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Larry McMurtry (1936–2021)

Auteur de Lonesome Dove

105+ oeuvres 37,315 utilisateurs 782 critiques 131 Favoris

A propos de l'auteur

Larry McMurtry, winner of the Pulitzer Prize for Fiction, among other awards, is the author of twenty-four novels, two collections of essays, two memoirs, more than thirty screenplays, & an anthology of modern Western fiction. He lives in Archer City, Texas. (Publisher Provided) Novelist Larry afficher plus McMurtry was born June 3, 1936 in Wichita Falls, Texas. He received a B.A. from North Texas State University in 1958, an M.A. from Rice University in 1960, and attended Stanford University. He married Josephine Ballard in 1959, divorced in 1966, and had one son, folksinger James McMurtry. Until the age of 22, McMurtry worked on his father's cattle ranch. When he was 25, he published his first novel, "Horseman, Pass By" (1961), which was turned into the Academy Award-winning movie Hud in 1962. "The Last Picture Show" (1966) was made into a screenplay with Peter Bogdanovich, and the 1971 movie was nominated for eight Oscars, including one for best screenplay adaptation. "Terms of Endearment" (1975) received little attention until the movie version won five Oscars, including Best Picture, in 1983. McMurtry's novel "Lonesome Dove" (1985) won the Pulitzer Prize in 1986 and the Spur Award and was followed by two popular TV miniseries. The other titles in the Lonesome Dove Series are "Streets of Laredo" (1993), "Dead Man's Walk" (1995), and "Comanche Moon" (1997). The other books in his Last Picture Show Trilogy are "Texasville" (1987) and "Duane's Depressed" (1999). McMurtry suffered a heart attack in 1991 and had quadruple-bypass surgery. Following that, he suffered from severe depression and it was during this time he wrote "Streets of Laredo," a dark sequel to "Lonesome Dove." His companion Diana Ossana, helping to pull him out of his depression, collaborated with him on "Pretty Boy Floyd" (1994) and "Zeke and Ned" (1997). He co-won the Best Screenplay Golden Globe and the Academy Award for Best Adapted Screenplay for Brokeback Mountain in 2006. He made The New York Times Best Seller List with his title's Custer and The Last Kind Words Saloon. McMurtry is considered one of the country's leading antiquarian book dealers. (Bowker Author Biography) afficher moins

Séries

Œuvres de Larry McMurtry

Lonesome Dove (1985) 8,356 exemplaires
Les rues de Laredo (1993) 2,219 exemplaires
La marche du mort (1995) 1,884 exemplaires
La dernière séance (1966) 1,867 exemplaires
Lune comanche (1997) 1,835 exemplaires
Books: A Memoir (2008) 1,100 exemplaires
Sin Killer (2002) 1,044 exemplaires
Terms of Endearment (1975) 1,037 exemplaires
Texasville (1988) 890 exemplaires
Anything for Billy (1988) 864 exemplaires
Buffalo Girls (1990) 810 exemplaires
Boone's Lick (2000) 682 exemplaires
Etoile du soir (Tendres passions-2) (1992) 668 exemplaires
The Wandering Hill (2003) 665 exemplaires
Telegraph Days (2006) 665 exemplaires
Duane est dépressif (1999) 640 exemplaires
Horseman, Pass By (1961) 612 exemplaires
By Sorrow's River (2003) 597 exemplaires
Et tous mes amis seront des inconnus (1972) 588 exemplaires
Some Can Whistle (1989) 584 exemplaires
Crazy Horse (1999) 582 exemplaires
Brokeback Mountain (Widescreen Edition) (2005) — Screenwriter — 532 exemplaires
Zeke and Ned (1997) 527 exemplaires
Folly and Glory (2004) 515 exemplaires
Leaving Cheyenne (1963) 511 exemplaires
The Last Kind Words Saloon (2014) 447 exemplaires
Cadillac Jack (1982) 416 exemplaires
Moving On (1970) 409 exemplaires
Pretty Boy Floyd (1994) 406 exemplaires
Loop Group (2004) — Auteur — 306 exemplaires
The Desert Rose (1983) 305 exemplaires
Rhino Ranch (2009) 288 exemplaires
When the Light Goes (2007) 287 exemplaires
Late Child (1995) 270 exemplaires
In a Narrow Grave: Essays on Texas (1971) 245 exemplaires
Somebody's Darling (1978) 216 exemplaires
Literary Life: A Second Memoir (2009) 197 exemplaires
Custer (2012) 186 exemplaires
Still Wild: Short Fiction of the American West 1950 to the Present (2000) — Directeur de publication — 137 exemplaires
Paradise (2001) 137 exemplaires
Lonesome Dove #3 127 exemplaires
Film Flam : Essays on Hollywood (1987) 126 exemplaires
The Last Picture Show [1971 film] (1971) — Screenwriter — 119 exemplaires
Terms of endearment (1983) — Auteur — 114 exemplaires
The Berrybender Narratives (2010) 97 exemplaires
Hollywood: A Third Memoir (2010) 97 exemplaires
Thalia: A Texas Trilogy (2017) 89 exemplaires
Hud [1963 film] (1963) — Auteur — 64 exemplaires
The Lonesome Dove Series (1960) 52 exemplaires
Lonesome Dove Part 1 Of 3 (2002) 39 exemplaires
Lonesome Dove. Episode 1 (1985) 30 exemplaires
Lonesome Dove. Episode 2 (1985) 28 exemplaires
Johnson County War [2002 TV movie] (2002) — Writer — 15 exemplaires
The Evening Star [1996 film] (1996) 11 exemplaires
Texasville [1990 film] (1990) — Auteur — 7 exemplaires
Lonesome Dove (Part 2 of 3) (1986) 5 exemplaires
Een stadje in het Westen. Dl. II: Op zoek naar Montana (1991) — Auteur — 4 exemplaires
Brokeback Mountain: A Screenplay — Auteur — 3 exemplaires
Il cammino del morto (2024) 2 exemplaires
Thalia 1 exemplaire
Larry McMurtry Mixed Prepack (1999) 1 exemplaire
Missouri River (2006) 1 exemplaire
Pour Billy (1990) 1 exemplaire
Moving On Part 1 Of 2 (1992) 1 exemplaire
Comanche Moon Part 2 of 2 (1999) — Auteur — 1 exemplaire
LD#1 - Lonesome Dove 1 exemplaire
Lovesome Dove 1 exemplaire

Oeuvres associées

Ceremony (1977) — Introduction, quelques éditions3,568 exemplaires
Unholy Ghost: Writers on Depression (2001) — Contributeur — 492 exemplaires
Doña Bárbara (1929) — Avant-propos, quelques éditions471 exemplaires
Lonesome Dove [1989 TV mini-series] (1989) — Screenwriter — 211 exemplaires
The Facts of Life: and Other Dirty Jokes (2002) — Avant-propos — 124 exemplaires
Avedon at Work: In the American West (2001) — Avant-propos — 69 exemplaires
Lone Star Literature: From the Red River to the Rio Grande: A Texas Anthology (2003) — Avant-propos, quelques éditions67 exemplaires
Texfake: An Account of the Theft and Forgery of Early Texas Printed Documents (1991) — Introduction, quelques éditions33 exemplaires
Dead Man's Walk [1996 TV mini-series] (1996) — Screenplay — 22 exemplaires
Streets of Laredo [1995 TV mini series] (2001) — Original book — 21 exemplaires
South by Southwest: 24 Stories from Modern Texas (1986) — Contributeur — 10 exemplaires
Lovin' Molly [1974 film] — Original book — 2 exemplaires

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Discussions

Larry McMurtry à Legacy Libraries (Février 2023)
MARCH GROUP READ - Lonesome Dove à Club Read 2019 (Mai 2019)
Larry McMurtry American Author Challenge à 75 Books Challenge for 2015 (Septembre 2015)

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/McMurtry-Et-tous-mes-amis-seront-des-inconnus/153...
> 20 Minutes : target="_top">https://www.20minutes.fr/livres/1161623-20130502-20130525-et-tous-amis-inconnus-...
> Les Inrocks : https://www.lesinrocks.com/livres/et-tous-mes-amis-seront-des-inconnus-nous-fait...

> ET TOUS MES AMIS SERONT DES INCONNUS, de Larry McMurtry, Gallmeister, 330 p., 32,95$. — Et tous mes amis seront des inconnus est l’histoire du primo - romancier Danny Deck en perpétuelle quête de confort. Tant en amour que dans la vie, Deck ne se sent jamais vraiment à sa place. Campé dans son Texas natal au tournant des années 70, il décide de tourner la page sur les premières années de sa vie et de répondre aux appels de la côte ouest, où commencera un réel parcours initiatique dans une Amérique elle-même en quête d’identité. La force de McMurtry réside principalement dans le ton qui réussit à ne jamais tomber dans des lieux communs lorsqu’il relate la période hippie. Grâce au talent de l’auteur, on s’amourache d’un personnage qui est toujours à côté de ses pompes, un personnage qui ne demande rien et à qui tout arrive. —Jérémy Laniel Carcajou (Rosemère)
Les Libraires, (80), Déc. 2023/Janv. 2024, (p. 17)… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 11 autres critiques | Feb 22, 2024 |
Je déteste le Nouveau-Mexique, déclara Gus. Quand c’est pas les ours, c’est les Indiens.
(p. 406, Partie 3, Chapitre 4).


J’avais tellement aimé Lonesome Dove il y a un peu plus d’un an que je me suis lancée les yeux fermés dans cette suite. Enfin, suite non, ni au sens de la chronologie des événements ni au sens de la date de publication. Mais je reviens au début, puisqu’avec ce livre on fait un saut en arrière et on retrouve avec Gus et Call au moment de leurs premières aventures en tant que Texas Rangers.
Mais je n’ai pas autant aimé cette lecture que l’original. J’ai trouvé la narration plus classique, sans toutes les surprises auxquelles Lonesome Dove nous avait habituées, et sans les personnages bien campés qui étaient un des principaux atouts de l’original. Gus et Call sont jeunes, certes, mais ils sont sans relief. Gus ne parle que de putains, sauf quand il a faim ; Call est déjà un taiseux perfectionniste. Et les personnages qui les entourent sont soit fades soit assez peu crédibles.
Je referme donc ce livre avec un avis assez mitigé. Heureuse malgré tout d’avoir retrouvé mes deux héros, mais un peu déçue de ce qu’il sont devenus en rajeunissant. Un livre à réserver aux inconditionnels des premiers livres, et surtout, il ne faut pas commencer la série par là, on risque de trouver tout cela bien fade et cela serait dommage de ne pas continuer et de passer à côté d’un superbe western. Pour ma part, comme j’ai déjà le tome suivant, Lune Comanche, sur mes étagères, je continuerai l’aventure, et puis après, il ne me restera qu’un tome, postérieur à Lonesome Dove pour finir la série, donc je la finirai, mais j’espère y retrouver tout le piment initial, sinon la lecture risque de me paraître un peu longue.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | 31 autres critiques | Jan 15, 2021 |
Cette critique se rapporte aux deux tomes de l’édition française.

J’espère que c’est assez difficile pour toi, Call, dit-il. J’espère que t’es satisfait. Sinon, j’abandonne. Parce que faire une si longue route avec tout ce bétail squelettique, c’est une drôle de manière de garder goût à la vie.
(p. 286, Chapitre 25, Partie 1, Episode 1).

« Poussons encore un jour ou deux » comme dit Augustus à quelques encablures de la fin du livre (p. 461, chapitre 94, Partie 3, Episode 2). Et c’est un bien long voyage auquel nous invite Larry McMurtry. Un long voyage par le nombre de pages de ce roman fleuve, un long voyage géographique par le nombre de kilomètres que les protagonistes vont parcourir, un long voyage dans l’histoire et la psyché américaine aussi.
Je n’aime guère les phrases publicitaires que les éditeurs se sentent maintenant obligés de mettre sur les quatrième de couverture. Et celle qui accompagne ce livre est bien présomptueuse : « Si vous ne devez lire qu’un seul western dans votre vie, lisez celui-ci. », conseil d’un certaine James Crumley dont je n’ai jamais entendu parler. Je ne suis pas certaine d’être d’accord avec lui, car je ne suis pas certaine que ce livre soit un western, du moins ce n’est pas ainsi que je l’ai lu.
Certes, il est question de far west, de pionniers, de lutte contre les Indiens, d’élevage, de Mexicains hors la loi… On retrouve tout Il était une fois dans l’Ouest ou Le bon, la brute et le truand (les westerns spaghetti sont à peu près l’intégralité de ma culture western…), mais ce livre est beaucoup plus que cela. C’est avant tout l’histoire d’une poignée d’hommes (et quelques femmes en périphérie), menés par deux anciens Texas Rangers, des vieux de la vieille, un peu revenus de tout, des braves parmi les braves, légendes vivantes d’un temps qui est déjà révolu.
Deux hommes, Augustus McCrae et Woodrow Call liés par une amitié indéfectible et pourtant difficile à comprendre tant ils sont différents l’un de l’autre. Gus, le moulin à paroles qui disserte sur le moindre brin d’herbe, a un avis sur tout et ne se prive pas de le partager, ouvertement paresseux et désireux de profiter de chaque opportunité que la vie lui laisse entrevoir. Et Call (intéressant que l’un soit désigné principalement par son surnom tandis que l’autre l’est principalement par son nom de famille), droit dans ses bottes de cow-boy, sûr de ses principes, dur à la tâche, meneur d’hommes malgré lui, incarnation vivante de ses principes moraux inflexibles. L’auteur les décrit, dans une préface que je n’ai pas, comme l’épicurien et le stoïcien. Ce n’est pas à moi d’expliquer à l’auteur ses intentions, mais cette catégorisation me paraît trop réductrice par rapport à la complexité des personnages que McMurtry a su créé, et qui donne tout son charme à son œuvre.
Car, autour de ces deux hommes, ce sont d’autres hommes qui gravitent, et, même s’ils ne sont pas aussi fouillés (plusieurs sont de simples figurants, mais dans l’ensemble, les personnages secondaires ont une existence et une épaisseur bien réelles). Dish l’amoureux transi, O’Brien l’Irlandais nostalgique de ses vertes prairies, Bolivar le cuisinier Mexicain pas tout à fait clair, pour n’en citer que quelques uns. Toute cette faune crée un kaléidoscope à la fois étourdissant et complet de ce que pouvait être un cow-boy à cette période de l’histoire. Et c’est là que ce livre est intéressant et que je ne suis pas d’accord avec la phrase de James Crumley citée par l’auteur : ce livre n’est pas un western classique. Certes, il en a tous les ingrédients, mais ce serait réducteur de ne voir que cela dans cette galerie de personnages.
En effet, McMurtry donne à voir ce qui pouvait animer ces hommes. Il y a bien sûr ceux qui sont frustres, qui se laissent porter par la vie, mener par des chefs, qui font leur travail et ne voient guère plus loin. Mais il y a aussi ceux qui aspirent à autre chose. Ceux qui se demandent pourquoi le soleil se lève chaque matin mais qui savent qu’ils ne sont pas aller assez longtemps à l’école pour le comprendre, il y a ceux qui aspirent à un idéal qu’ils entrevoient parfois de façon obscure et dévoyée mais qu’ils savent être là, il y a ceux qui ont une vie intérieure riche et trouvent en eux des ressources sans fin pour faire de leur vie une épopée incessante.

Voilà beaucoup de phrases pour dire que j’ai aimé ce livre qui m’a captivée dès le début. J’y vois bien quelques imperfections. Un traitement un peu feuilletonnesque, ce qui fait que je n’ai pas été surprise d’apprendre que McMurtry a utilisé pour ce roman un scénario de cinéma qui n’avait pas servi (bien que le roman soit beaucoup plus riche que ce qui aurait pu être porté à l’écran). Quelques longueurs peut-être aussi. Mais c’est le talent de conteur de McMurtry qui a prévalu, sa capacité à créer une galerie de personnages riches et captivants, sa capacité à se jouer des standards et des clichés, en un mot, à rendre la légende de l’ouest sauvage plus humaine, quitte à écorner cette même légende que ce soit celle des valeureux justiciers ou des bandits à l’insondable noirceur. Les Indiens, certes sur le déclin en prennent aussi pour leur grade. Soit irrémédiablement sanguinaire, soit tellement affamés qu’ils viennent quémander de la nourriture à ceux qui les ont poursuivi pendant bien longtemps.
Et, si le côté feuilletonnesque est un peu trop apparent, il faut aussi reconnaître à McMurtry un sens aigu du scénario. J’y ai vu un peu de Game of Thrones avant l’heure, avec une capacité à se débarrasser d’un personnage de façon cruelle, ou bien de façon inattendue, au détour d’une phrase, sans aucun signe annonciateur. Une scénarisation qui se veut proche de la vie, lorsque les choses ne sont pas forcément logiques ou justes. Un personnage qui meurt avant que l’on ait appris à le connaître.
En un mot, cette sorte de road movie sans route et sans voiture m’aura fait voyager dans la géographie et dans l’histoire des Etats-Unis, au-delà des clichés habituels et aura donné vie et humanité à des périodes et des lieux de légende. Un très beau livre, qui propose différents plans de lecture et dont les personnages restent longtemps avec le lecteur, tant durant la lecture (cette envie irrépressible de retrouver son livre pour savoir ce que nous réserve la prochaine page, le prochain chapitre…) que bien longtemps après.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | May 8, 2019 |
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, pourtant étonnante, de ce "western" littéraire. J'avoue que je n'ai pas une passion pour les scènes violentes, les tortures et les scalps à la mode Comanche. Je suis allée jusqu'au bout tout de même, sans doute parce que ce livre est fort bien écrit et que le destin de quelques uns de ses "héros" m'intéressait assez pour que j'ai envie de savoir ce qu'il adviendrait d'eux après autant d'aventures et de batailles.
 
Signalé
pangee | 31 autres critiques | Sep 20, 2016 |

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