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Critiques

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15 sur 15
Ce livre est un recueil de trois nouvelles écrites par Ursulla K. Le Guin et se rattachant au cycle de l'Ekumen. Elles ont également en commun de traiter de manière plus ou moins directe de l'effet Churten qui donne son titre à l'ouvrage. Cet effet est une conséquence sur l'être humain d'une technique de voyage instantané dans l'espace, quelle que soit la distance séparant le point de départ de celui d'arrivée. Cet effet se matérialise dès lors que plus d'une personne prend part à un même déplacement. Il entraîne une altération des perceptions individuelles qui ne peuvent disparaître qu'avec une mise en harmonie des personnes ayant pris part au voyage. Mais ces effets ne sont pas faciles à rendre par le récit et la performance de l'auteur dans ce domaine pourrait être meilleure, laissant un goût d'inachevé au lecteur. Il n'y a que dans la dernière des nouvelles que l'effet Churten n'a pas de conséquence sur un groupe, la nouvelle se trouvant ainsi purgée de ces passages où l'auteur peine et devenant alors meilleure que les des autres. On sort de ce recueil un peu frustré car cet effet Churten est une belle invention de l'auteur mais il la place dans un domaine où elle n'excelle pas.
 
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Patangel | Mar 12, 2019 |
Ce recueil de nouvelles d'Ursula K.Le Guin rassemble huit récits, dont sept sont liés à son cycle de l'Ekumen. Ces sept nouvelles ont également en commun une étude de sociétés humaines dont le schéma de vie en couple puis en famille diffère du schéma commun aux sociétés industrialisées du XXIe siècle. Ces histoires, certes intéressantes, sont un peu répétitives à la longue. À l'inverse, la dernière nouvelle, la plus longue, n'est pas lié à l'Ekumen et se démarque des précédentes en abordant la problématique du voyage spatial s'étendant sur plusieurs générations. En choisissant d'y ajouter une composante religieuse, l'auteur y trace une étude sociétale des plus intéressante et il s'agit clairement de l'œuvre la plus aboutie de ce recueil, ce qui permet de clôturer le livre sur une note très positive.½
 
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Patangel | 29 autres critiques | Mar 3, 2019 |
Ce sixième roman du cycle de l'Ekumen écrit par l'Américaine Ursula K. Le Guin aborde une nouvelle fois la thématique de l'autre et des rapports humains, traités comme toujours avec beaucoup d'humanisme et de bienveillance. L'auteur y fait preuve d'une originalité qui perdure cinquante ans ans après sa parution, ce qui est plus que notable. Une très belle réussite et sûrement le meilleur roman de son cycle de l'Ekumen.
 
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Patangel | 383 autres critiques | Dec 31, 2018 |
Ce cinquième roman du cycle de l'Ekumen écrit par l'Américaine Ursula K. Le Guin aborde une problématique très intéressante, à savoir comment peut-on déceler la vérité du mensonge quand on n'a plus aucune trace écrite du passé et que l'on a perdu la mémoire. L'auteur en a tiré une bonne histoire, avec une première partie excellente centrée sur la découverte d'un monde par le héros tout juste sorti d'une amnésie totale, et une seconde où ce héros atteint une ville abritant une espèce humaine vue comme étant celle qui a mis sous leur joug tous les autochtones. Cette seconde partie est un peu moins réussie que la première, le dénouement de tous les fils de l'histoire n'étant pas des plus simples à réaliser. Malgré cela, ce roman est une réussite.½
 
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Patangel | 36 autres critiques | Nov 16, 2018 |
Les poissons du ruisseau restèrent muets. Les poissons ne prennent jamais la parole. Bien peu de gens savent ce que les poissons pensent de l'injustice ou de toute autre question.
(p. 27-28, Chapitre 3).

Lorsque j’ai vu ce livre sur les étagères de la bibliothèque de ma classe, j’ai été bien intriguée… Je ne connaissais d’Ursula Le Guin que sa veine fantastique, j’ai lu Terremer il y a de cela une bonne décennie et je m’étais arrêtée là. Ma curiosité ainsi piquée, je n’ai pu que faire un petit emprunt pour découvrir ce livre inattendu. Et puis, recommandé par l’Education Nationale, conseillé à partir de 7 ans par l’éditeur, que de beaux et bons auspices pour cette lecture enfantine…
C’est un joli petit conte qui se lit rapidement. Il ne s’y passe pas grand-chose, c’est l’histoire d’une fratrie de quatre chats qui s’émancipent et font face aux difficultés de la vie indépendante : s’alimenter, se protéger, entretenir des relations de voisinage, faire ou non confiance aux autres. Du quotidien tout simple, vu par les yeux de ces quatre frères et sœurs.
Ah, j’oubliais de dire que ces quatre frères et sœurs, justement, Roger, James, Thelma et la petite Harriet, sont des chats avec des ailes, des chats volants. Irruption de fantastique dans cette histoire, qui ne surprend pas de la part de madame Le Guin, mais qui ici est utilisé avec un naturel assez déconcertant. C’est un constat, sur lequel il n’est pas besoin d’épiloguer, l’histoire continue, et c’est une jolie façon de voir l’étrange, même si c’est plus mon œil d’adulte qui note cela, les enfants étant habitués à voir de l’étrange dans beaucoup des histoires qu’on leur propose.
L’histoire est simple, il n’y a pas vraiment de morale, juste beaucoup de réalisme (aussi paradoxal que cela puisse paraître) dans la description d’un quotidien fait de petits bonheurs même s’il est parfois âpre, le tout mâtiné d’une grande douceur, elle-même renforcée par les jolis dessins au charme désuet de S.D. Schindler.
J’en tenterai la lecture avec mes élèves plus grands, histoire de partager un moment simple, une lecture calme et fraiche, pour le plaisir des images et des mots.
 
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raton-liseur | 40 autres critiques | Nov 4, 2018 |
Ce quatrième roman du cycle de l'Ekumen est une fois de plus centré sur la rencontre de personnages issus de deux peuples complètement différents dont l'un est issu le la Ligue de tous les mondes. Cette confrontation d'usages, de coutumes, d'avancées technologiques, de modes de vie est toujours source de d'affrontements, de rejets mais aussi de réflexions sur l'autre et sur la capacité des êtres humains à l'accepter ou à le rejeter. Par ailleurs, l'histoire est intéressante et nous tient en haleine tout du long.½
 
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Patangel | 34 autres critiques | Oct 15, 2018 |
Ce roman écrit par Ursula K. Le Guin est son tout premier. Situé à la lisière entre la science-fiction et la fantasy, il est empli d'humanité et de poésie, préfigurant ainsi l'œuvre toute entière de son auteur. Le déroulement des aventures du héros qui donne son nom au livre est assez original et permet de mettre en place la rencontre de plusieurs espèces différentes au sein d'une même planète. L'auteur met ici en place un univers dans lequel elle placera de nouvelles histoires, toutes ayant en commun l'ansible, un dispositif permettant de réaliser des communications quasi instantanées quelle que soit la distance. Bref, ce premier roman est un véritable coup de maître ! À déguster sans modération !
 
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Patangel | 38 autres critiques | Sep 5, 2018 |
Le nom du monde est forêt est un roman plutôt court d'Ursula K. Le Guin, un des premiers à lui avoir apporté la reconnaissance au début des années 1970. L'auteur y narre l'affrontement inévitable entre des colons terriens et les autochtones sur une planète que ces derniers appellent « forêt ». Les humains prélèvent du bois pour l'envoyer à leur planète natale sans se soucier le moins du monde des répercutions que cela peut avoir pour les habitants de la planète. De plus, étant naturellement plus fort physiquement, des rapports d'esclavage se sont rapidement mis en place entre les deux populations. Malgré la nature pacifiques des autochtones, un des leurs, Selver Thele, choisit de se rebeller et entraîne avec lui tout son peuple. Cet affrontement tourne à la débâcle pour les humains, le rapport numérique des forces étant tout simplement trop important.
On sent ici une référence évidente à la guerre du Viêt Nam, l'auteur ayant écrit ce roman quelques années avant la fin de cette période. La sensibilité de l'auteur est pregnante dans la description des autochtones, de leur mode de vie. À l'inverse, son parti-pris sur les soldats entache un peu la crédibilité des réactions de son anti-héros, Don Davidson, qui mène l'affrontement pour les humains et dont la psychologie est un peu trop binaire. Il en résulte un bon roman mais qui semble un peu trop ancré dans son époque.

Le Dit d'Aka est également un roman un peu court d'Ursula K. Le Guin, mais écrit cette fois-ci près de trente ans après le précédent. Les partis pris de l'auteur apparaissent toujours aussi clairement mais le récit est plus en phase avec la société du vingt-et-unième siècle. L'auteur construit parfaitement bien son récit et, même si certains passages concernant le passé des Akiens sont un peu laborieux, on prend plaisir à cheminer avec Sutty, l'héroïne de ce roman, jusqu'à la conclusion qui permet de relier la passé de la Terre avec un avenir potentiel pour Aka.½
 
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Patangel | 1 autre critique | Jul 18, 2017 |
Ce roman d'Ursula Le Guin, bien que datant des années 1970, n'est en rien dépassé. Les idées que l'auteur développe trouvent encore une résonance dans l'actualité des années 2010, malheureusement. Puissant par ses idées, ce roman est néanmoins un peu pauvre au niveau de l'intrigue que l'auteur a nouée autour, ainsi qu'au niveau des différents personnages rencontrés par le héros, peu développés et ne semblant exister que pour boucher des trous. Sans ces faiblesses narratives, ce roman aurait pu accéder sans aucun doute au firmament des œuvres de science-fiction.½
 
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Patangel | 267 autres critiques | Mar 25, 2017 |
A Portland, à la fin du XXè siècle. George Orr est un rêveur. Un grand rêveur. Seulement, ses rêves ont ceci de particulier qu’ils sont effectifs et ont le don de changer le monde. Alors que la mémoire des habitants de la planète est modifiée en même temps que le monde dans lequel ils vivent, George vit avec une multitude de souvenirs, ce qui le conduit droit à la dépression et dans le cabinet du Dr Haber, psychiatre et … apprenti-sorcier.

Rien de plus tentant en effet que d’utiliser les rêves de Georges pour créer un monde éradiqué de tous les fléaux possibles et imaginables : guerres, famines, surpopulation, maladies, racisme, pollution, un monde aussi où le génie du médecin serait enfin reconnu. Le bon docteur imagine une machine qui incite George à rêver à ce monde idéal.
Malgré l’hypnose, George, se sentant manipulé, résiste aux suggestions du docteur et tente d’échapper à son emprise. Une réflexion intéressante sur le pouvoir et ses frontières un peu floues avec une certaine forme de totalitarisme.

C’est sur ce court roman de Ursula Le Guin, publié en 1971, que j’ai arrêté mon choix pour la première lecture de science-fiction de ma vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer ! Et, j’ai trouvé ça plutôt captivant, même si je devais souvent revenir en arrière pour suivre les péripéties mentales et réelles du héros.
Avec lui, j’ai éprouvé l’angoisse de vivre ou plutôt essayer de vivre dans un monde en perpétuelle mutation avec des repères fluctuants et j’ai été soulagée de lire une fin plutôt optimiste.
 
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perduedansleslivres | 196 autres critiques | Nov 22, 2011 |
Il y a très longtemps des colons de la planète Urras sont partis vers une de ses lunes: Anarres. Annares est une planète peu accueillante quasiment désertique et presque vierge de toute vie animale. Mais qu'importe, ces colons sont des idéalistes, ils ont décidé de vivre autrement en créant ex nihilo une société complètement différente. C'est une société où la notion de propriété et d'argent n'existe pas. La vie s'organise exclusivement en groupe et chacun participe activement au fonctionnement de la communauté — il n'y a pas de notion de travail et de rémunération mais chacun doit effectuer des tâches au service de la société et non pour son propre profit.
Le professeur Shevek, l'un des plus grand physicien d'Annares, va réaliser le rêve d'une vie en faisant le voyage de retour vers la planète originelle Urras. C'est un véritable choc qui l'attend sur cette planète au système économique et politique radicalement différent.

Le récit de science-fiction sert une opposition entre un monde communiste extrême et un monde capitaliste. A travers les questionnements de ce personnage, nous nous interrogeons sur ces deux modèles sans parvenir à choisir tant ces opposés disposent de bons et des mauvais côtés. C'est un livre original au sujet extrêmement intéressant. Le récit alterne entre le présent — les évènements vécu par Shevek sur Urras — et le passé — le récit de la vie de Shevek sur Annares, les raisons qui l'ont menées à faire ce voyage. Même si le fond est intéressant, j'ai trouvé les personnages assez froids et j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire et à accrocher — j'ai même abandonné ce livre avant la fin. Ce n'est apparemment pas un avis partagé car c'est un livre qui est habituellement très apprécié et qui constitue une lecture enrichissante de la politique vue par un oeil scientifique. Je me souviens avoir ressenti un peu la même chose lors de la lecture de Mars la rouge de Kim Stanley Robinson: un fond particulièrement riche — le récit de la création d'une nouvelle société abordée sous un angle scientifique — mais une histoire que j'avais eu beaucoup de mal à suivre. http://www.aubonroman.com/2011/09/les-depossedes-par-ursula-k-le-guin.html
 
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yokai | 267 autres critiques | Sep 10, 2011 |
Soixante-dix nouvelles et poèmes de Robert E. Howard, Clark Ashton Smith, Ursula K. Le Guin, Jack Vance, Fritz Leiber, L. Sprague de Camp, Michaël Moorcock, H.G. Wells, Yves et Ada Remy, Poul Anderson, Dean R. Koontz, Marion Zimmer Bradley,Tanith Lee, Tolkien, etc. rassemblés dans cinq grandes parties : Le Manoir des roses, La Citadelle écarlate, La Cathédrale de sang, La Dame des crânes et Le Monde des chimères. Sommaire complet.
Quatrième de couverture : De ses racines qui plongent au coeur des plus anciennes traditions orales à ess derniers avatars, ce sont tous les courants de la fantasy qui sont représentés ici, en cinq parties et soixante-dix textes. De la tendresse à la violence, du baroque au comique, du rêve au cauchemar, dieux, elfes, magiciens, barbares et guerriers, savants et sorciers ou simples humains vous entraînent vers des terres inconnues au travers de paysages intérieurs jusqu'au fond tourmenté de l'inconscient.
 
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vdb | Jul 17, 2011 |
Soixante-dix nouvelles et poèmes de Robert E. Howard, Clark Ashton Smith, Ursula K. Le Guin, Jack Vance, Fritz Leiber, L. Sprague de Camp, Michaël Moorcock, H.G. Wells, Yves et Ada Remy, Poul Anderson, Dean R. Koontz, Marion Zimmer Bradley,Tanith Lee, Tolkien, etc. rassemblés dans cinq grandes parties : Le Manoir des roses, La Citadelle écarlate, La Cathédrale de sang, La Dame des crânes et Le Monde des chimères. Sommaire complet.
Quatrième de couverture : De ses racines qui plongent au coeur des plus anciennes traditions orales à ess derniers avatars, ce sont tous les courants de la fantasy qui sont représentés ici, en cinq parties et soixante-dix textes. De la tendresse à la violence, du baroque au comique, du rêve au cauchemar, dieux, elfes, magiciens, barbares et guerriers, savants et sorciers ou simples humains vous entraînent vers des terres inconnues au travers de paysages intérieurs jusqu'au fond tourmenté de l'inconscient.
 
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vdb | Jul 17, 2011 |
Cette critique se rapporte aux quatre premiers volumes de la série « Terremer ».

Terremer est une bien étrange collection de livres. Dans un monde fait d’une multitude d’îles qui forment un ensemble cohérent tout en conservant leurs particularités, ce cycle de fantasy est centré sur un personnage, Ged, et différentes étapes de sa vie. Les trois premiers livres peuvent être lus indépendamment les uns des autres, tandis que le quatrième est réellement dans la continuité des tomes deux et trois.
Il est étrange de constater qu’il y a bien peu d’action dans ces livres. Il est surtout question de voyages (en bateau, notamment, à bord du Voitloin), de paysages. L’action ne vient souvent que dans les 50, voire les 20, dernières pages, comme si l’auteur se souvenait que c’était le prétexte du livre et qu’il faudrait bien qu’elle en dise un mot…
C’est donc un livre qu’il faut lire plus pour la construction du monde qui est présenté que pour un bon livre de fantasy classique. Il y a bien de la magie, des dragons et tout et tout, mais c’est plus pour les voir évoluer dans de beaux paysages que pour les voir s’affronter ou affronter le mal qu’il faut lire ce livre.
Si chaque livre est construit de la même façon, ce n’est pas pour autant qu’ils sont identiques. C’est comme si chacun avait son propre thème. En simplifiant, on pourrait dire que :
- Le Sorcier de Terremer est sur l’apprentissage et la connaissance de soi, dans le bien et dans le mal.
- Les tombeaux d’Atuan, sous couvert d’une histoire très sombre, est sur la liberté de choisir sa vie (en opposition à la pré-destination).
- L’Ultime rivage regarde la mort de près et le sens que l’on peut donner à notre propre finitude.
- Tehanu, qui se démarque du reste du cycle, explore la vie simple par rapport à la vie d’aventure et la place de la femme dans la société (avec des thèses qui ne me plaisent pas trop d’ailleurs).

Ce type de livre est une découverte pour moi, pas désagréable, mais je ne suis pas certaine que cela me convertisse tout à fait à ce genre. A lire à petites bouchées, de temps à autre, peut-être…
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raton-liseur | 375 autres critiques | Apr 12, 2011 |
Présentation de l'éditeur : Lorsque George Orr dort, il rêve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se réveille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il découvre que ses rêves ont changé le monde. Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde réel se retrouve ravagé par des guerres nucléaires et envahi par des extraterrestres. George Orr doit-il se débarrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ? Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'améliorer le sort des humains ? Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction américaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula.
Quatrième de couverture : Lorsque George Orr dort, il rêve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se réveille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il découvre que ses rêves ont changé le monde. Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde réel se retrouve ravagé par des guerres nucléaires et envahi par des extraterrestres. George Orr doit-il se débarrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ? Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'améliorer le sort des humains ? Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction américaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula.
 
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vdb | 196 autres critiques | Oct 9, 2010 |
15 sur 15