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Chargement... Le chardonneret (2013)par Donna Tartt
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Ce roman de Donna Tartt, seulement son troisième en deux décennies, est une franche réussite. La description de la vie maintes fois bouleversée de Theodore Decker sonne très juste et se révèle être très poignante, voire bouleversante par moments. Malgré quelques longueurs dans le premier tiers, le Chardonneret se lit avec facilité et plaisir. Il est clairement le meilleur des trois romans de l'auteur, ce que confirme le prix Pulitzer 2014 qui lui a été décerné. L'auteur est maintenant attendu au tournant pour son quatrième roman, fortement attendu. ( ![]() (Prix Pulitzer 2014). Theo a 13 ans quand il visite une exposition de peinture hollandaise avec sa mère au Metropolitan Museum of Art de New York. Un attentat. Theo se retrouve seul au milieu de cadavres et, dans un état second, emporte un petit tableau, ”Le Chardonneret” de Carel Fabritius (1622-1654). L’histoire d’une enfance brisée, d’une adolescence bouleversée, d’une errance de New York à Amsterdam, en passant par Las Vegas. Un roman long, dense et introspectif qui parle avec une infinie sensibilité de deuil, de traumatisme, de reconstruction et de résilience. Une évocation également des États-Unis, dans ce qu’ils ont de beau et d’effroyable, de pauvreté et de richesse, de solitude et de superficialité. Un livre qui parle enfin de l’importance vitale de l’art et du beau. > Le Chardonneret, Donna Tartt | Le Mot & la Chose 21 avr. 2014 - New-York, Metropolitan Museum, de nos jours. Une bombe vient d’exploser faisant une centaine de victimes. Parmi les survivants, un adolescent, Theodore Decker, qui se trouvait paradoxalement dans la salle la plus touchée, celle dans laquelle était exposée entre autres Le Chardonneret de Fabritius... > Comment survivre à ceux qu'on aime ? Donna Tartt effectue un retour magistral avec cet ample roman, où s'entrechoquent le bien et le mal... La vraisemblance historique, politique n'intéresse pas directement l'écrivaine Donna Tartt, même si elle nourrit sa dernière saga initiatique au coeur de l'Amérique d'aujourd'hui. La passionnent davantage l'enchevêtrement du bien et du mal, les frontières douloureuses entre la culpabilité et la responsabilité, les labyrinthes de la mémoire et les ravages du secret... Le miracle est que l'auteur prodige du Maître des illusions (1993) - quelque sept cents pages pour un premier roman écrit à 29 ans - puis du Petit Copain, composé dix ans plus tard, parvient à nous faire toucher magistralement dans son troisième ouvrage ce névralgique point-là. Au risque de s'y électrocuter, d'être en tout cas embrasé par une lecture qu'on ne lâchera pas huit cents pages durant. —(Fabienne Pascaud - Télérama du 8 janvier 2014) > Avec la même évidence, elle nous fait passer d'un milieu à l'autre : le New York chic des Barbour, un Las Vegas désertique, le monde des antiquaires, celui des voyous, qui amènera le héros jusqu'à Amsterdam... D'où la richesse du Chardonneret. Comme le tableau de Fabritius, avec son oiseau attaché par une chaîne à son perchoir, ce roman est le portrait d'un prisonnier " digne et vulnérable ". Ballotté par le destin, Theo est captif de son traumatisme et de son secret, cette toile qui l'accompagne partout mais qu'il n'ose déballer, dont il s'inquiète en permanence des conditions de conservation, mais qu'il ne se permet pas de regarder. Il est aussi le prisonnier de ses angoisses, de sa culpabilité et de ce à quoi il carbure - les drogues, les mensonges - pour se rendre l'existence supportable. Mais Le Chardonneret est aussi un beau roman sur l'amitié et sur la solitude. Sur le dégoût de la vie, et sur ce qui donne du prix à celle-ci... C'est un roman que l'on peut relire, avec un plaisir intact, pour y découvrir de nouvelles beautés. Comme on irait régulièrement se calfeutrer dans la même salle d'un musée. —(Raphaëlle Leyris - Le Monde du 9 janvier 2014) > Roman de la solitude et de l'amitié, des métamorphoses et des faux-semblants, hommage au roman d'apprentissage à la Dickens mais aussi à la noirceur dostoïevskienne, Le Chardonneret est une histoire qui envoûte et s'empare du lecteur avec une force irrésistible. Une réussite qui tient beaucoup à l'écriture, variée, changeante, surprenante et aux personnages, charpentés, consistants, crédibles. Aucun n'est inutile, esquissé. On se perdra dans cet univers furieusement romanesque sans hésitation, avec la certitude d'éprouver un plaisir intense et de longue durée. —(Bruno Corty - Le Figaro du 16 janvier 2014) > En peinture, tout est affaire de lumière - et d'ombres. Ainsi en est-il du troisième roman de Donna Tartt, qui, dans une éblouissante, hallucinante scène inaugurale, précipite son jeune héros de 13 ans au coeur d'un attentat perpétré dans un musée new-yorkais. Funeste déflagration qui laissera Theodore Decker orphelin de mère. Fuyant les lieux dévastés, l'adolescent ahuri subtilisera, dans un geste insensé, un tableau de maître que celle-ci affectionnait... Vingt ans après le succès du Maître des illusions, Donna Tartt livre un roman passionnant, foisonnant. Dans la torpeur d'une salle de classe par un après-midi automnal ou la clarté sèche et aveuglante du désert du Nevada, la frénésie dévorante des rues new-yorkaises ou l'atmosphère «poussiéreuse et dorée» d'une boutique d'antiquités, l'écriture picturale de l'Américaine donne ici à voir avec justesse le déchirement de «Théo», plaie ouverte dont il ne fera taire la douleur qu'en s'infligeant les brûlures d'expériences extrêmes. —(Fabienne Lemahieu - La Croix du 22 janvier 2014) > Tragique et comique, cruel et tendre, intime et démesuré, Le Chardonneret fait partie de ces rares romans qui obligent à annuler toute obligation sociale. —Thomas Mahler – Le Point > Une narration étourdissante, qui pousse à tourner les pages sans pouvoir s'arrêter. —Raphaëlle Leyris – Le Monde « Comment survivre à ceux qu'on aime ? Donna Tartt effectue un retour magistral avec cet ample roman, où s'entrechoquent le bien et le mal. » Fabienne Pascaud – Télérama Cet ouvrage a reçu le prix Pulitzer So slow, so terribly slow! Pace this: https://www.barnesandnoble.com/blog/three-things-you-missed-when-you-read-the-go... Which confirms why I could not really find interest in this book: I do not give a damn about novels being _about_ value. If I want anything _about_ value, I read philosophy. But if I want to grasp the hard side of it all: values _in action_, incarnated in their very non-conclusive motions and contradictions, I might read a novel or go to a movie. "What are things, people, experiences actually worth?" is no question I am expecting any novel to bring me any an to (especially if the narrator's view is in the end that, because you cannot want what you want, nothing has any value - actually a nice conclusion for a philosophical paper of a 18yo French teenager, but hardly anything he would go on holding for rue a few years later). The Goldfinch might be a good novel, but definitely not for me. Être et avoir été... Donna Tartt à été un phénomène littéraire... à juste titre, c'était il y a bien longtemps... Faire long pour faire long, c'est ça l course au "great american novel"?
Good things are worth waiting for. . . a tour de force that will be among the best books of 2013. It’s my happy duty to tell you that in this case, all doubts and suspicions can be laid aside. “The Goldfinch” is a rarity that comes along perhaps half a dozen times per decade, a smartly written literary novel that connects with the heart as well as the mind. I read it with that mixture of terror and excitement I feel watching a pitcher carry a no-hitter into the late innings. You keep waiting for the wheels to fall off, but in the case of “The Goldfinch,” they never do. Book review in English 2 out of 5 Book review in English 5 out of 5 stars Fait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsNotable Lists
Theo Decker a 13 ans. Il vit les derniers instants de sa vie d'enfant. Survivant miraculeux d'une explosion gigantesque en plein New York, il se retrouve seul dans la ville, orphelin, et se réfugie chez les parents d'un ami pour échapper aux services sociaux. Tout ce qui lui reste de sa mère, c'est une toile de maître minuscule qui va l'entraîner dans les mondes souterrains et mystérieux de l'art.--[Memento] Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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