D. E. HardingCritiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Le-petit-livre-de-la-vie-et-de-la-mort/21...
> Quelques citations de Douglas Harding : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2009/11/25/15929807.html
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> Sur le thème de la mort, Douglas Harding a écrit un des meilleurs livres que je connaisse : Le petit livre de la vie et de la mort, dont j'avais fait un compte rendu enthousiaste pour une revue. … ; (en ligne),
URL : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2011/12/26/23051575.html

> LE PETIT LIVRE DE LA VIE ET DE LA MORT, de Douglas E. Harding (1997, Dervy, 205 p.). — Dans un style simple et plein d’humour, D. E. Harding s’attache à dénoncer le mensonge de la mort et à démonter des croyances bien ancrées sur des sujets allant de la naissance à la vieillesse et au-delà. Suivant la tradition du 8ouddha qui nous recommandait de ne pas écouter l’avis des autres sur la vérité de l’existence, mais de nous fier plutôt à notre expérience, l’auteur nous propose un certain nombre d’expériences provocatrices qui annulent l’une après l’autre toutes les idées préconçues que nous avions sur nous-mêmes. Ce voyage nous conduit à travers la science occidentale (expériences proches de la mort) et les traditions mystiques d’Orient et d’Occident. L’auteur rejette les théories de la réincarnation et du karma en faveur de la voie Zen.
« A la fin de votre vie, vous allez faire la plus profonde de toutes les expériences, l’expérience ultime, celle de la lumière qui sera vôtre pour toujours - à condition que vous vous attachiez à en faire l’expérience dès maintenant, et que vous vous consacriez totalement à cette pratique. » D. E. H. se situe dans la tradition des "coquins spirituels". Le fait que son corps soit âgé de 79 ans, nous dit-il, lui inspire un sentiment d’urgence extrême, car il réalise que s’il ne réussit pas à cesser d’être quelqu’un avant de mourir, finira, selon les termes de Rumi : « avec un appartement dans la cité de la mort » (voir 3e millénaire n°44, l’article de Charles Abot : Meurs… Avant de mourir).
—3e millénaire, (45), Automne 1997

> PRÉFACE, par Ram Dass. — Le petit livre de la vie et de la mort est un régal. Il résonne de l'écho du rire cosmique. L'humour et la simplicité de son style sont à la hauteur de la tâche qu'il s'est fixée, c'est-à-dire affronter les démons conceptuels de la mortalité et dénoncer le mensonge de la mort. Je suis stupéfait de constater qu'un si petit livre puisse anéantir aussi totalement des croyances bien ancrées sur des sujets allant de la naissance à la vieillesse et jusqu'à l'Au-delà, et ce sans douleur et même dans la joie. C'est le signe de la vraie compassion qui émane du Vide.
Suivant la tradition du Bouddha qui nous recommandait de ne pas écouter l'avis des autres sur la vérité de l'existence, mais de nous fier plutôt à notre propre expérience, Douglas E. Harding nous propose un certain nombre d'expériences provocatrices qui annulent l'une après l'autre toutes les idées préconçues que nous avions sur nous-même. Avec la même obstination intransigeante qu'un Ramana Maharshi, il nous fait pénétrer de plus en plus profondément dans le pays de la non-personne, le pays de " Neti, Neti " (Pas ça, pas ça !), jusqu'à ce que nous atteignions le point où nous sommes... Notre voyage nous conduit à travers la science occidentale (expériences proches de la mort et quarks) et les traditions mystiques d'Orient et d'Occident. Inlassablement, D.E.H. rejette les lentes ascensions que proposent les doctrines telles la réincarnation et le Karma, en faveur de la voie Zen abrupte et sans garde-fou.
[…] D.E.H. se situe dans la tradition des " coquins spirituels ". Le fait que son corps soit âgé de 79 ans, nous dit-il, lui inspire un sentiment d'urgence extrême fort contagieux dans les temps incertains que nous vivons, car il réalise que s'il ne réussit pas à cesser d'être quelqu'un avant de mourir, il finira, selon les termes de Rumi, " avec un appartement dans la cité de la mort ". Mais je ne suis pas dupe. Il joue simplement avec nous. Il est digne de l'accolade donnée aux grands maîtres que l'on appelle " les morts vivants ". Après ce livre, je prédis que la littérature relative à la mort ne sera plus jamais la même.

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Vivre-sans-stress-Lacces-direct-a-votre-p...
> VOLTE & ESPACE : http://volte-espace.fr/vivre-sans-stress/
> L'Art d'Être Conscient : 4 exemples, par Douglas Harding : http://chronophonix.blogspot.com/2015/01/lart-detre-conscient-4-exemples-par.htm...
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> Le livre de Douglas Harding auteur de L'homme sans tête propose une méthode de lutte contre le stress et d'éveil a sa vraie nature. le lecteur se retrouve engagé dans une aventure passionnante et pratique dans sa vie de tous les jours, le tout agrémenté de nombres de découvertes ...
—Danieljean (Babelio)

> VIVRE SANS STRESS, L’accès direct à votre paix intérieure, par Douglas E. Harding (1994, L’Originel, 370 p.). — L’auteur britannique Douglas Harding, est bien connu des lecteurs de 3e millénaire pour sa recherche de la Vérité (voir n°5,6,8,11,13,16,19, 20,21,23, etc… Ici.).
Dans un langage clair, sans théorie intellectuelle, il propose avec son humour habituel, des expériences simples, concrètes et percutantes, dans le but d’éveiller la conscience de soi, « remède souverain à tous nos problèmes quels qu’ils soient ».
Un ouvrage d’intérêt pour qui entreprend de sortir du carcan de la mécanicité du psychisme humain. « Essayez de repérer une zone de tension, même légère, une sensation gênante, voire douloureuse... Peut-être dans le cou... ou autour de la bouche, des yeux... ou n’importe où dans votre corps... Où exactement situez-vous cette zone de tension ? A quelle distance du sol... ? A quelle distance du plafond ? … » « N’esquivez pas la souffrance, ne faites pas semblant de l’ignorer. Elle est là. Enfoncez-vous carrément dedans. Expérimentez là réellement. Et voyez ce qui se passe quand elle n’est pas là-bas, mais ici ».
Cette audace de jeter un regard neuf sur soi-même constitue l’approche franchement agnostique de ce livre et ses expériences basées sur le doute, remettant en question nos idées reçues et nos croyances les plus établies, aux fins de découvrir le don spontané pour résoudre le problème du stress.
—3e millénaire, (35), Printemps 1995

> Hors normes, Vivre sans stress n'est pas à proprement parler un ouvrage sur la relaxation, ou alors au sens le plus profond, le plus spirituel du terme puisque son auteur, le célèbre Douglas Harding, nous y livre les dernières mises au point de sa méthode d'éveil. Attendez-vous à une grande découverte !
—La Vie Naturelle

> L'auteur, l'un des pionniers du développement personnel, propose une méthode très simple pour avoir l'audace de remettre en question nos idées reçues, nos croyances sur la vie et sur le monde.
—Psychologies

> Des techniques originales, simples et profondes qui permettent à ceux qui les pratiquent de percevoir clairement et rapidement leur véritable identité, leur nature divine.
—Terre du Ciel

> Dans un langage clair, sans théorie intellectuelle, D. Harding propose avec son humour habituel des expériences simples, concrètes et percutantes dans le but de s'éveiller à la conscience de soi. Un ouvrage d'intérêt pour qui entreprend de sortir du carcan de la mécanicité du psychisme humain.
—3e Millénaire

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> Il est certain en tout cas que notre vie personnelle peut en être bouleversée dans des proportions incroyables, comme cela fut le cas pour ma propre vie et celles de milliers de personnes à travers le monde.

> SAGESSE POUR LE XXIE SIÈCLE, Abécédaire, de Douglas Harding (2014, Accarias L'Originel, 120 p.). — Ce livre présente sous forme d’abécédaire l’enseignement spirituel de Douglas Harding. Philosophe et mystique anglais, Douglas Harding (1909-2007) a vécu une décisive expérience d’éveil, au terme de plusieurs années de recherche spirituelle. Il a vu, par une « vision sans tête » la réponse essentielle au « Qui suis-je ? » : Je suis (purement Etre, sans attribut). Connaissant très bien les traditions spirituelles d’Orient et d’Occident, il savait en extraire l’essentiel qu’il restituait sous forme d’enseignements expérientiels. Par une méthode révolutionnaire qui amenait ses interlocuteurs à voir ce qui voit, il invitait chacun, sans aucune croyance, sans aucun dogme, sans idée préconçue, à découvrir sa “vraie nature” : la vacuité universelle. La puissance de ses mots venait du fait qu’il parlait à partir de son propre vécu de l’éveil inconditionné dont il s’évertuait, avec génie, à transmettre la lumière.
Douglas Harding a profondément influencé la spiritualité contemporaine en semant l’expérience décisive de la vacuité par les exercices libres qu’il proposa, au cours de tant d’années, à des milliers de chercheurs venus le rencontrer lors de stages et de conférences remarquables.
—3e millénaire, (114), Hiver 2014

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Vivre-sans-tete/215890/
> La vision sans tête [archive] Le site français de José Le Roy
> Vision sans tête : https://www.revue3emillenaire.com/blog/tag/vision-sans-tete/
> Edouard Salim Michael : Le précieux joyau de l'attention, In: Revue 3e millénaire, n°124, Été 2017 (pp. 50-51)

> « La méthode directe qui consiste à maîtriser nos sentiments s’avère infructueuse, mais il existe une “méthode” indirecte bien plus prometteuse.
Le problème peut être résolu - pas à son propre niveau ni en ses propres termes - et il peut l’être totalement.
La solution est l’ATTENTION, l’attention au lieu de l’intention. L’attention à ce qui est, et non à la recherche de ce qui devrait être. »
—Douglas Harding, Vivre sans tête, Le Courrier du Livre, 1978.

> « Je ne connais aucun écrit aussi concis… qui soit plus à
même de faire basculer la perception du lecteur dans un
registre différent. »
—Professeur HUSTON SMITH,
auteur de Les Philosophies du Monde

> Douglas Harding (1909-2007), architecte réputé, aspire à répondre à la question « Que suis-je ? » à travers la science, la philosophie et la spiritualité lorsqu’il réalise, lors d’une excursion himalayenne, qu’il « n’a pas de tête ». Dans Vivre sans tête, son premier ouvrage, il témoigne de ce jour merveilleux - sa nouvelle naissance - où il s’éveilla à sa véritable nature. La vacuité, ce « vide énorme », extraordinaire, qui fait « place à tout », devint alors, au coeur de sa vie, la source intarissable de son enseignement direct.
Au-delà et à la rencontre de l’Orient et de l’Occident, Douglas Harding a offert une démarche expérientielle originale fondée sur des “exercices” de « vision sans tête » où le voir s’éveille entre deux pensées, et avant la pensée, dans l’intuition pure de la conscience consciente d’elle-même.
Parmi ses élèves, le philosophe José Le Roy participe largement à la diffusion des enseignements non-dualistes auprès des Éditions Almora dont il dirige la collection.
Douglas Harding est l’auteur de nombreux ouvrages parus en français dont le célèbre Vivre sans tête (Le Courrier du Livre, 1979, 2009).
*Source : 3e millénaire, été 2011 : Les références majeures de 3e millénaire

> Sa patrie, Douglas Harding la trouva un jour en Inde où il la reçut soudainement comme une demeure sans murs et une vision sans tête : « C'était comme si à cet instant je venais de naître, flambant neuf, sans pensée, pur de tous souvenirs. Seul existait le Maintenant, ce moment présent et ce qu'il me révélait en toute clarté. Voir, cela suffisait (...) Il ne s'agissait ni d'un rêve ni d'une révélation ésotérique. Plutôt l'inverse : un éveil soudain qui m'arrachait au sommeil de la vie ordinaire. La fin d'un rêve, une réalité qui rayonnait de sa propre lumière. C'était la révélation tant attendue de l'évidence même. » (p.22-23) Par la suite, cette expérience se renouvela et devint même plus durable. Il se l'expliqua en s'aidant des témoignages d'autres mystiques et, durant les longues années qu'il vécut ensuite, en vint à proposer de la partager. Son originalité fut de considérer sa vision à la fois comme un don du ciel et une perception communicable à autrui par des moyens très simples.
—Alain DELAYE, Sagesses sans frontières : Les plus grands sages et mystiques du monde, Almora (2014), p.540

> La solution est l'ATTENTION, l'attention au lieu de l'intention.
L'attention à ce qui est, et non la recherche de ce qui devrait être. (...)
Attention à quoi ? Attention à ce qui vous est donné ici, au lieu précis de
votre présence. Et pour découvrir ce qu'est l'attention, il est inutile de vous conten-
ter de lire : vous, cher lecteur, ce que vous avez à faire, c'est de regarder mainte-
nant ce qui se trouve juste en face de cette page imprimée, de porter votre regard
vers Celui qui voit, vers le lecteur - s'il y en a un.
Douglas Harding
(Vivre sans tète, Ed. Le Courrier du Livre, 1978)

> Douglas Harding (1909-2007), architecte réputé, aspire à répondre à la question « Que suis-je ?» à travers la science, la philosophie et la spiritualité lorsqu’il réalise, lors d’une excursion himalayenne, qu’il « n’a pas de tête ». Dans Vivre sans tête, son premier ouvrage, il témoigne de ce jour merveilleux - sa nouvelle naissance - où il s’éveilla à sa véritable nature. La vacuité, ce « vide énorme », extraordinaire, qui fait « place à tout », devint alors, au coeur de sa vie, la source intarissable de son enseignement direct.
« Le plus beau jour de ma vie - ma nouvelle naissance en quelque sorte - fut le jour où je découvris que je n’avais pas de tête […] Il m’arriva une chose incroyablement simple, pas spectaculaire le moins du monde : je m’arrêtai de penser. Un état étrange, à la fois alerte et engourdi, m’envahit. »
Au-delà et à la rencontre de l’Orient et de l’Occident, Douglas Harding a offert une démarche expérientielle originale fondée sur des “exercices” de « vision sans tête » où le voir s’éveille entre deux pensées, et avant la pensée, dans l’intuition pure de la conscience consciente d’elle-même.
Parmi ses élèves, le philosophe José Le Roy participe largement à la diffusion des enseignements non-dualistes auprès des Editions Almora dont il dirige la collection.
Douglas Harding est l’auteur de nombreux ouvrages parus en français dont le célèbre Vivre sans tête (Le Courrier du Livre, 1979,2009).
—3e millénaire, Été 2011

> Bibliographie :
- Vivre sans tête, Courrier du Livre (1976), Broché, 123 pages
- Vivre sans stress : L'accès direct à votre paix intérieure, Accarias (1994), 370 pages
- Renaître à l’évidence : Désormais, l’Éveil est accessible, Le Courrier du Livre (1995), 203 pages
- Le procès de l'homme qui disait qu'il était Dieu, Aux éditions du Relié (1996), 439 pages
- Le petit livre de la vie et de la mort, Dervy (1997), 141 pages
- La Science de la première personne, Dervy (1998), 116 pages
- Les religions du monde, Accarias (1999), 174 pages
- L'immensité intérieure : Redécouvrir notre nature originelle, Accarias (2000), 220 pages
- La troisième voie : Vers un nouvel humanisme, Albin Michel (2005), 384 pages
- Etre et ne pas être, Almora (2007), 215 pages
- Sagesse pour le XXIe siècle : Abécédaire, Accarias (2014), 128 pages
- Le jeu du visage, Almora (2019), 304 pages
Autres livres :
- S'éveiller à la vacuité : L'audace de voir sa vraie nature avec la Vision Sans Tête, par José Le Roy, Accarias (2007), 188 pages
- Le saut dans le vide : De la philosophie à la mystique, par José Le Roy, Almora (2011), 311 pages ;
(rééd.) S'éveiller à soi-même avec les grands maîtres d'Orient et d'Occident, par José Le Roy, Pocket (2018), 432 pages
- Pointer vers l'éveil - La voie directe de Douglas Harding, par José Le Roy, Almora (2014), 79 pages
- Bien vivre sans tête : la pratique de la voie sans tête de Douglas E. Harding, par Magali Bouzon, Alphée (2007), 160 pages
- La vision non-duelle de Douglas Harding, par Richard Lang, Almora (2014), 220 pages
- Ce que je suis, les autres ne le voient pas, par Philippe Fabri, Altess (2013), 280 pages
- La lumière que je suis : Le récit d'éveil d’un prisonnier à perpétuité, par J-C Amberchele, Almora (2012), 256 pages

> Voir aussi (www.revue3emillenaire.com) :
- Un Éveillé authentique : D. Harding, par Robert Linssen (Revue être Libre, Numéros 193-195, Janvier-Mars 1962)
- D.E. Harding : Vision (Revue Être. No 1. 1974. 2e Année)
- Douglas E. Harding : Ramana Maharshi, la réalisation de soi et son accessibilité (Revue Voir. No 4. Janvier-Mars 1982)
- Douglas Harding : Comment nous expérimentons notre corps (Revue Voir. No 8. Hiver 1983)
- Douglas Harding : Comment perdre la forme humaine? comment prendre forme ? (Revue Voir. No 8. Hiver 1983)
- Douglas Harding : L’histoire des dix fous (Revue Voir. No 9. Printemps 83)
- Douglas Harding : Comment ne pas vieillir (Revue Voir. No 10 printemps 1984)
- Douglas E. Harding : Recherche-toi toi-même (Revue Être. No 3. 3e année. 1975)
- Vous êtes l’espace de mon visage. Entretien avec Douglas Harding (Louvain (Belgique), 09.03.2000)

> Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Le-jeu-du-visage/1274793
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> LE JEU DU VISAGE, par Douglas Harding (2019, Almora, 310 p.). — Ce livre parle de ce que les Hindous appellent la libération, et le zen, l’illumination (ou satori, ou vision de son visage originel), et ce que d’autres traditions spirituelles nomment l’éveil, la réalisation du Soi ou l’union mystique avec Dieu. La technique d’éveil décrite ici n’est pas toujours facile, mais elle est très simple, à certains égards, elle est nouvelle. L’enseignement millénaire des grands sages est reformulé dans une forme et un langage aussi libres que possible des accumulations traditionnelles qui ont fini pas obscurcir son essence et entraver son action : selon Harding, pour s’éveiller à sa vraie nature, il suffit de cesser de jouer « le jeu du visage ». Ce que Douglas Harding appelle ici « le jeu du visage » et ses variations représentent toutes les stratégies que nous utilisons pour nous masquer notre véritable nature, notre « visage originel ». Ce livre, s’inspirant du travail d’éric Berne et de l’analyse transactionnelle, nous montre de manière pratique comment retrouver notre vrai Soi au-delà de tous nos masques. Pour Harding, les conditions sont maintenant rassemblées pour que l’éveil devienne vraiment accessible et ne soit plus réservé à une élite.
—3e millénaire, (136), Été 2020

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Etre-et-ne-pas-etre/908122
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> ETRE ET NE PAS ÊTRE, de Douglas Harding (Almora, 15,50 €, 215 p.). — La "méthode" mise au point par Douglas Harding (1909-2007) est assez proche du Jnana Yoga et de l'enseignement de Ramana Maharshi, elle consiste à s'éveiller à sa vraie nature, à ce que nous sommes vraiment, au-delà des apparences et des croyances. L'intérêt de ce livre, traduit de l'anglais par l'épouse de Douglas, est d'être avant tout pratique. Vous y trouverez de nombreuses techniques. Intéressant et original. (MATHIEU)
—Infos Yoga, (66), Mars 2008, (p. 43)

> Renaitre encore et encore à chaque instant, dans l'émerveillement de l'éternel-présent.
—Danieljean (Babelio)

> ETRE ET NE PAS ÊTRE, de Douglas Harding (2008, Almora. 215 p.). — Observez ces mots imprimés, ces marques noires sur un fond blanc. Et observez ce qui est exactement là où vous êtes en cet instant et qui les enregistre. Appelez cela Espace d’Accueil Conscient… Au travers de ses innombrables conférences et des exercices qu’il proposait, et que continuent de proposer aujourd’hui sa femme Catherine ou José Le Roy, bien connu de nos lecteurs ; Douglas Harding invite au retournement du regard, faire pivoter son attention de 180 degrés. Autrement dit, regarder ce à partir de quoi l’on regarde le monde extérieur. Et c’est dans cet instant que l’on découvre que l’on regarde à partir de rien. Il n’y a en fait rien, nous dit Douglas Harding, au-dessus des épaules, pas de tête. A la place, un espace d’accueil, libre, sans entrave. Une vacuité qui accueille le monde de façon « illimitée et impérissable. » L’évidence du moment présent, sans nul support religieux, philosophique, ou conceptuel. Lorsque le regard s’identifie au monde extérieur, que l’on s’expérimente à nouveau comme une personne, avec une tête et une identité, nous redevenons limités et périssables. Douglas Harding parle alors de petit moi. La pratique à laquelle il nous convie repose entièrement sur ce retournement de l’attention. Il accompagne ses propos dans cet ouvrage de dessins permettant de mieux saisir ce qu’il propose. Cependant, comprendre réellement ce qu’il propose nécessite de faire un pas de plus que la seule lecture : il s’agit de suivre concrètement ses invitations très simples. Cet ouvrage est, à l’image de Douglas Harding, aujourd’hui décédé, très concret et plein d’humour.
—3e millénaire, (87), Printemps 2008

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> LA TROISIÈME VOIE, Vers un nouvel humanisme, de Douglas E. Harding (2005, Albin Michel). — Par-delà leurs oppositions, la science et la religion visent un même but : éclairer l’homme sur sa place dans l’univers et lui faire découvrir sa véritable nature. Pour autant, il existe une troisième voie que les deux précédentes finissent toujours par rejoindre : la voie de la vision. L’auteur définit ici les étapes de ce chemin spirituel universel et propose des techniques corporelles innovantes pour nous permettre de retourner vers le Soi.
—(Espaces libres)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-La-troisieme-voie--Vers-un-nouvel-humanis...
> Eveil et philosophie, blog de José Le Roy : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2009/05/21/13808147.html

> LA TROISIÈME VOIE, de Douglas Harding (2000, Relié, 262 p.). — Douglas Harding invite le lecteur à abandonner son rôle statique pour participer à des expériences directes menant à la découverte de la vacuité qui est "au centre" c’est-à-dire en soi, une fois retournée son attention à 180 degrés vers soi-même. Toute la démarche de l’auteur consiste à créer des brèches dans le mental du lecteur, afin que l’interrogation, "qui suis-je ?" puisse se transformer en question vivante et vibrante. Tous les chapitres de ce recueil de textes indépendants sont des variations sur le thème de la réalisation du Soi. « j’espère que la diversité de ces variations contribuera à démontrer que la simplicité ultime de notre véritable nature est la réponse aux complications infinies de notre vie et nous permet d’y faire face. »
—3e millénaire, (57), Automne 2000

> LA TROISIÈME VOIE, Vers un nouvel humanisme, de Douglas Harding (2005, Albin Michel, coll. Espaces libres, 372 p.). — Ce livre, réédition d’un ouvrage paru au Relié en 2000, est un recueil de textes rédigés par Douglas Harding au cours des 40 dernières années. On y trouve une trentaine de textes, tous indépendants et formant « une variation sur le thème de la science et l’art de la réalisation du Soi. » Cette réalisation consiste à revenir au centre de soi-même, d’une façon concrète, et l’auteur nous en communique les clefs très simples. Ce retour à zéro centimètre de soi-même revient à découvrir notre absence de tête et de corps. L’espace par où je regarde devient vacant, et la vision se produit : je ne regarde plus à l’extérieur, mais au contraire l’extérieur pénètre la vacuité que je suis. Désidentifié du paysage extérieur, libre de toute image de « moi » - même, le coeur soudain respire et se remplit. Douglas Harding invite le lecteur à ce voyage au centre de soi : « cela signifie rentrer chez Soi, dans ce lieu que l’on occupe, et découvrir qu’il est vide, voir clairement ce que et qui l’on a toujours été ici, au centre, et s’abandonner à Cela sans réserve. »
—3e millénaire, (75), Printemps 2005

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-La-Science-de-la-premiere-personne/528250
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> De l’avis général de ceux qui en font l’expérience, toute chose prise séparément devient tôt ou tard terne et ennuyeuse, alors que la Non-chose d’où elle émane ne perd jamais son éclat. Et ce n’est pas la fin de l’histoire. Voici la suite étonnamment heureuse : lorsqu’on les voit de la seule façon dont elles puissent être réellement vues, c’est-à-dire à partir de leur Origine ici, toutes ces choses émergentes – si ennuyeuses par elles-mêmes – revêtent la splendeur de cette Origine. Elles ont le goût rafraîchissant de leur Source, le parfum de leur terre natale, le Pays de la Clarté Éternelle.
—Danieljean (Babelio)

> LA SCIENCE DE LA PREMIÈRE PERSONNE, Qui êtes-vous vraiment ?, de Douglas Harding (1998, Dervy, 120 p.). — « L’objet de ce livre est de replacer dans un contexte moderne et occidental… l’enseignement essentiel de la religion spirituelle et son but que l’on appelle l’Éveil, l’Illumination ou libération. Je veux montrer comment cette sagesse ancienne, pré-scientifique, concorde parfaitement avec la pensée contemporaine dominée par la science… Mais j’affirme que la sagesse ancienne va beaucoup plus loin, qu’elle est à proprement parler plus scientifique et raisonnable que la science telle que nous la connaissons… Autrement dit, je soutiens que la science objective occidentale n’est que la moitié de la vraie science (l’autre moitié étant la science du Sujet ou 1re personne). Je me propose de commencer ici à corriger cette erreur et de présenter l’illumination sous une forme qui puisse avoir un sens pour l’Occidental à l’esprit scientifique, et qu’il puisse mettre en pratique immédiatement. »
Douglas Harding tend à rejoindre, à sa manière, la pensée de Rudolf Steiner préconisant que, de nos jours, la démarche de connaissance de soi est indissociable d’une démarche scientifique. De même, la revue 3e millénaire nous invite, à la suite de Krishnamurti, à une discipline d’observation non-discursive de nous-mêmes, à une véritable enquête scientifique sur notre état d’endormissement. Fidèle à sa pédagogie, l’auteur illustre ses propos d’exemples concrets accessibles à tous.
—3e millénaire, (48), Été 1998

> LA SCIENCE DE LA PREMIÈRE PERSONNE, Qui êtes-vous vraiment, de Douglas Harding - 2023 - Almora - 130 p. - 16 €. — L’éveil spirituel est une expérience universelle, vérifiable, partageable, scientifique. Il est question ici du coeur de l’expérience spirituelle, à savoir de l’éveil (qui consiste à trouver la vérité sur soi-même), de la science (qui consiste à trouver la vérité sur les autres choses) et de la relation entre les deux. Douglas Harding soutient que l’éveil (la science de la Première Personne) est plus véritablement scientifique que la science elle-même ; et que, sans l’éveil, la science ne propose qu’une moitié de l’histoire et donc demeure pleine de contradictions, de problèmes insolubles tant théoriques que pratiques. L’éveil spirituel est présenté sous une forme qui puisse avoir un sens pour l’Occidental contemporain, éduqué à l’esprit scientifique. Accompagné d’expériences simples et puissantes, le lecteur pourra se rendre compte à quel point l’éveil est accessible, et vérifiable. Ce travail constitue une véritable percée dans l’histoire de la spiritualité.
—3e millénaire, (147), Printemps 2023

> Le miroir (Extraits de La science de la première personne)
Encastrez votre visage à un bout, placez l’autre extrémité contre le miroir de votre salle de bains et fiez-vous à ce que vous voyez là.
À l’autre bout du tunnel, vous vous voyez vous-même en tant que 3e personne, avec des yeux, un nez, une bouche, des joues, etc., appartenant à un être humain qui n’est que trop mortel. Tout est normal, il ne manque rien. Maintenant, faites pivoter votre attention vers l’autre extrémité du tunnel où tout manque - vers vous-même en tant que 1re Personne qui se révèle ici en tant que Vide Conscient, non pas un Vide vide, mais un Vide plein, simple Capacité pour accueillir ces traits humains familiers, ainsi que toutes les choses mortelles qui peuvent se présenter à l’intérieur et à l’extérieur des tunnels.
De toute évidence, ceci est votre extrémité du tunnel, votre côté, où se produit la vision, alors qu’à l’autre bout se produit ce qui est vu. Et à l’évidence, ici, de votre côté, il n’y a rien qui vous appartienne, vous êtes tout ce qu’il y a de plus mort. Ici même, en tant que 1re Personne, il vous manque tout, y compris la vie et la forme, la substance et le mouvement et tout ce qui est lié au temps. Et précisément parce que vous êtes vide de tout, vous êtes vide pour accueillir tout. Vous disparaissez consciemment en faveur de tout ce qui se présente. Mourant à votre seul moi et vivant en tant que tous les autres, toute vie est vôtre, et vous traversez la mort jusqu’à la vie éternelle.
*Source : supervielle.univers.free.fr

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Le-Proces-de-lhomme-qui-disait-quil-etait...
> VOLTE & ESPACE : https://volte-espace.fr/tag/le-proces/
> Dessins de Douglas Harding : https://www.visionsanstete.com/dessins-douglas-harding
> Eveil et philosophie, blog de José Le Roy : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2013/02/04/26331251.html
> Joseleroy, le 02 avril 2010 : (Paperblog) : https://www.paperblog.fr/3041210/douglas-harding-la-signification-de-la-crucifix...
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> Dans ce livre, Douglas imagine un homme, John a-Noke, accusé de blasphème, pour avoir affirmé son identité avec Dieu. Douglas raconte comment cet homme se défend devant la cour et devant les témoins qui l'accusent.
—Danieljean (Babelio)

> Douglas E. Harding, célèbre instructeur et patriarche anglais : Le Procès de l’homme qui disait qu’il était Dieu, où la spiritualité est passée au crible d’un humour très british !
—Nouvelles Clés

> LE PROCÈS DE L'HOMME QUI DISAIT QU'IL ÉTAIT DIEU, de Douglas E. Harding. — Ce magnifique ouvrage, plein de vie, invite à l’expérience directe, sur le vif. Il décrit le procès d’un homme accusé de « commettre le crime capital d’être qui je suis. D’être moi-même, plutôt que ce que les gens me disent que je suis. » Les témoins, stéréotypes entre autres du psychiatre, de la disciple fervente, de l’évêque, athée, bouddhiste, kinésithérapeute, mollah, homme d’affaires, etc., se présentent tous à la barre avec un système de pensée dogmatique (jusque dans la soi-disant ouverture…), révélant ainsi leur conditionnement, qui est aussi le nôtre. Un jeu permanent de questions/réponses entre ces témoins et l’“accusé” offre à Douglas Harding un terrain propice où déployer sa compréhension vécue de l’Essentiel, en particulier au travers d’exercices concrets, auxquels le lecteur est invité à participer.
« Tournant votre regard vers l’intérieur, voyez l’observateur qui a tout perdu, et s’est dissout dans l’observé. Vous vous retrouvez immédiatement là où vous avez toujours été, au Coeur des choses. » L’habitude automatique de toujours projeter notre regard vers l’extérieur nous coupe irrémédiablement de toute relation réelle avec nous-mêmes et notre environnement. Le simple exercice, à pratiquer, de faire revenir en soi son regard initialement happé par le monde extérieur, dévoile le regard dans le regard, et nous fait revenir à « zéro centimètre » de notre centre. « Il vous suffit de faire pivoter votre attention de 180° pour arriver instantanément chez vous […], au lieu que vous n’avez jamais quitté. » Cependant, le basculement de perspective engendré par un tel exercice ne dure qu’un instant. En effet, nous retombons dans le sillon de nos habitudes ancrées depuis la prime jeunesse de chercher à saisir, y compris par le regard. Aussi, le retournement de l’attention vers nous-mêmes doit-il être soutenu par une "discipline d’observation" (Krishnamurti). « Je m’assieds n’importe où, dans n’importe quelle position, je me tiens debout, je me promène, je m’allonge et me relève selon l’impulsion du moment où selon les circonstances, le tout en cultivant la vigilance. »
La revue 3e millénaire, en plein accord avec l’auteur, insiste sur l’essentielle compréhension d’apprendre à devenir conscient dans les moindres actes, les plus petites choses de la vie quotidienne. En conclusion, nous ne saurions que conseiller la lecture de cet ouvrage. Ed du Relié, 1997 - 438 p.
—3e millénaire, (44), Été 1997

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Renaitre-a-levidence/215894
> Eveil et philosophie, blog de José Le Roy : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2011/12/19/22666142.html
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> RENAÎTRE À L’ÉVIDENCE, Désormais, l’Éveil est accessible, de Douglas Harding (1995, Le Courrier du Livre). — La “Vision sans Tête”, pratiquée et proposée par Douglas Harding, se présente au départ comme une “expérience” de notre absence fondamentale. La réalisation de cette absence, de ce vide intérieur, est un éveil dans l’instantanéité. C’est une approche non-duelle de la lucide Présence qui se révèle au coeur de cette absence. L’auteur complète ici la description de sa première expérience parue en 1961 dans la première version de cet ouvrage, intitulé “Vivre sans Tête”.
Il décrit sa technique, la replace dans le contexte Zen, établit des parallèles avec d’autres traditions et termine par un chapitre détaillé sur les huit étapes de la “Voie sans Tête”.
—3e millénaire, (36), Été 1995

> ABSENCE (DE VISAGE) (Extraits de Renaître à l’évidence). — Notre méditation à double-sens, ou double orientation, est essentiellement la même pour tous, quel que soit l’organe des sens nous servant de support. Sa structure est toujours bilatérale et pourtant parfaitement asymétrique. Ce chant d’oiseau résonne ici, dans le Silence ; le goût de ces fraises est savouré ici, sur la base immuable du Non-goût ; cette horrible odeur révèle, par contraste avec l’Absence d’odeur, la suave fraîcheur de la vacuité ; et ainsi de suite. Il en est de même pour nos pensées et nos émotions, elles apparaissent, ici, sur l’écran vide que le Zen appelle Non-mental, et disparaissent sans laisser la moindre trace. Également lorsque je me « confronte » à vous : il s’agit de votre visage, là, présenté à mon absence-de-visage, ici, - face à non-face. Je me dois d’être dépourvu de ce que j’appréhende : la tasse doit être vide pour pouvoir être remplie d’eau… une complète différence ! Ce qui ne veut nullement dire que notre « méditation à double sens », notre « méditation pour la rue », aie besoin de tout ceci : ne jamais perdre contact avec notre Absence est suffisant. (pp. 106-107)
*Source : supervielle.univers.free.fr

> RENAÎTRE À L’ÉVIDENCE, par Douglas Harding - éd. Courrier du Livre. — « Il m’arriva une chose incroyablement simple, pas spectaculaire le moins du monde : je m’arrêtai de penser. Un état étrange, à la fois alerte et engourdi, m’envahit. La raison, l’imagination et tout bavardage mental prirent fin. Pour la première fois les mots me firent réellement défaut. Le passé et l’avenir s’évanouirent. J’oubliais qui j’étais, ce que j’étais, mon nom, ma nature humaine, animale, tout ce que je pouvais appeler mien. C’était comme si à cet instant je venais de naître, flambant neuf, sans pensée, pur de tous souvenirs. Seul existait le Maintenant, ce moment présent et ce qu’il me révélait en toute clarté. Voir, cela suffisait. Et voir quoi ? Deux jambes de pantalon couleur kaki aboutissant à une paire de bottines brunes, des manches kaki amenant de part et d’autre à une paire de mains roses, et un plastron kaki débouchant en haut sur… absolument rien ! Certainement pas une tête. » Ainsi commence cet invraisemblable ouvrage, singulier, déroutant par le voyage insolite qu’il provoque dans une sorte de mer des Sargasses de la pensée, de la réflexion, de la connaissance, où il nous entoure et dont on devient captif au point de ne plus s’en dépendre. « Et si c’était vrai », dirait Patrice Van Eersel ! Cette fourmilière, le cirque de notre tête, doit-il être scotomisé ? Hergé, l’inventeur de Tintin, dans Le lotus d’or illustra un personnage benêt, débile adepte de Lao Tseu. Il cherche a couper la tête à tout le monde en menaçant de son sabre tout velléitaire mystique : « Pour trouver la voie je dois vous couper la tête ». D. Harding a toujours la tête sur les épaules mais il nous invite à prendre des distances irréversibles par rapport à nos hémisphères cérébraux. Il semble bien que cela lui ait réussi. « En dehors de l’expérience elle-même ne surgissait aucune question, aucune référence, seulement la paix, la joie sereine, et la sensation d’avoir laissé tomber un insupportable fardeau. » (A.S.)
—Nouvelles Clés, HORS-SÉRIE N° 4, «Communiquer pour vivre», (p. 88)

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Harding-Les-religions-du-monde/215893
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> LES RELIGIONS DU MONDE, de Douglas E. Harding - Ed. Accarias-L'Originel. — On accuse à juste titre les religions d'être la cause de nombreux maux, de drames et de guerres dans le monde. Au milieu de ce vaste champ de bataille où les religions se livrent une lutte séculaire, nous avons trois attitudes possibles : le doute ou l'athéisme, la conversion ou l'engagement religieux, et l'intégration. C'est à cette dernière proposition qu'invite ce livre. Le seul moyen d'harmoniser les différences apparentes des grandes religions, c'est d'aller au fond de chacune d'elles pour en dégager le message central. Loin d'être rivales, les religions sont complémentaires ; chacune constituant un organe indispensable de la Religion Totale. "Aller au cœur de n'importe quelle religion, c'est aller au cœur de toutes."
Après avoir redéfini ce que signifie vraiment la religion et rectifié un certain nombre d'idées fausses, Douglas E. Harding nous guide jusqu'au cœur des principales religions du monde : hindouisme, bouddhisme, confucianisme, taoïsme, zen, judaïsme, christianisme et Islam. Il nous décrit le plus honnêtement possible, les principaux enseignements des grands textes sacrés et l'expérience religieuse qu'ils rapportent et encouragent.
L'époque de brassage racial et culturel que nous vivons actuellement, a transformé nos comportements religieux. Nous ne sommes plus obligés en tant qu'européens de devenir chrétiens ; nous avons un choix de plus en plus grand devant nous. De nombreux chrétiens ont découvert qu'ils étaient bouddhistes ou hindous par nature. D'autres ont trouvé leur demeure spirituelle loin de leur terre natale et sont revenus ensuite vers le christianisme avec une compréhension nouvelle. C'est un paradoxe mais c'est un fait : on apprend plus sur sa religion en étudiant celle des autres.
—Infos Yoga, (25), Nov./Déc. 1999, (p. 42)

> LES RELIGIONS DU MONDE, de Douglas Harding. — Les études comparées des religions laissent toujours entrevoir une communauté universelle, mais souvent sur des aspects extérieurs de la démarche religieuse. Après avoir restitué le contexte historique de l’apparition des différentes religions, Douglas Harding nous montre que l’avènement de chacune d’entre elle correspondait à une évolution donnée de l’humanité. Son but est « de montrer que chacune des grandes religions du monde est un organe indispensable de la Religion totale, d’un organisme vivant qui est strictement indivisible. »
Son discours, comme toujours dépouillé, va à l’essentiel, à l’être essentiel. Dieu n’est pas un Etre extérieur à l’homme qui serait le Même dans toutes les religions. Dieu est cette Présence en nous, « ce qui regarde en nous. » « Sur quoi le disciple médite-t-il, heure après heure, année après année, assis sous un arbre dans la forêt de l’Himalaya, avec son Gourou bien aimé ? Toutes sortes d’idées profondes et belles ? Pas du tout ! S’il est sérieux et que sa méditation est fructueuse, il cesse de penser, il ne pense à rien du tout ! Ou plutôt, il pense au vide, à l’absence de quoi que ce soit. Il détourne son attention qu’il fixait sur les choses concevables, là dehors, et la porte sur lui-même, sur l’Un inconcevable qui fait l’expérience du tout au Centre. Il tourne son regard vers l’intérieur de lui-même, pour voir ce que personne d’autre ne peut voir pour lui, c’est-à-dire Celui qui regarde. Et ce qu’il voit, c’est Personne : aucun corps, aucun mental, aucune pensée, aucun mot, et certainement aucun moi humain, mais son véritable Moi, le Soi en lui, l’Atman qui est le Brabman Suprême. » (180 p.). Éd. Accarias, L’originel.
—3e millénaire, (54), Hiver 1999

> Son discours va à l'essentiel, à l'être essentiel
—3e millénaire

> Que voilà un excellent livre qui figurera aux indispensables... Livre à lire absolument dans la tradition d'un grand humaniste.
—Sâdhana

> L'un des pionniers du développement personnel explique la complémentarité des grandes religions. Un essai pour tous.
—Psychologies

> Douglas Harding, un des rares éveilleurs occidentaux
—La Vie Naturelle

> Un livre de réflexion sur notre époque de brassage racial et culturel.
—Tao Yin

> Après avoir précisé un certain nombre de concepts relatifs à la religion, l'auteur fait un exposé synthétique sur les grandes religions du monde, leur histoire et les principaux enseignements de leurs textes sacrés.
—Terre du ciel

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/357114/book/64363138

> L'IMMENSITÉ INTÉRIEURE, Redécouvrir notre nature originelle, de Douglas Harding (2002, Accarias/L'originel, 220 p.). — Cet ouvrage nous permet de découvrir le Douglas Harding, orateur et animateur de séminaires dans lesquels il propose quelques exercices pratiques destinés à faire pressentir à l’auditeur Qui il est vraiment et à partir de quoi il regarde (voir ses nombreux articles parus dans 3e millénaire). Les entretiens et ateliers retranscrits ici datent de 1983 à 1999 et se fondent sur un discours simple, direct et plein d’humour.
Douglas ne se met pas au-dessus de la mêlée, il est l’ami spirituel, celui qui montre le chemin. La pratique qu’il propose est le > retournement de la flèche de notre attention, le plus souvent possible : c’est-à-dire retourner l’attention vers nous-même, comme les plus grands sages de l’Advaïta l’ont enseigné tel Ramana Maharshi. Il nous offre la possibilité de nous arrêter, de revenir à nous-même, de ressentir notre Présence intérieure.
Et quelle est cette pratique ? C’est un plaisir. Ce n’est pas ce dur travail de méditation auquel nous finissons par renoncer, car c’est ennuyeux. C’est facile et naturel. Cela s’applique concrètement à toutes les circonstances de la vie, surtout lorsque vous avez quelqu’un en face de vous. Simplement, quelle que soit la situation, ne perdez pas de vue. Qui vous êtes. Quoi que vous perceviez là dehors, quoi que vous ayez à faire, ne perdez jamais de vue le lieu d’où vous venez, Ici, au centre de vous-même. Regardez toujours dans les deux directions : là-bas, l’objet, Ici, le sujet. Voilà la méditation de chaque instant. Quelle est la voie que je vous suggère d’envisager ? Tout simplement entretenir votre attention dans les deux directions. Cette méditation, c’est savourer simultanément le monde et Celui qui savoure le monde.
—3e millénaire, (66), Hiver 2002

> Douglas Harding poursuit – sous une présentation plus directe et spontanée – son travail d’incitation au "déblaiement". Cette approche originale de notre nature profonde rejoint, assure-t-il, ce qui fait le cœur de toutes les religions.
—Terre du Ciel

> D. Harding nous offre la possibilité de nous arrêter, de revenir à nous-même, de ressentir notre Présence intérieure.
—3e Millénaire

> Un processus de réflexion et des exercices simples proposés par D. Harding, l’un des pionniers du développement personnel.
—Psychologies

> Exercices pour aider le lecteur à renaître à sa véritable nature.
—Santé Yoga

> Parmi les livres dans lesquels il a exposé le chemin de sa vision sans tête, Douglas en a publié un – L’immensité intérieure – qui mérite une place à part car il y reprend son propos dans un style oral et dialoguant qui révèle ses talents d'animateur et de conférencier. Un certain nombre de sujets y sont abordés qui éclairent de façon concrète son expérience et sa pédagogie. (p.471)
—Alain Delaye, Sagesses sans frontières

> L'IMMENSITÉ INTÉRIEURE, redécouvrir notre nature originelle, par Douglas E. Harding, David Lang (dir), Catherine Harding (trad), Ed. Accarias/L'Originel. … ; (en ligne),
URL : http://pierrefeuga.free.fr/articles.htm#lecture
Et nos « sages » à nous, je veux dire occidentaux (si cette distinction entre Orient et Occident a encore un sens, ce dont je doute) ?… J’en ai retenu deux, pour ce printemps tourmenté : Douglas Harding et Eric Baret. Le premier est cet Anglais nonagénaire, alerte, intuitif et doué d’humour, qui découvrit, en marchant dans l’Himalaya il y a une cinquantaine d’années, qu’il n’avait pas de tête. Depuis il en a un peu fait, de cette acéphalie métaphysique, sinon son fonds de commerce, du moins sa pomme de Newton, sa méthode et le thème des ateliers qu’il anime à travers le monde, apprenant aux gens, au moyen d’exercices simples et directs, à découvrir qu’eux non plus n’ont pas de tête. La plupart jouent à en être persuadés, bien qu’on n’en ait vu aucun jusqu’ici le démontrer crânement, en se la coupant par exemple. Mais bien sûr, sous tout cela, il y a une recherche intéressante sur le mental et le non-mental, dans un esprit proche du vedanta et du ch’an. Et ce recueil d’entretiens, l’Immensité intérieure (Accarias/L’Originel), est un des plus aboutis et des plus pénétrants qu’ait publiés l’auteur, qui maîtrise à fond l’art du dialogue et de la maïeutique. —Pierre FEUGA
—Infos Yoga, (42), Avril/Mai 2003, (p. 43)

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

> Babelio : https://www.librarything.fr/work/28608193/book/222047668

> LE PETIT LIVRE DE LA VIE ET DE LA MORT, de Douglas E. Harding (1997, Dervy, 205 p.). — Dans un style simple et plein d’humour, D. E. Harding s’attache à dénoncer le mensonge de la mort et à démonter des croyances bien ancrées sur des sujets allant de la naissance à la vieillesse et au-delà. Suivant la tradition du 8ouddha qui nous recommandait de ne pas écouter l’avis des autres sur la vérité de l’existence, mais de nous fier plutôt à notre expérience, l’auteur nous propose un certain nombre d’expériences provocatrices qui annulent l’une après l’autre toutes les idées préconçues que nous avions sur nous-mêmes. Ce voyage nous conduit à travers la science occidentale (expériences proches de la mort) et les traditions mystiques d’Orient et d’Occident. L’auteur rejette les théories de la réincarnation et du karma en faveur de la voie Zen.
« A la fin de votre vie, vous allez faire la plus profonde de toutes les expériences, l’expérience ultime, celle de la lumière qui sera vôtre pour toujours - à condition que vous vous attachiez à en faire l’expérience dès maintenant, et que vous vous consacriez totalement à cette pratique. » D. E. H. se situe dans la tradition des "coquins spirituels". Le fait que son corps soit âgé de 79 ans, nous dit-il, lui inspire un sentiment d’urgence extrême, car il réalise que s’il ne réussit pas à cesser d’être quelqu’un avant de mourir, finira, selon les termes de Rumi : « avec un appartement dans la cité de la mort » (voir 3e millénaire n°44, l’article de Charles Abot : Meurs… Avant de mourir).
—3e millénaire, (45), Automne 1997

> Voir aussi (www.revue3emillenaire.com) :
- Un Éveillé authentique : D. Harding, par Robert Linssen (Revue être Libre, Numéros 193-195, Janvier-Mars 1962)
- D.E. Harding : Vision (Revue Être. No 1. 1974. 2e Année)
- Douglas E. Harding : Ramana Maharshi, la réalisation de soi et son accessibilité (Revue Voir. No 4. Janvier-Mars 1982)
- Douglas Harding : Comment nous expérimentons notre corps (Revue Voir. No 8. Hiver 1983)
- Douglas Harding : Comment perdre la forme humaine? comment prendre forme ? (Revue Voir. No 8. Hiver 1983)
- Douglas Harding : L’histoire des dix fous (Revue Voir. No 9. Printemps 83)
- Douglas Harding : Comment ne pas vieillir (Revue Voir. No 10 printemps 1984)
- Douglas E. Harding : Recherche-toi toi-même (Revue Être. No 3. 3e année. 1975)
- Vous êtes l’espace de mon visage. Entretien avec Douglas Harding (Louvain (Belgique), 09.03.2000)

> Douglas Harding […] Parmi ses ouvrages, ont été traduits en version française : “Vivre sans tête” (Éd. Le Courrier du Livre), “Vivre sans stress” (Éd. L'Originel, 1994), “Renaître à l'évidence” (Éd. Le Courrier du Livre, 1995) ; “La science de la Première personne” (Éd. Dervy, 1998) ; “Les religions du monde" (Éd. L’Originel, 1999)… Voir aussi ses articles parus dans la Revue 3e millénaire (n°5,6,8,11,13,16,19,20,21,23,25,40,42,50,52,55,59,66,69,75,76,79,80,83,91,100,124… Ici.).

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