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Collection dirig e par G rard KleinLorsque George Orr dort, il r ve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se r veille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il d couvre que ses r ves ont chang le monde.Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde r el se retrouve ravag par des guerres nucl aires et envahi par des extraterrestres.George Orr doit-il se d barrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ?Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'am liorer le sort des humains ?Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction am ricaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula.… (plus d'informations)
storyjunkie: Both books carry a philosophical weight to their world-saving. A similar atmosphere to their protagonists, worlds, and occupancy of a more soul-searching lot in the science fiction spectrum make them nicely complementary to each other.
bluepiano: Same plot: Doctor exploits a patient whose dreams overlap waking life. Unlike Le Guin's good guy/bad guy suspense story, though, Manchip White's dwells on vivid unsettling dreams and their disturbing RL parallels.
A Portland, à la fin du XXè siècle. George Orr est un rêveur. Un grand rêveur. Seulement, ses rêves ont ceci de particulier qu’ils sont effectifs et ont le don de changer le monde. Alors que la mémoire des habitants de la planète est modifiée en même temps que le monde dans lequel ils vivent, George vit avec une multitude de souvenirs, ce qui le conduit droit à la dépression et dans le cabinet du Dr Haber, psychiatre et … apprenti-sorcier.
Rien de plus tentant en effet que d’utiliser les rêves de Georges pour créer un monde éradiqué de tous les fléaux possibles et imaginables : guerres, famines, surpopulation, maladies, racisme, pollution, un monde aussi où le génie du médecin serait enfin reconnu. Le bon docteur imagine une machine qui incite George à rêver à ce monde idéal. Malgré l’hypnose, George, se sentant manipulé, résiste aux suggestions du docteur et tente d’échapper à son emprise. Une réflexion intéressante sur le pouvoir et ses frontières un peu floues avec une certaine forme de totalitarisme.
C’est sur ce court roman de Ursula Le Guin, publié en 1971, que j’ai arrêté mon choix pour la première lecture de science-fiction de ma vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer ! Et, j’ai trouvé ça plutôt captivant, même si je devais souvent revenir en arrière pour suivre les péripéties mentales et réelles du héros. Avec lui, j’ai éprouvé l’angoisse de vivre ou plutôt essayer de vivre dans un monde en perpétuelle mutation avec des repères fluctuants et j’ai été soulagée de lire une fin plutôt optimiste.
Présentation de l'éditeur : Lorsque George Orr dort, il rêve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se réveille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il découvre que ses rêves ont changé le monde. Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde réel se retrouve ravagé par des guerres nucléaires et envahi par des extraterrestres. George Orr doit-il se débarrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ? Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'améliorer le sort des humains ? Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction américaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula. Quatrième de couverture : Lorsque George Orr dort, il rêve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se réveille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il découvre que ses rêves ont changé le monde. Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde réel se retrouve ravagé par des guerres nucléaires et envahi par des extraterrestres. George Orr doit-il se débarrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ? Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'améliorer le sort des humains ? Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction américaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula. ( )
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Confucius and you are both dreams, and I who say you are dreams am in a dream myself. This is a paradox. Tomorrow a wise man may explain it; that tomorrow will not be for ten thousand generations. — Chuang Tse: II
Dédicace
Premiers mots
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Current-borne, wave-flung, tugged hugely by the whole might of ocean, the jellyfish drifts in the tidal abyss.
Citations
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'Hello,' he said again.
He never spoke with any bitterness at all, no matter how awful the things he said. Are there really people without resentment, without hate, she wondered. People who never go cross-grained to the universe? Who recognize evil, and resist evil, and yet are utterly unaffected by it? Of course there are. Countless, the living and the dead. Those who have returned in pure compassion to the wheel, those who follow the way that cannot be followed without knowing they follow it, the sharecropper's wife in Alabama and the lama in Tibet and the entomologist in Peru and the millworker in Odessa and the greengrocer in London and the goatherd in Nigeria and the old, old man sharpening a stick by a dry streambed somewhere in Australia, and all the others. There is not one of us who has not known them. There are enough of them, enough to keep us going. Perhaps.
A person who believes, as she did, that things fit: that there is a whole of which one is a part, and that in being a part one is whole: such a person has no desire whatever, at any time, to play God. Only those who have denied their being yearn to play at it.
Derniers mots
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Thr Alien watched them from within the glass-fronted shop, as a sea creature might watch from an aquarium, seeing them pass and disappear into the mist.
Collection dirig e par G rard KleinLorsque George Orr dort, il r ve, comme tout un chacun. Mais lorsqu'il se r veille, au contraire de ce qui se passe habituellement, il d couvre que ses r ves ont chang le monde.Et parce qu'il lui arrive aussi de faire des cauchemars, le monde r el se retrouve ravag par des guerres nucl aires et envahi par des extraterrestres.George Orr doit-il se d barrasser d'un aussi terrifiant pouvoir ?Ou bien doit-il l'utiliser dans l'intention redoutable d'am liorer le sort des humains ?Un des romans majeurs d'Ursula Le Guin, la grande dame de la science-fiction am ricaine, qui a obtenu plusieurs fois les prix Hugo et Nebula.
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Rien de plus tentant en effet que d’utiliser les rêves de Georges pour créer un monde éradiqué de tous les fléaux possibles et imaginables : guerres, famines, surpopulation, maladies, racisme, pollution, un monde aussi où le génie du médecin serait enfin reconnu. Le bon docteur imagine une machine qui incite George à rêver à ce monde idéal.
Malgré l’hypnose, George, se sentant manipulé, résiste aux suggestions du docteur et tente d’échapper à son emprise. Une réflexion intéressante sur le pouvoir et ses frontières un peu floues avec une certaine forme de totalitarisme.
C’est sur ce court roman de Ursula Le Guin, publié en 1971, que j’ai arrêté mon choix pour la première lecture de science-fiction de ma vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer ! Et, j’ai trouvé ça plutôt captivant, même si je devais souvent revenir en arrière pour suivre les péripéties mentales et réelles du héros.
Avec lui, j’ai éprouvé l’angoisse de vivre ou plutôt essayer de vivre dans un monde en perpétuelle mutation avec des repères fluctuants et j’ai été soulagée de lire une fin plutôt optimiste.