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Critiques

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The return of Fitz and Robin Hobb’s incredible saga. She now takes us fifteen years down in time after the events of the Farseer Trilogy. References to the Liveship Traders to exist but are scarce. In any case we have here an ageing Fitz living reclude with his wolf and who will be drawn back into adventures with the coming of age of Prince Dutiful. The Fool plays here a prominent role by faking being a Jamaillan noble while keeping serving the Farseer bloodline. As the starter to a new trilogy things can be a little slow to be put in motion and lacking grandiose and epicness that will most likely brought in by the following books, but Hobb has once again successfully mingled psychological novel and heroic fantasy styles, sparked with some romance.
 
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corporate_clone | 72 autres critiques | May 10, 2024 |
Le début de ce 5e tome m'a achevé au point où je l'ai laissé de côté durant des mois avant de me décider à y revenir. Les tomes précédents sont trop lents, trop délayés, et celui-ci commence de la même façon. Mais heureusement sur la seconde partie du livre, le lien fait avec la saga des aventuriers de la mer rehausse grandement l'intérêt de cette histoire.
Après dans de digressions souvent inutiles, voilà enfin des choses concrètes. Même si Robin Hobb prend encore largement son temps, le récit devient plus prenant à mesure qu'on approche de la fin du livre. On sent le dénouement approcher, enfin, et on savoure son savoir faire dans la construction de l'histoire. C'est fort. Dommage d'en avoir fait 6 tomes, là ou 3 ou 4 auraient été largement suffisants.
 
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Peyridieu | 1 autre critique | May 19, 2021 |
Vous pouvez presque ignorer la première moitié du livre, tant il ne s'y passe pas grand chose.
Comme les 2 précédents on a droit à beaucoup de remplissage. Elle nous tient en allène durant 200 pages pour savoir quand Fitz va enfin percuter et/ou apprendre ce qui est arrivé à la fin du tome 2.
Il faudrait arrêter de nous prendre pour des vaches à lait et se contenter de nous raconter des histoires.
Heureusement que le style se lit bien, mais j'ai carrément sauté des paragraphes pour avancer, chose que je ne fais habituellement jamais. J'avais tenu pour tous les autres volumes, mais là c'est trop.
 
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Peyridieu | 1 autre critique | May 21, 2020 |
On a l'impression en lisant cette nouvelle série de se retrouver sur Netflix. Un épisode où il ne se passe pas grand chose, puis un coup de théâtre eu avant la fin, histoire de donner envie d'acheter la suite. Les ficelles deviennent trop voyantes.
C'est vraiment dommage car cela dessert l'histoire qui semble pourtant intéressante.
 
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Peyridieu | 1 autre critique | May 21, 2020 |
J'ai attendu que la série soit complète avant de m'y attaquer, je n'avais pas envie de devoir attendre entre la publication de chaque livre, et bien m'en a pris.
Le style de Robin Hobb et son imagination pour cet univers si riche et passionnant sont toujours excellent, mais elle fait beaucoup trop de remplissage inutile. La taille de chaque volume pourrait facilement être divisée par 2. l'intrigue n'avance pas et on a droit à toutes les redites possibles et imaginables.
Bref, je suis déçu que Robin Hobb se laisse autant guider par l’appât du gain, mais j'ai envie de savoir où elle va nous emmener dans les volumes suivants, donc je continue.
 
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Peyridieu | 2 autres critiques | May 21, 2020 |
Ce dernier roman du cycle de l'assassin royal vient terminer une série de trente-six se déroulant dans le même univers. L'auteur est parvenu à trouver une intrigue qui a permis d'unifier les différents sous-cycles. Ce livre clôture les différents fils de cette intrigue. À l'inverse du précédent roman, le rythme est plutôt intense. La conclusion, même si elle peut en décevoir certains, me semble néanmoins la plus en ligne avec les personnages de Fitz et du Fou. Un final de haute volée, complètement maîtrisé par l'auteur. Un must !
 
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Patangel | Nov 26, 2019 |
Cette seconde partie de l'avant-dernier tome du troisième cycle de l'Assassin royal de Robin Hobb est un peu moins excitant que le précédent, la faute au voyage de Fitz et du Fou qui, de Kelsingra à Partage dans les îles pirates en passant par le désert des Pluies et Trahaug, semble n'avoir que pour seul intérêt les rencontres avec les personnages au cœur du cycle des Aventuriers de la mer. Alors certes, cela prépare la vengeance qui est sûrement au centre de l'ouvrage suivant mais entraîne une baisse de rythme un peu préjudiciable, ce qui déçoit un petit peu après la qualité exceptionnelle des deux volumes précédents. Vivement la suite et fin !½
 
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Patangel | 1 autre critique | Nov 9, 2019 |
La fin de ce qui constitue le deuxième tome de trilogie du Fou et de l'Assassin termine cet ouvrage en beauté. Fitz et le Fou se lancent enfin pour un voyage à destination de Clerres afin de venger leur fille Abeille qui a désormais disparu dans un Pilier d'Art. Leur voyage les amène à Kelsingra où ils rencontrent les nouveaux Anciens au cœur du cycle de La Cité des Anciens. La réunification des cycles de l'Assassin royal, des Aventuriers de la mer et de La Cité des Anciens procure un plaisir de lecture intense, surtout que tous les évènements s’emboîtent parfaitement et rien ne paraît bricolé. On a hâte de lire la fin des aventures de tous ses personnages, même si le fait de savoir que tout se finira nous laisse à l'avance un petit goût amer.
 
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Patangel | Oct 27, 2019 |
Dans cette première partie du deuxième tome du troisième cycle de l'assassin royal, Robin Hobb ne embarrassasse plus de prélude. On est enfin dans le cœur de l'intrigue, plus besoin par exemple de présenter des personnages ou de mettre en place des situations. On est du coup transporté dès la première page dans les aventures de Fitz, du Fou, de l'enlèvement d'Abeille, tout en découvrant peu à peu les secrets d'Umbre. L'auteur semble ici au sommet de son art. Un must !
 
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Patangel | 1 autre critique | Oct 13, 2019 |
Cet ouvrage de Robin Hobb est la deuxième partie du premier roman du troisième cycle de l'Assassin royal. FitzChevalerie et sa fille Abeille doivent maintenant se débrouiller sans Molly, décédée récemment. Fitz y apprend notamment à s'occuper d'Abeille ainsi que de son domaine, Flétribois, ce qui le pousse petit à petit à ne plus se laisser aller dans sa tristesse et son apitoiement. Alors que tout semble prendre une bonne tournure pour lui comme pour sa fille, ils rencontrent tous les deux par hasard lors d'un déplacement dans un village voisin le Fou, que Fitz n'avait plus vu depuis vingt-quatre ans. Malheureusement, ne le reconnaissant pas et croyant à une attaque sur sa fille par un mendiant, Fitz le poignarde à trois reprises avant de se rendre compte de sa méprise. Grâce à la magie l'Art, Fitz parvient à l'empêcher de mourir mais il ne fait que repousser l'inévitable. Il décide alors de se rendre à Castelcerf par l'intermédiaire des Pierres Témoins pour que le clan d'Art du roi puisse l'aider à le guérir. Il confie sa fille à Évite Loinvoyant et FitzVigilant, deux jeunes gens venus récemment habiter à Flétribois. Alors que le Fou se remet de ses blessures en compagnie de Fitz à Castelcerf, Flétribois et attaqué et Abeille est capturée par des assaillants étrangers qui semblent la prendre pour le fils inattendu du Fou dont ils sont à la recherche.
La plume de Robin Hobb est toujours parfaite pour nous plonger dans la vie de Fitz et le plaisir pris à sa lecture est toujours aussi grand. On en redemande½
 
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Patangel | 1 autre critique | Oct 5, 2019 |
Ce roman de Robin Hobb, la moitié du premier de son troisième cycle de l'Assassin royal, nous replonge avec bonheur dans les aventures de FitzChevalerie Loinvoyant, bâtard de la couronne. L'auteur nous remet en mémoire les événements du passé nécessaires à une pleine compréhension de l'entourage du héros. On suit alors avec plaisir non pas les aventures de Fitz, car il ne se passe pas grand chose d'exceptionnel, mais sa vie, vue au travers de ses yeux. Le décès de sa femme Molly ainsi que l'arrivée d'une bâtarde Loinvoyant à la fin de l'ouvrage nous laisse avide de découvrir les implications imaginées par l'auteur. Vivement la suite !½
 
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Patangel | 2 autres critiques | Sep 25, 2019 |
An excellent ending to the trilogy.
 
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corporate_clone | 63 autres critiques | Nov 4, 2017 |
Mad Ship is a very solid follow-up to the first volume of The Liveship Traders. It has everything a swashbuckling pirate novel combined with classical fantasy could offer. The mysticism atmosphere which was merely felt in the previous book becomes one of the highlights and it is a good thing.
 
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corporate_clone | 62 autres critiques | Apr 18, 2017 |
After a fantastic fantasy series named The Farseer Trilogy, Robin Hobb pursues her ogress literary amibitions with The Liveship Traders, another trilogy which is set in the same fantasy world.

Although the story employs different characters and places, the writing of Hobb is easily recognizable. Robin Hobb has an obvious storyteller talent and involves the reader with so much ease.

Clearly Ship of Magic is a nice first shot although I expect higher achievements in the next books. I found that the story drags a bit toward the end of the book, however Hobb excels at setting the pirates/shipping/sea atmosphere found here.
 
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corporate_clone | 97 autres critiques | Feb 29, 2016 |
Encore une excellente aventure de FitzChivarly et du Fool. L’histoire est lente, pesante. On passe beaucoup de temps sur les tourments de Fitz au point parfois d’avoir envie de le gifler.

Les nouveaux personnages sont accrocheurs, et les révélations surprises sur d’autres apportent une évolution bienvenue.

La dernière partie du livre, où Fitz et le Fool rencontrent les Dragon Keepers de Kelsingra, est délicieuse. Retrouver Amber est un réel plaisir.

Ça se lit tout seul, et on en redemande.
 
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dClauzel | 56 autres critiques | Aug 27, 2015 |
Ce roman de Robin Hobb, paru sous le nom de Megan Lindholm, est très original. Il a pour thème la nature, dans son aspect le plus sauvage, et l'attrait qu'elle peut avoir pour certaines personnes. Cette nature s'incarne ici dans une créature sauvage, Pan, un faune qui est présent durant la jeunesse d'Evelyn, l’héroïne, qui disparaît ensuite durant son adolescence et une partie de sa vie d'adulte, pour réapparaître ensuite à un moment où Everlyn fait face à des problèmes familiaux.La plume de l'auteur est des plus inspirée quand elle s'attarde sur Pan, sur la nature ; une grande poésie s'en dégage. À l'inverse, quand Evelyn évolue au sein de sa belle famille, tout sonne faux, les situations comme les réactions des personnages. L'auteur peine à y décrire des situations crédibles, peine à faire avancer son intrigue. C'est vraiment dommage car dès qu'Evelyn retrouve la nature, on est de nouveau transporté par l'auteur dans ce monde bien particulier, en compagnie du faune qui donne son nom à ce roman. Un roman à deux facettes, une parfaitement maîtrisée et la seconde bien trop laborieuse. Dommage.
 
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Patangel | 8 autres critiques | Jun 14, 2015 |
Ce prélude au cycle de l'assassin royal de Robin Hobb nous plonge dans le royaume des Six-Duchés mais bien avant les aventures de Fitz. Elle nous conte la légende du prince Pie, mainte fois évoqués dans ces romans, légende qui est bien entendue bien éloignée des faits véritables qu'elle nous décrit ici. Elle parvient à nous captiver avec un roman court où sa capacité à faire vivre ses personnages, à leur donner une profondeur psychologique, est toujours la même. Un prélude intéressant qui nous met en appétit avant son troisième cycle sur les aventures de Fitz.
 
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Patangel | 22 autres critiques | Jan 11, 2015 |
Ce dernier tome de la série des cités des Anciens dénoue les derniers fils d'intrigue, sans surprise mais de façon très efficace. On quitte les gardiens et les dragons dans un environnement désormais apaisé et à l'aube d'une nouvelle génération de serpents et donc de dragons à venir. Pour peut-être les retrouver un jour ?½
 
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Patangel | Dec 14, 2014 |
Cet avant-dernier tome de la série des Cités des Anciens voit son rythme nettement diminuer par rapport au précédent. Là encore, cela est dû au découpage de l'éditeur français qui coupe les volumes originaux en deux, donnant ainsi souvent un premier ouvrage plus introductif et un second au rythme haletant. C'est ce qui se passe ici, l'auteur mettant en place les derniers fils d'intrigue de sa série. Cela nous met l'eau à la bouche avant de connaître les différents dénouements associés.½
 
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Patangel | Dec 2, 2014 |
Cette seconde moitié du troisième tome du cycle des Cités des anciens est encore plus haletante que la précédente. Les différents fils de l'histoire se développent parfaitement et on sent que l'auteur prépare un final haut en couleurs pour le dernier tome de ce cycle. Une parfaite réussite !½
 
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Patangel | Nov 16, 2014 |
Cette première moitié du troisième tome du cycle des Cités des anciens apporte beaucoup de nouveautés par rapport au précédent. En effet, Malta et Reyn Khuprus, au centre du cycle des Aventuriers de la mer, sont de retour, ainsi que le frère de Malta, Selden Vestrit. Hest Finbok, vu dans le premier tome, fait également son retour. Enfin, l'implication de marchands chalcédiens ainsi que de leur duc complexifie l'histoire et y ajoute du piment. Bref, tous les ingrédients pour une très bonne histoire sont là.½
 
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Patangel | Nov 16, 2014 |
La fin du second tome original de Robin Hobb est très intéressant car il voit se finir le voyage des dragons et de leurs gardiens vers la cité antique de Kelsingra. Ces derniers se transforment de plus en plus en Anciens alors que leurs dragons ressemblent de plus en plus à leurs glorieux aînés et quelques uns parviennent même à voler. Les derniers liens avec les cités du désert des Pluies semblent se dénouer. Un bon roman qui maintient cette série à un bon niveau.
 
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Patangel | Nov 4, 2014 |
Avec La Citadelle des Ombres, Robin Hobb s'est imposée en France comme un écrivain majeur, mêlant une subtile connaissance de la psychologie humaine à l'art original de semer dans son récit des éléments fantastiques. Dans cette nouvelle série, Les Aventuriers de la mer, elle se penche sur l'histoire d'une famille de grands propriétaires, désormais ruinés, dont la seule richesse ne réside plus que dans un magnifique navire construit en bois-sorcier (qui donne vie aux vaisseaux), pouvant remonter le fleuve du Désert des Pluies afin de faire le commerce d'objets merveilleux. Mais son capitaine Ephron Vestrit meurt, ne laissant que deux filles. L'une est mariée et mère de famille, l'autre, Althéa, véritable garçon manqué, a grandi sur le bateau et a toujours vécu parmi les matelots, le visage fouetté par les embruns de ses longues courses en mer et de ses innombrables voyages. Follement attachée à la Vivacia, le navire familial, elle entretient avec elle une complicité étroite, persuadée qu'elle sera bientôt son unique maître. Pourtant, c'est à son gendre que le vieux capitaine, en dernière extrémité, lègue la vivenef… Erreur funeste ? Kyle compte en faire un transport d'esclaves afin de restaurer la fortune d'antan. Pour parvenir à ses fins, celui-ci entend soumettre chacun des siens à sa volonté de fer : son propre fils Hiémain, qui se destinait à des études humanistes, est condamné contre son gré à travailler à bord du navire ; son épouse Keffria, à élever ses enfants d'une façon qu'elle réprouve ; Brashen, le second choisi par son beau-père avant de mourir, à plier bagage et à se faire embaucher sur un navire abattoir.
Désespérée, mais passionnément résolue, Althéa jure alors de reconquérir coûte que coûte la Vivacia, quitte à appareiller sur l’irascible Parangon, bateau ayant tué une partie de son équipage à la suite d’un coup de folie, tandis que son ancien propriétaire, Kennit, devenu pirate écume les mers, pour nourrir une ambition démesurée de devenir le Roi des Pirates et égaler les nations chalcédiennes et jamailiennes déjà en conflit entre elles. L'auteure nous tient dans ses filets, raffermissant sa prise en distillant tension, suspense ou insupportable attente. Les rôles ne sont pas clairement distribués et, à plusieurs reprises, la nuance de gris dominera les livres ; car les personnages désignés comme avenants oscillent parfois entre deux eaux, tel Hiémain qui sous ses apparences de prêtre dévoué déserte ses préceptes quand l'occasion se présente. Accidents, maladies, coups du destin, étiolement des liens familiaux ou traumatismes profonds, les aléas tombent drus comme grêle sur leurs têtes. S'ils affrontent, notamment aux côtés d'Althéa, Brashen et Kennit, des tragédies assez revues en Fantasy, une autre facette de la vie touche Ronica et Keffria. Les affres de la famille, la nécessité d'acquitter ses dettes et d'éduquer ses enfants menacent l'héritage des Vestrit. Grevées par les obligations, les deux femmes se dévoilent sous un jour nouveau, faisant montre d'un discernement et d'une maîtrise souvent admirables. Quand bien même tiraillées entre conscience et survie, elles imposent à tous leurs marques ; tandis que Malta atteint l'âge éprouvant de l'adolescence, sa mère abandonne sa pauvreté caractérielle, sa sourde soumission, pour se vêtir de force, courage et détermination. Ourdir des plans pour maintenir leur ascendance au sein des Premiers Marchands ne l’effraie plus, pour notre satisfaction !
Un conseil toutefois, ne pas s’effrayer de l’éclatement du scénario. Entre les aventures d’une dizaine de personnages principaux, le mystère du bois-sorcier (quelle est la relation avec les serpents de mer et les dragons?), les relations politiques tendues, Robin Hobb, comme elle a su le prouver au cours des années, sait mener en maître ses intrigues, or celle-ci s'annonce aussi complète qu'un Assassin Royal, de quoi présager de bonnes choses pour la suite !
 
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Malicia_Valnor | 4 autres critiques | Oct 28, 2014 |
Cette première moitié du second tome de la série Les cités dans Anciens qui en compte quatre présente les premières réelles difficultés que vont devoir affronter les dragons et leurs gardiens. En effet, les éléments se liguent contre eux ; après les serpents-pointeaux qui se collent aux dragons et les blessent sans qu'ils s'en rendent compte, un tremblement de terre provoque la crue du fleuve du désert des Pluies. Ces difficultés rendent le récit plus intéressant ainsi que les interactions au sein du groupe des gardiens mais également entre garidens et dragons.
 
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Patangel | Oct 22, 2014 |
La seconde moitié du roman écrit par Robin Hobb et découpé en deux par l'éditeur français lance véritablement le périple des dragons et de leurs gardiens. La présence de Sédric Meldar prend une nouvelle tournure puisque nous découvrons qu'il aspire à quitter sa position de secrétaire de Hest Finbock et que pour cela il prévoit de dérober tout ce qui se rapporte aux dragons (écailles, sang, chair, ...) dans le but d'une revente à prix d'or en Chalcède. Au sein des gardiens, la fraternité qui régnait en leur sein aux premiers jours du voyage se délite peu à peu avec Graffe qui tente de prendre l'ascendant sur le groupe. Thymara s'en rend compte et refuse cet état de fait même si pour l'instant elle semble incapable de le contrer. Les dragons quant à eux, confrontés à du gibier qu'ils parviennent à chasser, prennent un peu d'autonomie et gagnent en force. Enfin, l'attirance mutuelle entre Leftrin et Alise semble augmenter de jour en jour, au grand dam de Sédric.
Tous les éléments sont désormais en place pour suivre les intéressantes aventures des dragons et de leurs suiveurs.
 
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Patangel | Oct 5, 2014 |
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