choix-là. Et pourtant. Je ne veux pas tomber en panne sèche et m’écraser dans les hautes herbes à l’ouest de la vallée de Gunnison et mourir en essayant de parcourir cinq cents kilomètres à pied avec Jasper pour rentrer chez moi. Chez moi. Même si ce n’est pas grand-chose. Même si je n’ai rien à perdre. N’avoir rien à perdre c’est déjà quelque chose.
(p. 56, Chapitre 1, Partie 1).

Ce n’est pas qu’il ne reste rien. Il reste tout ce qui était avant, moins un chien. Moins une femme. Moins le bruit, la clameur de.
(p. 150, Chapitre 1, Partie 2).


Qui aurait cru que je serais allée à ma première rencontre littéraire dans la petite ville provinciale à côté de chez moi ? Pas même une ville secondaire, une ville tertiaire, voire quaternaire ? Et qui aurait cru que ce serait pour rencontrer un écrivain américain maintes fois primé ? Eh oui, il s’agissait de Peter Heller, qui a régalé son auditoire de nombreuses anecdotes, de quelques réflexions sur le processus d’écriture et de grands sourires ravageurs. Ce fut pour moi une belle expérience littéraire, nouvelle et agréable,
Alors, bien sûr, il m’a fallu me documenter un peu. Je dois avouer m’y être pris tard et n’avoir eu le temps de lire que quelques dizaines de pages avant la rencontre. Je l’ai fini bien longtemps après. J’avais repéré ce livre probablement à sa sortie en France si j’en crois la date à laquelle je l’ai entré dans ma longue liste de livres-à-lire-un-jour-peut-être. Mais la couverture, avec cet homme qui s’éloigne d’un feu avec son bidon d’essence, sous un ciel aux couleurs criardes et fausses m’avait rebutée. Cette fois, je ne me suis pas trop fait prier cette fois pour m’y plonger.
Et ce fut au départ une très belle surprise. On est après la catastrophe. Ce qu’est cette catastrophe n’est qu’évoqué. Il fait chaud, il y a une maladie a priori incurable, mais aucun besoin d’en savoir plus. Cela permet d’ailleurs de mieux s’identifier au personnage principal, qui est aussi le narrateur de cette histoire, Hig. Vivant près de Denver, cet homme est, à mes yeux d’habitante du vieux continent, l’archétype du cow-boy américain moderne. Il vit dans un de ces états mythiques de l’Ouest américain, il aime chasser et pêcher pour être au plus proche de la nature, il aime voler dans son Cessna pour se sentir libre. Un homme, un vrai, un peu caricatural, mais aussi très sensible, qui aime son chien plus que son voisin, qui lit de la poésie japonaise, qui aime les paria, et qui rêve à tout ce qui a été perdu tout en tentant d’aller de l’avant.
Il forme un duo improbable avec Bangley, lui aussi un archétype américain, mais plutôt de la catégorie vétéran du Vietnam, vétéran qui en est sorti renforcé et conforté dans ses jugements à l’emporte-pièce. La façon dont Peter Heller démarre son histoire, sans regarder vers l’arrière, lui permet d’exposer cette association comme un état de fait, sans avoir à la justifier alors qu’elle est plus qu’improbable, mais pourquoi pas. Elle permet à l’auteur, par l’entremise de son personnage-narrateur de beaucoup réfléchir à ce qu’est cette vie après la catastrophe. Qu’est-ce qui pousse à continuer, pourquoi le faire ? Hig est en général plus près de l’abattement que de l’espoir et semble en définitive continuer à vivre plus par habitude que par volonté même s’il s’accroche à chaque petite parcelle de plaisir avec l’énergie qui est celle du désespoir.
Toute la première partie du roman est donc véritablement intéressante, à deux bémols près. Le premier est qu’il faut s’habituer au phrasé très personnel de Peter Heller. Voulant rendre un style parlé, ou se réapproprier les théories du flux de conscience, Peter Heller manie en effet la ponctuation de façon très personnelle et passablement déroutante, mais j’ai fini par m’y faire et par me laisser porter. Le second bémol est qu’il faut aussi accepter de passer outre les réserves que l’on peut avoir face au deuxième amendement, car dans ce livre, on a la gâchette plutôt facile, et c’est un euphémisme que de dire cela.

Mais je crains que Peter Heller ne sache pas s’arrêter. Alors que les quelques premières centaines de pages se tiennent et forment un tout cohérent, il semble que l’auteur ait été rattrapé par la morosité de son personnage et ait eu besoin de se changer les idées. Il a alors donné un tout autre ton à son livre, avec, selon moi, un peu trop de sirop et de bien pensance pour rester cohérent et fidèle à son personnage et à son histoire. On oscille alors entre un espoir béat et artificiel (un deus ex machina au féminin, rien de moins) et des scènes de violence gratuite et incohérente. Pourquoi les personnages trouvent-ils normal de tirer sur tout ce qui bouge avant de connaître les intentions de leurs visiteurs et trouvent-ils anormal, quand ils arrivent eux-mêmes dans un nouvel endroit, d’être accueillis de la même façon qu’ils accueillent eux-mêmes les étrangers ?
Dommage, car le livre partait plutôt bien, mais il dérape en cours de route et j’en suis la première chagrinée car j’aurais aimé l’aimer jusqu’au bout. Ce livre étant le premier de Peter Heller, je vais me dire que c’est une erreur de débutant d’avoir laissé son histoire le déborder et je pense que je lui donnerai une autre chance, peut-être en sautant directement au troisième, Céline, quand il sera paru en poche. C’était l’objet de la rencontre à laquelle j’ai assistée et le sujet avait l’air plutôt intéressant. Et cette fois, la couverture a de bien plus belles couleurs…
  raton-liseur | Jun 10, 2019 |
Heller's writing is stripped-down and minimalist, like a studio apartment in Sparta. It's an Armageddon book as written by Ernest Hemingway. The future is spare. If you see an adjective, kill it.
ajouté par WeeklyAlibi | modifierWeekly Alibi, John Bear (Jul 26, 2012)
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Peter Hellerauteur principaltoutes les éditionscalculé
Deakins, MarkNarrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Épigraphe
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To Kim
Premiers mots
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I keep the Beast running, I keep the 100 low lead on tap, I foresee attacks.
Citations
Derniers mots
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Notice de désambigüisation
Directeur de publication
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Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

Surviving a pandemic disease that has killed everyone he knows, a pilot establishes a shelter in an abandoned airport hangar before hearing a random radio transmission that compels him to risk his life to seek out other survivors.

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Résumé sous forme de haïku

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