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2below: For anyone interested in exploring spiritual autobiographies, C. S. Lewis' is worth checking out. Unlike Augustine, who covers the entire span of his life from birth to his conversion in adulthood, Lewis focuses on his childhood and young adult years and how his experiences during this time shaped the development of his spiritual life as he got older. I found Lewis' book a much quicker read than Augustine's, though both are very good.… (plus d'informations)
>LES CONFESSIONS, par Saint Augustin. — Dans ce classique de la littérature, Augustin raconte sa vie à partir du sein de sa mère à sa conversion tardive au christianisme. -- Ce livre a influencé décisivement l'inconscient collectif occidental en particulier dans le triomphe d'une conception anthropologique basée sur l'idée de la décadence humaine. Au moment où il écrit, Augustin voit d'ailleurs la «romanitas» s'effondrer petit à petit, le «déclin de l'empire romain». Qui plus est, il périra aux moments des «invasions barbares». —Louis Georges Deschênes, Sherbrooke (ICI.Radio-Canada.ca)
> Les confessions de Augustin Se reporter au compte rendu de Platonov In: Critiques Libres, le 3 mars 2002 (Vernon, Inscrit le 7 septembre 2001, 37 ans)… ; (en ligne), URL : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/2309
> Une splendide méditation sur ce qu'est de vivre le temps sans s'y perdre. —Émilio Balturi
> Un classique, certes... Par Nicolas (Le blog de Menon), le 15 avril 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne), URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R2D0FSXWIH3RWS?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr... Les Confessions constituent un monument de la littérature religieuse et philosophique de l’occident. Ecrites entre 397 et 401, elles voient l’évêque d’Hippone se livrer au premier récit autobiographique. Pour la première fois, un homme entend se dépeindre et donner à lire sa vie. Outre son propre cheminement vers Dieu et la raison de sa conversion au catholicisme après un passage par la philosophie et la religion manichéenne, Augustin parle du Temps, de la création du monde et du sens allégorique de la Genèse qui en donne justement le récit. Si la première partie, consacrée à raconter son parcours et ce qui l’a conduit à Dieu m’a plu par son style enlevé (traduction du XVIIème de Robert Arnaud d’Andilly), la partie plus métaphysique et religieuse m’a semblé incroyablement lourde tant Augustin piétine, se révèle pédant et incapable de donner à sa Recherche la dynamique propre à passionner et à inviter au voyage philosophique. Bien conscient que de tels propos me vaudront sans doute les gros yeux de plus d’un lecteur, je conclurais en rappelant que, malgré tout, les Confessions n’en constituent pas moins une œuvre essentielle puisqu’elle voit l’autobiographie faire son apparition et qu’elle invite à interroger le sens allégorique des Ecritures ce qui, au vu du ton déploré employé par Augustin, semblait déjà être, pour l’époque, une véritable révolution.
"Les Aveux", nouvelle traduction des Confessions de Saint-Augustin, donnent à lire un document exceptionnel sur les débuts du christianisme. Apparemment cette traduction dynamise le texte, ou plutôt renoue fidèlement avec l'original. Dans les dix premiers chapitres, Saint-Augustin raconte sa vie. Aujourd'hui, tout le monde le fait, mais pour l'époque c'était simplement révolutionnaire. Les derniers chapitres proposent davantage une profession de foi, un développement théologique. Je trouve les premiers plus intéressants car plus vivants : l'école, les amis, les amours, la mère, les métiers de Saint-Augustin : autant d'évocations qui donnent un bel aperçu de la vie quotidienne dans l'Antiquité tardive. ( )
Les Confessions est une œuvre autobiographique d'Augustin d'Hippone, écrite entre 397 et 398, où il raconte sa quête de Dieu. Il a donc un double but : avouer ses péchés et ses fautes directement à Dieu (confession au sens chrétien) mais aussi proclamer la gloire de Dieu. L'œuvre est composée de treize livres. « Les treize livres de mes Confessions louent le Dieu juste et bon de mes maux et de mes biens, ils élèvent vers Dieu l'intelligence et le cœur de l'Homme. » C'est un ouvrage fondamental, tant par la profondeur des analyses qui y sont faites que par la qualité du style de l'écriture. Cette œuvre est considérée comme une œuvre autobiographique et non pas comme une autobiographie. En effet, elle ne répond pas aux caractéristiques de l'"autobiographie" définies par le critique littéraire Philippe Lejeune en 1978, et validées par l'Académie française : « récit rétrospectif en prose qu'une personne réelle fait de sa propre existence lorsqu'elle met l'accent sur sa vie individuelle, en particulier sur l'histoire de sa personnalité. » En réalité, ce sont les Confessions de Rousseau qui sont considérées comme la première autobiographie. Il est vrai cependant que Rousseau prit Augustin pour modèle, lors de la rédaction de ses propres Confessions. Beaucoup d'auteurs reprirent par la suite des thèmes abordés par Augustin, notamment : * l'importance de l'enfance dans la constitution de la personnalité ; * l'adolescence comme une période de troubles ; * l'amitié et les amours ; * l'emprise du passé sur le présent ; * l'inquiétude de l'homme comme un élément constitutif de celui-ci ; * le sentiment de ses fautes et le caractère coupable du cœur de l'homme ; * la mémoire et le temps qui passent. ( )
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An allegorical interpretation of the first chapter of Genesis (Book XIII)
Dédicace
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dedicated to parentibus meis
Premiers mots
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You are great, O Lord, and greatly to be praised: great is your power and to your wisdom there is no limit.
You are great, O Lord, and very worthy of praise; mighty is your power and your wisdom is immeasurable.
'Vast are you, Lord, and vast should be your praise' - 'vast what you do; what you know beyond assaying.'
Great art Thou, O Lord, and greatly to be praised; great is Thy power, and of Thy wisdom there is no number. [tr. F. J. Sheed]
Citations
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It became clear to me that things which are subject to corruption must be good, for if they were perfect, or not good at all, they could not be corrupted.
Corruption is an agent of harm but if it is not taking away from what is good, it is causing no harm.
Who remembers the sins of my infancy? ... What were my sins? Did I bawl too loudly for the breast?
As an adolescent I had prayed ... "Give me chastity and give me control over myself, BUT NOT YET".
Derniers mots
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Thus, thus is it received, thus is it found, thus is it opened to us.
-- Ce livre a influencé décisivement l'inconscient collectif occidental en particulier dans le triomphe d'une conception anthropologique basée sur l'idée de la décadence humaine. Au moment où il écrit, Augustin voit d'ailleurs la «romanitas» s'effondrer petit à petit, le «déclin de l'empire romain». Qui plus est, il périra aux moments des «invasions barbares».
—Louis Georges Deschênes, Sherbrooke (ICI.Radio-Canada.ca)
> Les confessions de Augustin
Se reporter au compte rendu de Platonov
In: Critiques Libres, le 3 mars 2002 (Vernon, Inscrit le 7 septembre 2001, 37 ans)… ; (en ligne),
URL : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/2309
> Une splendide méditation sur ce qu'est de vivre le temps sans s'y perdre.
—Émilio Balturi
> Un classique, certes...
Par Nicolas (Le blog de Menon), le 15 avril 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne),
URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R2D0FSXWIH3RWS?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
Les Confessions constituent un monument de la littérature religieuse et philosophique de l’occident. Ecrites entre 397 et 401, elles voient l’évêque d’Hippone se livrer au premier récit autobiographique. Pour la première fois, un homme entend se dépeindre et donner à lire sa vie.
Outre son propre cheminement vers Dieu et la raison de sa conversion au catholicisme après un passage par la philosophie et la religion manichéenne, Augustin parle du Temps, de la création du monde et du sens allégorique de la Genèse qui en donne justement le récit.
Si la première partie, consacrée à raconter son parcours et ce qui l’a conduit à Dieu m’a plu par son style enlevé (traduction du XVIIème de Robert Arnaud d’Andilly), la partie plus métaphysique et religieuse m’a semblé incroyablement lourde tant Augustin piétine, se révèle pédant et incapable de donner à sa Recherche la dynamique propre à passionner et à inviter au voyage philosophique.
Bien conscient que de tels propos me vaudront sans doute les gros yeux de plus d’un lecteur, je conclurais en rappelant que, malgré tout, les Confessions n’en constituent pas moins une œuvre essentielle puisqu’elle voit l’autobiographie faire son apparition et qu’elle invite à interroger le sens allégorique des Ecritures ce qui, au vu du ton déploré employé par Augustin, semblait déjà être, pour l’époque, une véritable révolution.