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José Eduardo Agualusa

Auteur de Le Marchand de passés

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A propos de l'auteur

José Eduardo Agualusa was born on December 13, 1960 in Huambo, Angola. He studied agronomy and silviculture in Lison, Portugal. He has worked as a journalist for the Portuguese magazine LER, the Brazilian newspaper O Globo, and the Angolan portal Rede Angola. He is also the host of a radio program afficher plus A Horas das Cigarras on the RDP Africa channel. He is an award-winning writer whose work has been translated into multiple languages. Those translated to English include Creole, winner of the Portuguese Grand Prize for Literature; The Book of Chameleons, which won the Independent Foreign Fiction Prize; My father's wives, and Rainy Season. He has written four plays W generation, O monologo, Chovem amores na Rua do Matador (written with Mia Couto), and A Caixa Preta (written with Mia Couto). His work also includes novellas, short stories, and poetry. His recent novels include A educacao sentimental dos passaros, A Vida no Ceu, and A Rainha Ginga, and a book of short stories O Livro dos Camaleoes. (Bowker Author Biography) afficher moins

Œuvres de José Eduardo Agualusa

Le Marchand de passés (2004) 476 exemplaires
Théorie générale de l'oubli (2012) 436 exemplaires
Les femmes de mon père (2008) 113 exemplaires
The Society of Reluctant Dreamers (2017) 103 exemplaires
Creole (1997) 98 exemplaires
Rainy Season (1996) 57 exemplaires
Barroco tropical (2009) 53 exemplaires
A Vida no Céu (2013) 35 exemplaires
Um estranho em Goa (2000) 28 exemplaires
Milagrário Pessoal (2010) 25 exemplaires
La guerre des anges (2002) 21 exemplaires
A Conjura (1989) 19 exemplaires
Fronteiras Perdidas (1999) 18 exemplaires
A girafa que comia estrelas (2005) 16 exemplaires
A feira dos assombrados (1992) 14 exemplaires
Estranhões & Bizarrocos (2000) 14 exemplaires
Manual Prático de Levitação (2005) 11 exemplaires
Catálogo de Sombras (2003) 9 exemplaires
The Living and the Rest (2023) 9 exemplaires
Passageiros Em Transito (2008) 8 exemplaires
Nação Crioula 8 exemplaires
Os Vivos e os Outros (2020) 6 exemplaires
O paraiso e outros infernos (2018) 4 exemplaires
Naçao Crioula (2017) 4 exemplaires
Contos (2010) 3 exemplaires
O lugar do morto (2011) 3 exemplaires
Um Pai em Nascimento (2010) 3 exemplaires
MAIS BELO FIM DO MUNDO (O) (2021) 3 exemplaires
Contos que Contam — Auteur — 2 exemplaires
Estação das Chuvas (2007) 2 exemplaires
Regentijd 2 exemplaires
LA REINA GINGA (2019) 2 exemplaires
Emergencia (2000) 2 exemplaires
Rainha Dos Estapafúrdios (2012) 2 exemplaires
遗忘通论 2 exemplaires
Nação Crioula 1 exemplaire
Nweti e o Mar (2011) 1 exemplaire
244. Era uma vez 1 exemplaire
NAÇÃO CRIOLO 1 exemplaire
Opća teorija zaborava (2016) 1 exemplaire
A Conjura 1 exemplaire
The Book of Chameleons (2022) 1 exemplaire
O Ano em Que Zumbi Tomou o Rio (2017) 1 exemplaire
Obecná teorie zapomínání (2021) 1 exemplaire
Prodavač minulostí (2020) 1 exemplaire
A VIDA NO CÉU 1 exemplaire
La saison des fous: roman (2003) 1 exemplaire
Nação crioula 1 exemplaire
La vida en el cielo 1 exemplaire

Oeuvres associées

Found in Translation (2018) — Contributeur, quelques éditions36 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1960-12-13
Sexe
male
Nationalité
Angola
Lieu de naissance
Huambo, Angola
Lieux de résidence
Lisbon, Portugal
Amsterdam, Netherlands
Brazil
Angola
Organisations
União dos Escritores Angolanos
Courte biographie
José Eduardo Agualusa è nato, nel 1960, a Huambo in Angola e oggi vive tra Lisbona, Rio de Janeiro e Luanda. Giornalista ed editore, è soprattutto l'autore di alcuni tra i romanzi più apprezzati negli ultimi anni dai lettori portoghesi e brasiliani. Le sue opere, alcune delle quali saranno presto adattate per il cinema, sono state tradotte nelle principali lingue europee. In Italia, La Nuova Frontiera ha già pubblicato il romanzo Quando Zumbi prese Rio.

Membres

Critiques

En allemand liberté se dit Freiheit. Qui vient de freihalsfrei hals – qui veut dire “cou libre”. La liberté c’est vivre sans le poids d’une chaîne en fer autour du cou.
Dieu avait été, durant toutes ces années, ma chaîne en fer autour du cou.

(p. 82, Partie 4, Chapitre 3).


Quel titre prometteur… Je ne connaissais pas la reine Ginga et j’étais toute prête à découvrir cette figure africaine des XVIème et XVIIème siècles, de même que de voir comment les Africains avaient inventé le monde. Un nouveau point de vue sur la première époque de la mondialisation, celle de la Renaissance, c’était alléchant, et même si je n’avais eu qu’un avis mitigé sur un précédent roman de cet auteur, j’étais prête à me laisser à nouveau embarquer.
Mais de la reine Ginga il est peu question ici, à part quelques informations données comme au détour d’une page sur l’organisation de sa cour, sa manière de mener sa cour ou de se lancer dans des guerres sanglantes. Intéressant, mais cela reste au niveau de l’anecdote. Et puis en terme d’invention du monde par les Africains, je n’ai pas vu grand-chose. D’ailleurs, on croise plus de Portugais et de Hollandais que d’Africains dans ce livre…
Alors que reste-t-il car il faut bien les remplir ces pages ? Eh bien l’histoire d’un prêtre parti à la découverte d’une nouvelle contrée et qui, ébloui par la façon de vivre qu’il découvre, en perd sa foi et sa vocation. Et cela, c’est une histoire qui a été maintes fois contée, en littérature ou au cinéma, rendant ce livre beaucoup moins original que ce que je pensais trouver. Une histoire riche, pourtant, il est certain qu’Agualusa ne lésine pas sur les péripéties et n’épargne pas son personnage. Les démêlés politiques, l’Inquisition, tout y passe. Et il est intéressant de voir à quel point, effectivement, le monde est déjà inventé dans une ville comme Luanda au début des années 1700, On croise des Africains et des Européens bien sûr, mais aussi des Arabes, et la reine s’habille avec de la soie chinoise (un détail que j’ai noté). Les déplacements sont aussi déjà nombreux entre l’Afrique, l’Amérique et l’Europe. Certes tout cela est réservé à une minorité, mais cela dessine une société en mouvement bien éloignée de l’image que l’on en a.
Un autre point intéressant dans ce roman est la façon dont l’esclavage est décrit. Avec des acteurs plus nombreux que prévus, des soutiens à l’esclavage comme des opposants, tous forts d’un agenda politique qui leur est personnel. Avec aussi une fluidité dans la condition d’esclave en Afrique qui est loin de la situation plus figée que l’on trouve de l’autre côté de l’océan.

En définitive, il y a des points intéressants dans ce livre, même si ce ne sont pas ceux que pourraient faire croire le titre et la quatrième de couverture. Mais il est dommage que cet intéressant ne soit pas mieux mis en valeur par une intrigue et un style qui se tiennent plus et qui donne du plaisir au lecteur au fil des pages. J’ai finalement quitté ces personnages sans regret, et avec l’impression que j’aurais pu en apprendre plus si le livre avait été construit différemment, ou que j’aurais pu prendre plus de plaisir à cette lecture si le style et l’enchaînement des péripéties avaient été autres.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 1 autre critique | Nov 16, 2021 |

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