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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Papin-Traite-fondamental-de-la-medecine-ayurvediq...

> CARAKA SAMHITÂ, Traité fondamental de la médecine ayurvédique - Tome 3, par Jean Papin, Editions Almora, 256 p. 26 €.Et de 3 ! Voici pour la première fois en français la traduction d'un des plus célèbres traités de médecine ayurvédique. Le tome 3 clôt ce travail titanesque. Vieux de 2000 ans, ce traité surprend par sa modernité. La médecine ayurvédique est toujours bien vivante en Inde où elle complète efficacement la médecine allopathique et la médecine homéopathique. Ce volume traite particulièrement des protocoles de soins. Vous trouverez en annexe un intéressant glossaire des termes sanskrits ainsi que des listes de plantes et de substances ayurvédiques. Les rapports entre Âyurveda et Yoga sont étroits, la maitrise des interrelations existant chez tout individu entre les trois dosha (vata, pitta et kapha) permet de créer des séances de yoga totalement personnalisées. —Infos Yoga
Infos Yoga, (81), (Mars/Avril 2011), p. 42

> CARAKA SAMHITÂ, de Jean Papin. — Ce troisième volume achève la traduction du célèbre traité fondamental de la médecine ayurvédique, la Caraka Samhitâ, traité vieux de 2000 ans.
Ce volume traite des formules pharmaceutiques et des protocoles de soins. Il est complété par des commentaires et d'abondantes annexes, permettant au lecteur de retrouver aisément la signification des termes sanskrits, des espèces botaniques, des substances inorganiques etc., figurant dans les trois tomes.
L’ensemble des trois traités démontre que la médecine ayurvédique ne consiste pas seulement à verser de l'huile tiède sur le front d'un « client ». Éditons Almora, 26 €. (Jean-Pierre LAFFEZ)
Carnets du Yoga, (297), Mai 2011
… (plus d'informations)
 
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Joop-le-philosophe | Jan 15, 2022 |
> […] « le Chant des sirènes ». C'est un recueil d'entretiens, de causeries et d'interviews où il est question de yoga, de tantrisme, de physique moderne et autres joyeusetés. C'est vivant, caustique, parfois outrancier ou emporté, mais souvent aussi sagace et pénétrant. (Pierre FEUGA)
Infos Yoga, (rel="nofollow" target="_top">54), Oct. 2005, (p. 41)… (plus d'informations)
 
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Joop-le-philosophe | Mar 20, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Papin-Siva-Samhita--Traite-classique-de-hatha-yog...

> SIVA SAMHITÂ, Traité classique de hatha-yoga, Traduit par Jean Papin - Editions Almora, 256 pages 17 €. — Fondé sur des textes plus anciens et sur les expériences personnelles de Swami Svatmarama, le Siva Samhita est un des trois grands textes classiques du hatha-yoga. Elle décrit, entre autre, les principaux asana, le pranayama, les cakra, la kudalini, les bandha (contractions musculaires), les kriya, la shakti, les nadi et les mudra (sceaux du yoga). —MATHIEU
Infos Yoga, (93), Eté 2013, p. 43

> Eveil et philosophie, blog de José Le Roy : http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2013/04/10/26898453.html
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Papin-Siva-Samhita--Traite-classique-de-hatha-yog...

> SIVA SAMHITÂ, Traité classique de hatha-yoga, de Jean Papin. — La Siva Samhitâ est l'un des textes classiques du hatha-yoga.
Les deux autres étant Hathayoga-Pradipikâ et Gheranda-Samhitâ.
Ce traité expose un enseignement majeur en cinq chapitres. Il traite de la philosophie du yoga, des pratiques tantriques, de l’énergie, des postures, du souffle et de son contrôle, des mûdras, de la relation entre maître et disciple, des obstacles et de la méditation.
Cette présentation est issue de la traduction française de Jean Papin, Siva Samhitâ : Traité classique de hatha-yoga, Almora, 2013.
Jean Papin a ainsi présenté sa traduction :
La Siva Samhitâ est considérée comme un des textes traditionnels importants du hatha-yoga.
Ce traité n’est pas daté, mais il est probable qu’il soit antérieur à des textes similaires, tels la Gheranda-Samhitâ, la Hathayoga-Pradîpikâ ou la Goraksa-Samhitâ. En outre, son auteur est inconnu. Mais cet anonymat demeure très courant en Inde. Les auteurs ne revendiquent pas la paternité de leurs œuvres, destinées avant tout à l’édification des humains. De telle sorte qu’il apparaît habituel de considérer ce genre de livre comme des « révélations » accordées aux dévots par leur entité divine de prédilection. Dans ce domaine, Siva a toujours été jugé et décrit comme le « suprême yogin ».
Certaines versions de la Siva Samhitâ ajoutent donc, en exergue, les deux stances suivantes : « Maintenant, Siva, pourvoyeur de délivrance à l’égard de tous les êtres vivants, va exposer la discipline du yoga à l’intention de ses dévots. À ceux qui se complaisent dans les vaines controverses résultant d’une connaissance erronée, il indiquera les moyens efficaces pour retrouver la véritable Connaissance et obtenir la concentration mentale. »
Datant de 3000 av. J.-C., un sceau fut découvert à Mohenjodaro, dans le Sind (actuel Pakistan). Il représentait Siva, assis en padmâsana avec un cobra au-dessus de lui. Mais cela ne constitue pas une preuve suffisante de l’ancienneté de cette discipline yoguique concernant le corps et l’esprit, car, en aucun cas, les Védas ne la mentionnent.
Il semble qu’un apport chamanique, très marqué, soit à l’origine du shivaïsme. Il proviendrait du nord et du centre de l’Asie ; si bien qu’il est permis de douter que l’Inde soit le pays natal du yoga…
En réalité, historiquement, le yoga fait son apparition dans les textes entre le IIe et le IIIe siècle et est associé étroitement à la doctrine dualiste du samkhya. Il en constitue même l’aspect pratique.
C’est à cette époque que l’on découvre Patañjali, l’auteur des célèbres Yoga-Sûtra, ouvrage incontesté de référence du yoga au huit membres (astangayoga), conjuguant hatha et rajayoga, c’est-à-dire une discipline ascétique conduisant à la maîtrise du physique et du mental.
On désigne parfois le hathayoga (hatha signifie d’abord : violence et urgence) comme kriyayoga (kriya signifiant : activité et sacrifice).
Les autres yogas (mantra, karma, bhakti, jnana et layayoga) sont alors considérés comme des disciplines et des pratiques complémentaires.
Pour les ascètes qui s’y adonnent, ce yoga est le meilleur, le plus immédiatement efficace, car il permet de reconstruire le corps et peut assurer l’immunité, la victoire sur la maladie et la décrépitude. Tous les exercices qu’il propose auront donc pour objet la santé et la libération de la mort. Mais cela impose une pratique redoutable et permanente. Et, comme l’affirmait E. Kant : « Toutes les libérations ne sont pas des délivrances ! »
Ensuite, doté d’un corps devenu pratiquement immortel, le yogin pourra se consacrer à la maîtrise du mental. A cette fin, il s’exercera alors au contrôle du souffle vital (prâna) afin de le transmuer en pure intelligence.
Fidèle à son dieu et à l’enseignement de son guru, il obtiendra le pouvoir de manier les forces psychiques, ce qui, en principe, lui permettra l’éveil et la montée de l’énergie, sommeillant en chacun de nous, la suprême déesse Kundalini, clef du succès dans le yoga !
Poursuivant sa quête, il lui sera alors possible d’accéder à la concentration, à la méditation et enfin à l’expérience de la transcendance dans le samadhi. Tel se présente le parcours idéal du yogin pratiquant cette discipline, défini selon le même schéma par Patanjali et appelé aussi ghatasthayoga (1), le yoga du corps.
*1. Ghata : le pot de terre, symbole même de l’espace physique, le corps incarné. Ed. Almora, 2013. (Jean-Pierre LAFFEZ)
Carnets du Yoga, (325), Mars 2014
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Joop-le-philosophe | Mar 20, 2021 |

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