P. D. JamesCritiques

La suite des aventures des soeurs Bennet au temps de Jane Austen. Un peu laborieux.

La suite des aventures des soeurs Bennet au temps de Jane Austen. Un peu laborieux.

J'ai bien aimé ce roman, même si l'inspecteur Adam Dalgliesh n'est pas en charge de l'enquête, car il est en vacances sur la zone. Mais il y a plusieurs intrigues entre les personnages et de jolies pages.

James brings us into a classic cozy murder with a backdrop of a museum and family squabbles. As skeletons come out of the closet, we discover the true nature of the characters in all their complexity. I love the elegance of the writing, the carefully constructed plot and Jamaes's witty eye for detail. Dalgleish reserves us a surprise at the end - a neat little way to end on a positive note.

Un exercice de style, c'est souvent intéressant, c'est rarement percutant.½

J'ai eu du mal à me plonger dans l'intrigue tant les premiers chapitres manquaient d'action et se focalisaient surtout sur la description des lieux et des personnages. Puis l'enquête menée par Dalgliesh m'a enfin interessée et j'ai lu les derniers chapitres d'une traite.

I read the classic "Pride and Prejudice" just before reading this book. Both are extremely boring and I don't understand how anyone could enjoy a writing style in which superfluous details are being recollected over and over. This book was certainly not "Dazzling" and did not have "the pace of a thriller" (as written on the cover). P.D. James fans, run away!

C'est le premier PD James que je lisais. Le début du livre était extrêmement prometteur, avec une atmosphère très pesante autour de la première victime. La suite n'est malheureusement pas aussi fascinante, avec des personnages et une intrigue qui ne nous tiennent pas vraiment en haleine.

Acheté par fidélité à une vieille passion pour les intrigues policières du commandant Dalgliesh, le dernier P.D. James m’a, disons le mot, déçue. J’en attendais mieux, même si dès les premiers chapitres, mon ancien agacement envers ces interminables mises en place et ces descriptions trop détaillées, ici multiplié par dix, m’est remonté comme une aigreur (quel intérêt de savoir la forme et la couleur des vêtements de chaque personnage si ces détails ne jouent aucun rôle dans l’intrigue ! Manque de confiance en l’imagination du lecteur ?). De même, une certaine difficulté apparaît ici, me semble-t-il, à rassembler les éléments importants de l’intrigue en une solution significative et concise. Faut-il en conclure qu’il serait temps pour dear old Phyllis de prendre une retraite bien méritée ?

Moi qui ne suis pas accroc de policier, j'ai savouré cette oeuvre autant pour le style (bien que ce soit une traduction), les descriptions des paysages anglais ou la mise en portait des différents personnages.
Les livres de James ne reposent pas seulement sur l'énigme policière.