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Chargement... Lord Valentine's Castle (édition 2008)par Robert Silverberg (Auteur)
Information sur l'oeuvreLe château de Lord Valentin par Robert Silverberg
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After having spent 15 years writing intellectual scifi, Robert Silverberg decided to change his approach and produced a great epic scifi/fantasy novel in order to get more visibility and commercial success. This is the origin of Lord Valentine's Castle, an adventure fiction where the main character is Majipoor: a gigantic planet populated by dozens of billions of individuals (humans and exotic races). Although the setting is futuristic, technology is almost absent because of scarcity of metal and scientific knowledge being lost. As a consequence Majipoor looks pretty much like a medieval setting where futuristic machinery is (scarcely) used. Silverberg also adds supernatural elements (sorcery, the governement keeping control of people through the use of dreams) which is why the novel is clearly leaning towards fantasy. One immediately thinks about Dune even though the comparison is purely motivated by this subtle blend of SF and fantasy (the "science fantasy" label seems to have been invented for Lord Valentine's Castle) and Dune is undoubtedly classified as SF. Valentine got deprived of its Coronal role (the equivalent of Majipoor's executive power) by an usurper and embodied in a juggler. He will strive to find his memories and conquer his throne back. I found it original and convincing to focus on an adult which is waking up to life the same way as a child or teenager does. Valentine's questioning on his life and goals are moving and well written by Silverberg who managed to create an interesting and credible character within a pure epic fiction. But Lord Valentine's Castle is mainly an epic fantasy fiction, a futuristic road-trip taking place in a dangerous and beautiful world created by Robert Silverbert. Despite being already 30 years old and the invasion of epic fantasy since then, Valentine remains a fresh and invigorating ready which I can only recommend. Après quinze ans passés à écrire de la SF à tendance cérébrale (couronnés par les louanges des critiques plus que par un succès commercial probant) Robert Silverberg changeait temporairement son fusil d’épaule et signait pour un grand roman de science-fiction épique auquel il donna plusieurs suites. Et nous voilà donc embarqués dans Le Château de Lord Valentin, un grand roman d’aventure où l’acteur principal est joué par Majipoor, immense planète peuplée par plusieurs dizaines de milliards d’individus, humains colonisateurs et détenteurs du pouvoir et autres races bigarrées (des colosses au poil long et dotés de quatre bras et bien d’autres toutes aussi exotiques). Bien que l’action prenne place dans un futur lointain, la technologie est peu présente pour cause de rareté du métal et perdition du savoir scientifique. En résulte un décor intéressant où la population a retrouvé un mode de vie quasi médiéval ponctué par l’utilisation d’engins futuristes mais rares (des engins de transport anti-gravité tirés par des lamas génétiquement modifiés). L’auteur glisse quelques éléments qui donnent une connotation surnaturelle à l’ensemble (sorciers, gouvernement gardant le contrôle du peuple via l’envoi de rêves) si bien que le résultat tire finalement plus du côté de la fantasy. On pense à Dune évidemment même si la comparaison s’arrête à ce subtil mélange de SF et de fantasy et que ce glorieux aîné est indubitablement classé en SF (parenthèse refermée). Le Château de Lord Valentin tient aussi du roman initiatique. Valentin, dépossédé de son rôle de Coronal (le pouvoir exécutif sur Majipoor) par un usurpateur, se retrouve incarné dans le corps d’un jongleur et va progressivement s’atteler à la reconquête de son trône. Le personnage principal est donc un adulte à qui on met les comptes à zéro et qui s’interroge sur son identité et son destin. Ce filon est très bien exploité par l’auteur qui construit un personnage intéressant et crédible sans trop en faire. S’il verse dans le psychologique, Le Château de Lord Valentin reste il faut bien l’avouer une fresque épique, du grand spectacle. C’est un road-trip futuriste dans une nature belle et dangereuse à qui l’auteur donne le rôle principal. Malgré ses trente ans d’âge et le déferlement de la fantasy épique que l’on a observé (subit diront certains), Valentin a gardé toute sa fraîcheur et mérite d’être redécouvert. aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la sérieMajipoor (01) Majipoor: Publication (1980) Appartient à la série éditorialeMoewig Science Fiction (3667) Science Fiction Book Club (3887) SF Masterworks (New design) Est contenu dansContientA inspiréPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Set in a world teeming with alien races and fantastic, almost magical, machinery, Valentine, an itinerant juggler, wakes up one morning with only a vague and troubled idea of who he is. He gradually discovers, through dreams and portents, that he is in fact his namesake: Lord Valentine, the Coronal, his body and throne stolen by a usurper. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Tandis qu'il découvre auprès d'une troupe de jongleurs, des Skandars à quatre bras son aptitude à leur art, Valentin est poursuivi par d'étranges rêves : il serait le vrai Coronal et l'on aurait, par science ou par magie, transféré son esprit dans un corps anonyme. Est-ce folie ? Et même si telle était la vérité, ne serait-il pas insensé pour un jongleur d'occasion de traverser les continents et les mers de Majipoor afin de renverser un usurpateur ? Carabella la jongleuse pressent la vérité et pousse Valentin à accomplir son destin. Et la petite troupe s'engage dans ce qui va devenir la geste de Valentin.
Robert Silverberg déploie ici la fresque somptueuse d'un vaste univers qui évoque la grandeur de Dune et l'enchantement du Seigneur des anneaux sans jamais rien leur devoir.