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Georges Lautner (1926–2013)

Auteur de Les Tontons Flingueurs

30 oeuvres 76 utilisateurs 6 critiques 1 Favoris

A propos de l'auteur

Comprend les noms: Georges Lautner

Crédit image: wikimedia.org/olivierstrecker

Œuvres de Georges Lautner

Les Tontons Flingueurs (1963) — Directeur — 12 exemplaires
Les Barbouzes (1964) — Directeur — 8 exemplaires
The Professional [1981 film] (1981) — Directeur — 6 exemplaires
Pasha [1968 film] (1968) — Directeur — 5 exemplaires
Les seins de glace (1974) — Directeur — 5 exemplaires
La Cage aux Folles 3: The Wedding (2000) — Directeur — 4 exemplaires
Mort d'un pourri [1977 film] (1977) — Directeur — 4 exemplaires
La Grande Sauterelle (2017) 2 exemplaires
Flic ou Voyou [1979 film] (1979) — Directeur — 2 exemplaires
The Black Monocle [1961 film] (1961) — Directeur — 2 exemplaires
On aura tout vu (2005) 2 exemplaires
La Valise (2017) 2 exemplaires
Le Guignolo 2 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1926-01-24
Date de décès
2013-11-22
Sexe
male
Nationalité
France
Lieu du décès
Paris, France
Professions
film director
screenwriter

Membres

Critiques

Première scène du film : dans un lit, la nuit : une femme (Mireille Darc) demande à un homme (Alain Delon) de lui dire qu'il l'aime, d'être gentil pour une fois (rien à voir avec la scène d'ouverture du Mépris, donc !).
L'homme ne répondra naturellement pas puisque c'est un dur à cuire qui n'exprime jamais ses sentiments. La virilité a la vie dure, a fortiori dans le genre du film noir.
Un homme (Maurice Ronet) sonne à la porte : un grand ami et collègue de Xavier (A. Delon) avoue qu'il vient de faire une immense connerie. Xavier lui offre immédiatement son soutien et une "couverture" pour la police.
Couverture très rapidement éventée puisque cela signera le début d'une chasse à l'homme et de pièges en cascade, dans un univers où se croisent tout à la fois des élus, hommes d'affaires et policiers corrompus.
Film tendu, rythmé et bien réglé dans lequel on chercherait assez vainement des failles ou incohérences.
… (plus d'informations)
½
 
Signalé
biche1968 | Dec 31, 2020 |
Des dialogues cultissimes d'un film culte. On est surpris, en revoyant le film, du nombre d'expressions encore en usage aujourd'hui, dont on a oublié qu'elles étaient empruntées à ce sommet de la langue d'Audiard (qui ne l'avait décidément pas dans la poche).
L'action compte finalement assez peu dans l'affaire. Les dialogues se suffisent à eux-mêmes et tiennent lieu de scénario. Sans parler bien entendu du génie des comédiens... immenses !
½
 
Signalé
biche1968 | Jan 27, 2020 |

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