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Critiques

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J'ai eu un peu de mal à me mettre dans l'esprit de ce livre : la langue, déroutante et lyrique, la chronologie, spasmodique et hachée, les personnages, pluriels et caricaturés, on ne sait pas très bien sur quel pied danser. Une fois que l'on a pris ses assises, par contre, on se laisse happé par un récit unique qui voyage dans le temps, par les générations et par les cultures. L'amitié d'Alex et de Jonathan qui le passé soude alors qu'il aurait pu les déchirer est un grand espoir qui est fondé sur les décombres de l'humanité.
J'ai adoré ce regard sur la religion et les traditions juives, sur cette générosité de l'être humain et sur la toute importance de la mémoire.
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Cecilturtle | 265 autres critiques | Jan 2, 2014 |
Une écriture particulière mais entraînante, un jeune auteur talentueux, une histoire entre rêve et réalité.
 
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berenice-1506 | 265 autres critiques | Jun 5, 2012 |
Despite numerous attempts I just could not get through this novel. I am tempted to see the movie to see what I missed. I suspect that the obstacle was the precious nature of the prose, which unfortunately never convinced me of its reality.
 
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Becky444 | 467 autres critiques | Feb 8, 2012 |
Jonathan Safrab Foer a non seulement mené l'enquête dans les usines de fabrication alimentaires, mais aussi dans son fort intérieur. C'est un récit passionnant autour des discours, des raisonnements et des foi:, la bonne ou la mauvaise foi, ou encore la foi religieuse. Il aurait pu s'attacher à d'autres principes adoptés par certains, son style introspectif n'aurait pour autant probablement pas bougé.Il nous démontre avec ce bouquin que non content d'être un écrivain, J. S. FOER est aussi un penseur.
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oisule | 138 autres critiques | Aug 28, 2011 |
J'ai eu beaucoup de mal à me laisser emporter ce roman en grande partie, je crois, à cause de la qualité relativement médiocre de la traduction. La langue, et par conséquent le récit, m'a paru boiteuse, voire laborieuse. L'enfant ne m'a pas paru convaincant; les personnages, sans nom pour la plupart, évasifs; le dénouement improbable et même décevant. Par contre, on se laisse prendre par la quête d'Oscar, par les personnages qu'il rencontre, par sa découverte du monde et sa tentative de le comprendre. La fin aussi est belle : à la fois sereine, optimiste et mélancolique. C'est définitivement un livre qui mérite un coup d'œil non seulement pour son thème, mais aussi ses images et sa structure.½
 
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Cecilturtle | 467 autres critiques | May 21, 2011 |
écriture vive et imagée et récit palpitant, boulversant.
 
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oisule | 265 autres critiques | Mar 27, 2011 |
J'ai été époustouflée et j'ai TOUT aimé; l'adorable narrateur, l'humour, l'originalité du style et de l'écriture, et cette belle histoire de famille sur trois générations, une étrange quête dans NY qui seule, permettra à Oskar de surmonter sa culpabilité.
Très beau, très émouvant.
 
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lenasouslefiguier | 467 autres critiques | May 2, 2007 |
Très touchant.
Un bon moment passé avec Oskar, personnage attachant au possible.
Un travail formel qui m'a moins convaincue que le fil de l'histoire.½
 
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Zuzka | 467 autres critiques | Apr 5, 2007 |
À neuf ans, Oskar Schell trouve extrêmement difficile de faire certaines choses, prendre une douche, ou l’ascenseur. Les ponts suspendus, les germes, les avions, les feus d’artifice, mais aussi les échafaudages, les plaques d’égout, les sacs sans propriétaire, les chaussures, les gens à moustache, la fumée, les nœuds, les gratte-ciel et les turbans provoquent en lui une véritable panique. Lorsqu’il trouve une clé dans le vase du dressing de son père un an après la mort de ce dernier dans les attentats du 11-Septembre, Oskar se met en tête de découvrir la serrure à laquelle elle correspond ainsi que la signification du mot « Black » écrit au dos d’une enveloppe. Va-t-il enfin résoudre le mystère de la disparition de son père ? Il décide de rencontrer toutes les personnes qui s’appellent Black à New York, soit deux cent seize foyers. Sa quête lui révélera l’histoire de sa famille…
 
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Iliana | 467 autres critiques | Mar 22, 2007 |