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Hannu Rajaniemi

Auteur de The Quantum Thief

25+ oeuvres 4,412 utilisateurs 177 critiques 7 Favoris

A propos de l'auteur

Crédit image: Photo: Zuzana Krejciova

Séries

Œuvres de Hannu Rajaniemi

The Quantum Thief (2010) 2,308 exemplaires
The Fractal Prince (2012) 784 exemplaires
The Causal Angel (2014) 527 exemplaires
Summerland (2018) 354 exemplaires
Hannu Rajaniemi: Collected Fiction (2015) — Auteur — 261 exemplaires
The New Voices of Science Fiction (2019) — Directeur de publication — 108 exemplaires
His Master's Voice (2008) 11 exemplaires
Elegy for a Young Elk 9 exemplaires
Deus ex Homine (2005) 8 exemplaires
Tyche and the Ants (2012) 7 exemplaires
The Server and the Dragon (2011) 5 exemplaires
Shibuya No Love 2 exemplaires
Gingerbread 1 exemplaire
Kosmograd Blues 1 exemplaire
Darkome (2020) 1 exemplaire
I Built a City in China (2020) 1 exemplaire
Naarssuk's Daughter 1 exemplaire
Kvantový zloděj (2012) (2012) 1 exemplaire
Hoțul Cuantic 1 exemplaire

Oeuvres associées

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Engineering Infinity (2011) — Contributeur — 353 exemplaires
The Year's Best Science Fiction: Twenty-Eighth Annual Collection (2011) — Contributeur — 295 exemplaires
Year's Best SF 11 (2006) — Contributeur — 235 exemplaires
Edge of Infinity (2012) — Contributeur — 225 exemplaires
The Year's Best Science Fiction: Thirtieth Annual Collection (2013) — Contributeur — 217 exemplaires
Twenty-First Century Science Fiction (2013) — Contributeur — 183 exemplaires
The New Voices of Fantasy (2017) — Contributeur — 175 exemplaires
The Best Science Fiction and Fantasy of the Year Volume Five (2011) — Contributeur — 148 exemplaires
The Best Science Fiction and Fantasy of the Year Volume Three (2009) — Contributeur — 143 exemplaires
Reach for Infinity (2014) — Contributeur — 139 exemplaires
The Best Science Fiction and Fantasy of the Year Volume Six (2012) — Contributeur, quelques éditions139 exemplaires
The Apex Book of World SF 2 (2012) — Contributeur — 86 exemplaires
The Best of World SF: Volume 1 (2021) — Contributeur — 83 exemplaires
The Year's Best Science Fiction & Fantasy, 2015 Edition (2015) — Contributeur — 74 exemplaires
Giants at the end of the world : a showcase of Finnish weird (2017) — Contributeur — 74 exemplaires
Infinity's End (2018) — Contributeur — 74 exemplaires
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Future Tense Fiction: Stories of Tomorrow (2019) — Contributeur — 59 exemplaires
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The Eagle Has Landed: 50 Years of Lunar Science Fiction (2019) — Contributeur — 33 exemplaires
Make Shift: Dispatches from the Post-Pandemic Future (2021) — Contributeur — 25 exemplaires
Nordic Visions: The Best of Nordic Speculative Fiction (2023) — Contributeur — 25 exemplaires
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Arc 1.1: The Future Always Wins (2012) — Contributeur — 15 exemplaires
Pwning Tomorrow (2015) — Contributeur — 11 exemplaires
Lightspeed Magazine, Issue 50 • July 2014 (2014) — Contributeur — 10 exemplaires

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Partage des connaissances

Nom légal
Rajaniemi, Hannu Jaakko
Date de naissance
1978-03-09
Sexe
male
Nationalité
Finland
Lieu de naissance
Ylivieska, Finland
Lieux de résidence
Edinburgh, Scotland, UK
San Francisco, California, USA
Études
University of Oulu (BS|Mathematics)
Cambridge University
University of Edinburgh (PhD|mathematics)
Professions
entrepreneur
writer
Organisations
ThinkTank Maths Limited
Writers' Bloc
Agent
John Jarrold
Courte biographie
Hannu Rajaniemi was born in Ylivieska, Finland, in 1978. He read his first science fiction novel at the age of 6 – Jules Verne's ''20,000 Leagues Under the Sea''. At the age of 8 Hannu approached ESA with a fusion-powered spaceship design, which was received with a polite thank you note.
Hannu studied mathematics and theoretical physics at the University of Oulu and completed a B.Sc. thesis on transcendental numbers. He went on to complete Part III of the Mathematical Tripos at Cambridge University and a PhD in string theory at University of Edinburgh. After completing his PhD, Hannu joined three partners to co-found ThinkTank Maths (TTM). The company provides mathematics-based technologies in the defence, space and energy sectors.
Hannu is a member of an Edinburgh-based writers' group which includes Alan Campbell, Jack Deighton, Caroline Dunford and Charles Stross. His first fiction sale was the short story ''Shibuya no Love'' to Futurismic.com. Hannu's first novel, ''The Quantum Thief'', is published by Gollancz in the UK and by Tor in the US.

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Critiques

Ce troisième volume est mieux construit que le deuxième, on retrouve l’amusement et la dynamique du premier. L’inspiration thématique — le monde de Narnia — est moins présente dans ce volume, qui met en avant les royaumes zokus.

C’est agréable à lire, les personnages principaux sont toujours aussi attachants, et comme on a depuis longtemps renoncé à dénouer les enchevêtrements tarabiscotés des intrigues, on peut se concentrer sur le présent sans trop se soucier du pourquoi des choses. Ce qui importe alors est de voir comment les personnages réagissent, et non pas comment ils construisent.

La fin hésite entre une conclusion à la Scoubidou et une morale d’anime japonais sans queue ni tête. Mais au point où on en est, cela importe peu. Tout à été dit, les héros sont saufs, et on peut tranquillement passer à une autre histoire.
… (plus d'informations)
 
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dClauzel | 8 autres critiques | Oct 21, 2014 |
Ce deuxième volume est beaucoup moins clair que le premier, principalement car il n’y a pas de personnage central. On suit plusieurs protagonistes dans des récits en parallèle, parfois imbriqués les uns dans les autres, pour découvrir que certains d’entre-eux décrivent depuis le début ce qui arrive plus tard. Cela crée une temporalité complexe à suivre, surtout qu’on doit réajuster la liste de qui est qui, et qui se fait passer pour qui.

L’ambiance mille et une nuits est agréable, et comme précédemment le livre se lit bien. Mais l’intrigue est confuse, parfois au point de devenir agaçante; la dernière partie est particulièrement torturée et gêne la compréhension.… (plus d'informations)
1 voter
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dClauzel | 24 autres critiques | Oct 17, 2014 |
Pffff, que ce roman est difficile à prendre en main. Les 100 premières pages — de l’évasion à l’arrivée sur Mars — sont confuses et remplies de technoverbiage. Puis les personnages sont enfin posés, cadrés, et l’intrigue exposée.

L’histoire devient alors intéressante à suivre, simple et directe, et même amusante. On se surprend à songer à des archétypes tels Arsène Lupin et Sherlock Holmes, avec des clins d’œil aux cultures geeks.

Les envolées à base de gadgets quantiques et les mafias transhumanistes restent raisonnables, ce qui permet de conserver une structure intelligible.

Le plus difficile est de tenir les 100 premières pages — qui n’apportent au fond pas grand chose au lecteur — et on profite alors d’une bonne histoire.

La principale thématique abordée est la question de la mémoire : sa fiabilité, sa gestion, et son lien avec l’identité.
… (plus d'informations)
 
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dClauzel | 102 autres critiques | Oct 14, 2014 |
La servante transhumaine d’une semi-divinité, son vaisseau cristallin intelligent et un voleur aux multiples copies quantiques rentrent dans un bar… Bon, dans "The Quantum Thief", de Hannu Rajaniemi en fait de bar, Mieli, Perhonen et Jean le Flambeur (le trio, donc) commence déjà par s’échapper d’une prison stellaire, puis se dirigent vers Oubliette, la cité mobile de Mars, à la recherche de la mémoire du voleur. C’est déjà pas mal, mais ce n’est que le début.

Dit comme ça, le roman ne sonne pas exactement comme étant facile d’accès. Il ne l’est pas réellement : les premières pages, constellées de jargon, ne sont pas évidentes à appréhender, mais le génie de l’auteur consiste à nous décrire des scènes où les différents concepts et gadgets ne forment qu’un décor exotique à une action trépidante.

Du coup, il n’est pas réellement nécessaire de savoir ce qu’est un q-dot ou un spime ni ce que ‘blink veut dire pour comprendre ce qui se passe. Immersion garantie, presque sans douleur. Par la suite, le décor apparaît de plus en plus familier et la trame devient plus touffue, on atteint le cœur de l’intrigue : une quête de l’identité qui semble être la clé vers des secrets bien plus importants.

Même s’il vit en Angleterre et écrit en anglais, "Hannu Rajaniemi" est Finlandais. Ça se voit, surtout via le personnage de Mieli, qui n’hésite pas à lâcher quelques perkele! bien sentis. C’est également un fan d’Arsène Lupin, ce qui se voit également dans le personnage de Jean Le Flambeur. De façon générale, entre les termes français, finlandais, russes et autres inventions jargoniques transhumaines, le texte est un joyeux smorgåsbord linguistique.

La trame est en apparence complexe, mais j’ai trouvé le bouquin lisible. Il y a une alternance entre les personnages, par chapitre (plus rarement par section), mais ça reste plutôt facile à suivre. Côté action, on a droit à pas mal de retournements de situation pas piqués des vers, qui rappellent également la traditions des romans populaires du début du XXe siècle.

Il y a également une palanquée d’idées très originales dans cet univers, comme la notion de pare-feu personnel, appelé « gevulot », qui permet à tout citoyen d’Oubliette de ne choisir de montrer que ce qu’il veut bien à ses contemporains (à part dans certains espaces publics où tout est réellement public).

S’il fallait faire des reproches à "The Quantum Thief", je dirais que, d’une part, le roman appelle une suite, ce qui est toujours un peu frustrant, et que le contexte général de ce système stellaire post-Singularité, qui semble avoir subi au moins une catastrophe majeure, est loin d’être évident. De plus, même si les explications sont fournies tout au long de l’ouvrage, un glossaire n’aurait pas été de trop.

La citation en exergue sur la couverture inciterait à comparer "The Quantum Thief" à "Accelerando", de Charles Stross. Ce serait en effet un peu brutal pour le pauvre Charlie, mais je n’avais pas aimé "Accelerando", non plus. Par contre, je recommande donc chaleureusement "The Quantum Thief" aux amateurs de science-fiction transhumaniste plus exotique qu’une boîte de tachyons.

(Critique parue précédemment sur Blog à part: http://alias.codiferes.net/wordpress/index.php/the-quantum-thief-de-hannu-rajani...
… (plus d'informations)
 
Signalé
SGallay | 102 autres critiques | Oct 11, 2012 |

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