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Howard McCord

Auteur de L'homme qui marchait sur la Lune

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Œuvres de Howard McCord

L'homme qui marchait sur la Lune (1997) 29 exemplaires
Longjaunes His Periplus (1968) 7 exemplaires
Mirrors (1973) 5 exemplaires
The fire visions (1970) 5 exemplaires
FABLES & TRANSFIGURATIONS. (1967) 5 exemplaires
The Diary of a Young Girl. (1972) 5 exemplaires
MAPS (1971) 4 exemplaires
The arctic desert (1975) 4 exemplaires
The old beast: [poems] (1975) 3 exemplaires

Oeuvres associées

For Neruda, For Chile: An International Anthology (1975) — Traducteur — 23 exemplaires
Of Solitude and Silence (1981) — Contributeur — 10 exemplaires
Lillabulero, Number 12, A Special Issue for Paul Metcalf (1973) — Contributeur — 2 exemplaires
Stooge Thirteen, Spring 1975 — Contributeur — 1 exemplaire

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Critiques

> L'homme qui marchait sur la lune, par Howard McCord. — McCord réconcilie Thoreau et Tarantino. Un régal.
Imaginez Walden un 44 Magnum à la main et vous aurez une petite idée du très acéré William Gasper, héros de ce bref roman culte, qui oscille constamment entre "littérature de montagne" et paranoïa post-Watergate. La "lune", ici, ce sont ces monts déserts du Nevada, où notre homme fuit on ne sait quoi : ce monde moderne fait d'échangeurs d'autoroute et de clips sur MTV ? Son passé d'ancien tueur professionnel de l'armée américaine ? Langue coupante comme une paroi de granit et final à la Pulp Fiction : McCord réconcilie Thoreau et Tarantino. Un régal.
L'Express

> L'HOMME QUI MARCHAIT SUR LA LUNE HOWARD McCORD (Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.)
Se reporter au compte rendu de P.M.
In: (2009). Compte rendu de [Nouveautés]. Entre les lignes, 5 n° 2 (hiver 2009), p. 50… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/692ac
Cette Lune où déambule William Gasper est le nom d’une montagne désertique du Nevada.
Le décor est grandiose; certaines pages de l'ouvrage s'approchent du sublime. Au début, on pense avoir affaire à un gentil lunatique qui a trouvé, dans ce paysage aride, un lieu lui permettant de renouer avec lui-même. Mais on devine qu'il espère aussi y échapper à quelque chose ou à quelqu’un. Puis on découvre que le personnage est tout le contraire de ce qu'on avait supposé : Gasper est une machine à tuer, un ancien tireur d’élite de l'armée recyclé dans l’assassinat politique international et qui tente en vain de se faire oublier de ses adversaires. À tous ceux et celles qui estiment que la nature est l’ultime refuge contre les horreurs de l’humanité. L'homme qui marchait sur la Lune répond qu'on n’est nulle! part à l’abri des hommes : on transporte tous ses pires ennemis à l’intérieur de soi. On peut reprocher à Howard McCord de ne pas s’empêtrer dans les nuances pour clamer son manque de confiance dans l’humanité, mais il est difficile de ne pas lui donner raison. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.
P.M.
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 10, 2021 |

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