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Ivan TurgenevCritiques

Auteur de Pères et fils

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Critiques

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Très bien écrit et on plonge dans la vieille Russie
 
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ours57 | 31 autres critiques | Sep 27, 2022 |
> Vil
Par Nicolas (Le blog de Menon), le 3 décembre 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne),
URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R353JEBU4HW1BW?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
« Au début de l'été 1833, Vladimir Petrovitch, âgé alors de seize ans, prépare sans zèle excessif ses examens d'entrée à l'université dans la propriété de ses parents, non loin de Moscou7. Il tombe éperdument amoureux de Zénaïde, jeune femme de vingt-et-un ans d'une singulière beauté, qu'il observe de derrière la palissade séparant son jardin du parc. C'est en fait sa voisine fraîchement installée dans la maison attenante et qui vit là avec sa mère, la princesse Zassékine, personne désargentée réduite à une existence misérable. La jeune fille réunit fréquemment chez elle nombre d'adorateurs qu'elle s'amuse à rendre jaloux ou qu'elle pousse par jeu à commettre quantité de sottises. » (Résumé Wikipédia)
Autant j’avais aimé Le journal d’un homme de trop, autant ce Premier amour m’a non seulement déplu mais même mis mal à l’aise. Le pathétique du roman en est cause tant les personnages sont peints comme fats et médiocres. Quant au secret de Zénaïde, non seulement il se devine si aisément qu’on peste contre la cécité du héros ; mais, de plus, il soulève le cœur.
Ici, c’est une Russie vile et laide que dépeint Tourgueniev. Le récit serait en partie autobiographique : quelle tristesse ! La laideur de la vie ; la bassesse des âmes : voilà ce dont nous entretient Tourgueniev.
 
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Joop-le-philosophe | 41 autres critiques | Mar 10, 2021 |
longue nouvelle très bien écrite, mais un brin démodée. Amour contrarié, prince russe, duel au pistolet…
 
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Marc-Narcisse | 9 autres critiques | Jan 4, 2019 |
> Par Flora (EdiLivre.com) : A la découverte de la littérature russe
22 avr. 2017 ... Père et fils aborde le thème d'un choc générationnel entre des parents et leurs enfants nihilistes et révoltés. Le jeune Bazarov est un jeune nihiliste convaincu. C'est d'ailleurs Tourgueniev qui est à l'origine de ce terme qui désigne une position morale selon laquelle on pense que la vie est dénuée de tout sens et de tout but. Les nihilistes n'approuvent aucune contrainte, qu'elle soit morale, religieuse ou politique. Nous vous invitons à découvrir ce roman qui nous présente une nouvelle forme de pensée qui influença beaucoup la Russie.
 
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Joop-le-philosophe | 129 autres critiques | Dec 9, 2018 |
Il est inutile de dire que tout cela ne devint clair pour moi que dans les derniers temps, lorsque je fus enfin obligé de replier mes ailes froissées, ces ailes qui ne m’auraient jamais porté ni haut ni loin.
(p. 22, “25 mars. – Neigeuse journée d’hiver”).

Le jeu de mot est facile, mais je ne peux m’en empêcher. Cet homme de trop est un livre de trop… J’avais découvert Tourgueniev à l’adolescence avec Premier Amour, un roman que j’avais trouvé mièvre et sans intérêt. Mais j’étais jeune et je me voulais peu impressionnable. En voyant ce titre, qui me faisait envisager des perspectives sur des sujets qui m’intéressent (le sens de la vie, l’absurde d’avant et d’après Camus, et tout le toutim), je me suis dit qu’il était temps de donner une nouvelle chance à cet auteur.
Funeste erreur… Même avec une trame comme celle-là, un homme d’une trentaine d’années qui se sent mourir, alors même qu’il n’a rien fait de sa vie, Tourgueniev arrive à placer un roman d’amour dégoulinant de guimauve. Amour déçu, certes, mais tout de même. Que des jolies envolées, que de belles descriptions de l’être aimé, des élancements du cœur. Très déçue, je n’ai même pas eu le courage de lire la seconde nouvelle du recueil. Non, décidément, j’étais peut-être dure de cœur adolescente, je le suis peut-être toujours aujourd’hui, mais Tourgueniev me fait l’effet d’un auteur pour midinettes. Très peu pour moi.
 
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raton-liseur | Feb 15, 2015 |
L’histoire racontée (et même lue!) à des auditeurs extérieurs: le prétexte classique, et si artificiel!½
 
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dinabeb | 41 autres critiques | Sep 18, 2009 |
Des thèmes passionnants, fondateurs pour la pensée moderne (du moins la mienne), mais un style qui ne suit pas.½
 
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dinabeb | 129 autres critiques | Sep 18, 2009 |
Neufs. Vol I: Jaquette, boitier gris. Vol II-III: Jaquettes.
 
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Mairesse | Dec 2, 2013 |