Michel CazenaveCritiques

> ANGÈLE DE FOLIGNO, de Michel Cazenave (Albin Michel, 2007). — Mystique franciscaine de la fin du XIIIe siècle (v. 1260-1309), Angèle de Foligno demeure l’une des figures majeures de tout le courant spirituel issu de saint François d’Assise. Dans un siècle prophétique où se multiplient les mouvements de pénitence, et où les femmes font irruption sur la scène religieuse, elle est l’une de celles qui ont le plus radicalement appliqué la pauvreté évangélique. (Spiritualités Vivantes)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cazenave-Angele-de-Foligno/682037

> La science et l'âme du monde, par Michel CAZENAVE, « Imago », Paris, 1983.
Se reporter au compte rendu de Clémence RAMNOUX
In: Revue de Métaphysique et de Morale, 89e Année, No. 1 (Janvier-Mars 1984), pp. 128-129… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1Na_QOa0P2A4lilf_Fqr_jpZso_9-Yo_S/view?usp=shari...

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cazenave-Sciences-et-Symboles--Les-Voies-de-la-co...

> LES VOIX DE LA CONNAISSANCE, Colloque de Tsukuba. — Pour faire le point des différents problèmes de notre temps, le colloque de Tsukuba a tenté de mener un effort interdisciplinaire rigoureux où chacun pouvait exposer ses recherches et ses réflexions — la diversité est très grande puisque se trouvent réunis des physiciens, des biologistes, des mathématiciens, des neurochysiologues, des psychiatres, des psychanalystes, des émologues et des religieux. Éd. Albin Michel. (Albert SARALLIER)
—Clés, (12), (Juillet-Août 1990), p. 49

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cazenave-La-Science-et-lame-du-monde/309690
> Ramnoux C., Revue de Métaphysique et de Morale, 89e Année, No. 1 (Janvier-Mars 1984), pp. 128-129

> Ce livre rend compte d'une vaste enquête sur les mécanismes de l'invention scientifique, sur les nouveaux modèles de la physique et de l'astrophysique, sur les thèmes métaphysiques et parfois même mythiques qui s'y trouvent mis en jeu, afin de montrer comment l'on pourrait, aujourd'hui, essayer de repenser une unité fondamentale du monde et de l'homme grâce à la reprise en compte de la notion de l'Être, et dans une dialectique essentielle des savoirs de l'inconscient et des processus rationnels.
—Danieljean (Babelio)

> Une interrogation ontologique qui met à jour la complémentarité essentielle de la science et de la mystique. Car notre “histoire est d’abord une histoire de la conscience…”. (Albert SARALLIER)
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (p. 49)

> LE RÊVE D'OSSIAN, de Michel Cazenave. — Ossian est souvent devenu, dans l’Europe continentale, le prototype du héros de l’Irlande ancienne. C’est donc lui qu’a décidé de suivre Michel Cazenave, dans ses rêves et dans sa mémoire. Selon la légende, en effet, subjugué par une “fée” qui était venue le guérir d’amour, Ossian était parti pour les Iles d’immortalité où régnent les femmes souveraines, et où le temps n’existe pas. Pourtant, un jour, pris de nostalgie pour son Irlande natale, il décide de revenir dans l’île verte : hélas ! sans qu’il ne s’en soit aperçu, plusieurs siècles ont passé, l’Irlande est devenue chrétienne, et Ossian ne reconnaît plus rien de son pays ni de ses habitants. Il se réfugie dès lors dans ses souvenirs et dans sa puissance onirique, en évoquant les multiples aventures qu’il avait connues “en ce temps-là”. : interventions des pouvoirs surnaturels, apparitions des dieux, voyages dans l’au-delà, présence des fantômes, quête de l’amour fou dont font preuve, par exemple, Diarmait et Grainne, les doublets irlandais de Tristan et Iseult. Exploration, de ce fait, des racines même de notre imagination et des symboles souvent les plus forts qui ont irrigué notre culture, spécialement au Moyen Age. “Le Rêve d’Ossian” se veut ainsi la redécouverte de nos racines les plus lointaines, une plongée dans toute la partie celtique dé nos origines - telle du moins que nous la transmettent les documents que nous avons pu conserver - les retrouvailles avec tout un continent enchanté dont, consciemment ou pas, nous sommes aussi les héritiers. Ed. Yoran Embanner, 2012 - 250 p.
—3e millénaire, (106), Hiver 2012

> VISAGES DU FÉMININ SACRÉ, de Michel Cazenave. — Voici plus de deux millénaires, que, influencés par l’héritage de la pensée gréco-latine, puis par le christianisme tel qu’il a dû s’adapter à l'Empire romain, nous avons oublié la figure des Déesses au bénéfice d’un Père omnipotent. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Et même à l’intérieur de notre civilisation traditionnelle, on voit bien comme le Féminin, “refoulé” collectivement, a souvent tenté de faire un retour, souvent par des voies imprévues... Ou comme à de multiples reprises il a été rendu hommage à ce que Michel Cazenave nomme un « féminin de Dieu », c’est-à-dire, une manifestation, sous les traits du Féminin, de ce « divin ou de cette transcendance qui nous fonde et, du même coup, nous dépasse de toutes parts ». Ce sont ces figures dont l’auteur ressuscite ici le souvenir. C’est ainsi qu’il s’est intéressé tour à tour à l’ancienne grande Déesse des Celtes, à la figure de la Mère divine en Inde et à tout ce féminin de “Dieu”, que ce soit dans la “divine” Sophia des orthodoxes, dans l’Artémis d’Éphèse ou chez Isis l’Égyptienne, que ce soit dans la Béatrice de Dante ou dans cet Éternel Féminin ». Que de découvertes alors ! Et comme on se rend compte que, dans une époque ou le Féminin demande là reconnaissance de tous ses droits, il est en accord avec tout ce que nous portons de plus profondément “enfoui” en nous.
Au terme d’une belle analyse sur Béatrix, « la puissance de la vision » chez Dante, l’auteur s’interroge avec son lecteur, et si « amour et folie étaient aussi la même chose, et qu’il y avait des ponts mystérieux -mystérieux et nécessaires - entre l'amour pour une femme et la folie mystique de Dieu ? » La puissance de l’amour conduit incontestablement à un mode de “connaissance spirituelle” ou le vrai et le beau se révèlent identiques dans l’harmonie du Cosmos. Ed. Entrelacs, 2012 - 235 p.
—3e millénaire, (106), Hiver 2012

> [Question de]. Michel Cazenave, Le retour du Templier. In: Question de n°44, octobre-novembre 1981 – Nostradamus ? Un poète..., Sur les pas du Bouddha, Le livre des morts Tibétains. p.124 (Bibliotheque Essentielle)
Romans Initiatiques :
— Celui-ci, il faut se précipiter dessus tel le rapace sur sa proie. Rien de commun avec le blême la Chambre des Dames de Madame Bourin dont le succès prouve un goût faible. Michel Cazenave, lui, nous fait plonger dans l’âpreté même des âmes et réussit à brosser une fresque historique, se déroulant en 1192 en pays cathare dans les Pyrénées ariégeoises, fresque coloriée, d’une force d’éveil inouïe. Tous les débats spirituels du temps, qui sont aussi les nôtres, se trouvent réanimés ici par les passions qui meuvent les humains. Esprit et chair mêlée indissociablement, comme dans la réalité de notre quotidien, les personnages de ce roman où fulgure le talent nous parlent d’espoir et de désespoir, de violence et d'amour, célèbrent la terre et interrogent le ciel, vivent et meurent mêlés à la nature, telle la poussière.
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Ed. Albin Michel

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Amir-Moezzi-Le-Feminin-et-le-Spirituel/682038

> LE FÉMININ SPIRITUEL, ouvrage collectif sous la direction, de Michel Cazenave. — Composé à partir de plusieurs émissions du programme "Les vivants et les Dieux" de France-Culture, ce volume veut explorer les voies de ce que notre époque appelle de plus en plus fréquemment le féminin spirituel.
Exploration des grands textes sacrés et de certaines des grandes traditions religieuses, les spécialistes en philosophie et en histoire des religions qui s'expriment évitent heureusement le féminin fantasmatique qui a trop souvent cours. Ed. Desclée de Brouwer, 2001. 120 p.
—3e millénaire, (62), Hiver 2001

> UNITÉ DU MONDE, UNITÉ DE L'ÊTRE, de Michel Cazenave (dir). — L’unité se décline ici selon trois directions : le monde, l’âme, l’être. La quête de l’unité est en effet une aspiration « une », au sein de chaque humain, mais elle prend des formes multiples au travers des différents domaines de connaissance. Ainsi la science poursuit-elle son rêve de « théorie du Tout », comme le décrivent parfaitement Etienne Klein (voir aussi 3e millénaire n°19) : Bernard d’ Espagnat (3e millénaire n°18 & 19) ou Marc Lachièze-Rey (3e millénaire n°71), mais la réalité phénoménale résiste aux assauts conceptuels. L’unité de l’âme et de l’être est explorée au travers de traditions spirituelles (islam, cabale), ou en dehors de tout système religieux comme dans la psychologie analytique de Jung, ou par les Idées développées par G.I. Gurdjieff. Alain Kremsky témoigne de leur impact sur sa compréhension de lui-même et sa vision du monde. Ed. Dervy, 2005 - 312 p.
—3e millénaire, (78), Hiver 2005

> Alain Kremski mène une double carrière de compositeur et de pianiste. Il compose pour orchestre, chœurs, piano, pour le théâtre, la danse. Il a créé de nombreux concerts/lectures avec entre autres Michael Lonsdale et Jeanne Moreau, et a collaboré à des spectacles avec Peter Brook, Carolyn Carlson…
Ci-dessous quelques éléments de sa discographie :
Chez Archange/Melody :
Les musiques pour piano de Nietzsche :
CD Volume 1 : « Infini » : CD Volume 2 : « L’attente de l'Etoile » ; CD Volume 3 : « Le Chant de la nuit »
Les musiques pour piano de Pasternak - Gurdjieff/de Hartmann - Borodine - Rimski-Korsakov - Illinsky - Alain Kremski : CD « Dans les steppes de l'Asie Centrale »
Musiques de Alain Kremski pour deux pianos, Bols rituels chantants et Gongs (Tibet-Birmanie), cloches de temples (Inde-Népal): CD « Exils »
Chez Iris Music-Cézame, distribution Harmonia Mundi :
Musiques de Alain Kremski pour piano, deux pianos, Gongs (Birmanie), percussions : CD « Résonance/Mouvements, Mouvement/Résonances »
Chez Be ! Emotion Works
Musiques de Alain Kremski pour un piano, deux pianos, trois pianos, Gongs, Tambour grave, percussions : CD « Temps - Espace - Mouvements »
Chez Galaxy-Studios (Belgique)
Musiques de Alain Kremski pour Bols Bouddiques sacrés (Japon), Gongs. Grands Plaques Rituelles de Monastères (Birmanie), Grand Bol de cérémonie taoïste (Chine), cloches de temples (Népal, Inde, Tibet) - et Musique pour piano de Bach : CD et DVD « La Montagne de la Grande Pureté »
Citons enfin la série des 12 CD Gurdjieff-de Hartmann (piano) chez Naïve.
Ecrit : article dans le livre « Unité du monde, unité de l'être » collection dirigée par Michel Cazenave, chez Dervy.
—3e millénaire

> L'HOMME, LA SCIENCE ET LA NATURE, regards transdisciplinaires, Présenté par M. Cazenave et B. Nicolescu. — La transdisciplinarité constitue un courant novateur qui porte en germe la possibilité d’une nouvelle approche, d’un regard plus englobant s’ouvrant sur la totalité des activités humaines. Dans ce livre sont rassemblés des scientifiques, des philosophes, artistes et responsables d’organismes internationaux ; à tous apparaît nécessaire ce nouvel esprit.
« La transdisciplinarité, ayant comme source paradoxale la volonté de compréhension des résultats les plus généraux de la science moderne (et tout particulièrement ceux de la physique quantique et de la cosmologie), apparaît de plus en plus comme une nécessité historique : celle d’une réconciliation entre le sujet et l’objet, entre l’homme extérieur et l’homme intérieur, et d’une tentative de recomposition des différents fragments de la connaissance. La transdisciplinarité est donc la conséquence nécessaire de l’entièreté de l’être humain, individuel et social qui est, après tout et malgré tout l’enjeu majeur de la Connaissance ».
Souhaitons que ce livre constitue un vecteur d’idées et que celles-ci diffusent dans toute la communauté des penseurs (tant des scientifiques, que des philosophes ou artistes) et ensemencent les sciences d’aujourd’hui. Éd Le Mail - Mai, 1994 - 280 p.
—3e millénaire, (34), Hiver 1994

> Michel Cazenave. Histoire de la passion amoureuse.
In: Agora débats/jeunesses, 23, 2001. Faire couple. p. 134. … ; (en ligne)
URL : https://www.persee.fr/doc/agora_1268-5666_2001_num_23_1_1824_t11_0134_0000_8

> Collectif. « Histoire de la passion amoureuse » de Michel Cazenave (Le Parisien.fr), Le 17 février 2001.
C'EST QUOI, la passion ? S'emballer pour un paysage, collectionner des objets, découvrir qu'on n'aimera jamais une autre femme, un autre homme que celle ou celui rencontré à seize ans ? Cajoler une photo ? Enfermer une mèche de cheveux dans un bijou ? C'est quoi, la passion ? Tout. Même une chaise, si c'est Van Gogh qui l'a peinte. Tout ce qui est adulé peut être à vendre, aussi. Pour se donner bonne conscience, l'époque, qui a besoin de saints, a même relancé la Saint-Valentin et le joyeux commerce qui l'entoure. Il fait battre les coeurs, saint Valentin, et sonner les tiroirs-caisses. Pour échapper à ces phénomènes de mode qui traduisent les différentes crises romantiques de notre société, on peut lire « Histoire de la passion amoureuse » de Michel Cazenave, producteur à France Culture. Maître d'oeuvre de l'ouvrage, il revient vers son sujet préféré, le couple mythique de Tristan et Iseut, dont il analyse une fois de plus la légende. Selon les goûts des coauteurs qui l'entourent, apparaissent d'autres figures et l'on jette notamment un coup d'oeil sur l'amour de Caterina Benincasa, née à Sienne en 1347. Elle aimait le Christ d'amour et le considérait comme un époux mystique. Pour une passion, c'en était une ! N'oublions pas non plus Héloïse et Abélard, qui restent des amoureux inconsolables... Si la Saint-Valentin, dans son cortège de rêves, de fleurs et de pub, a réveillé votre faim intellectuelle, piquez ici et là, dans ce volume du drame sentimental, ce qui vous convient. Mais attention, ne cherchez pas d'amours heureux, ils n'ont pas d'histoire ! Editions du Félin, 320 pages, 138 F (21,04 *)… ; (en ligne),
URL : http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/histoire-de-la-passion-amoureuse-de-mic...

> Brihault Jean. Michel Cazenave : Les Guerriers de Finn, Les dits de la mémoire, préface de Claude Mettra.
In: Études irlandaises, n°18-1, 1993. p. 164. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/irlan_0183-973x_1993_num_18_1_1133_t1_0164_0000_2

> JUNG, L’EXPÉRIENCE INTÉRIEURE, de Michel Cazenave (2013, Dervy, 203 p., 19 €). — « Nul n’est en mesure, s’il ne connaît pas vraiment l’expérience intérieure, de persuader autrui qu’elle existe. La seule parole - avec quelque bonne intention que ce soit - ne persuadera jamais personne ». Ces quelques phrases de Jung donnent peut-être la clef pour comprendre l’influence qu’il eût sur l’étude de la psyché. Sa recherche, sa quête, n’étaient pas intellectuelles, mais s’ancraient bien plus profondément, à une profondeur où la raison ne peut pas aller, que les mots sont incapables à décrire, mais d’où une vie inconnue s’exprime. C’est la source de son oeuvre, de ses intérêts, de la façon dont il pouvait se mettre à l’écoute de ses patients en une communion alchimique lui permettant de dépasser le convenu, de s’ouvrir à une dimension d’où émerge une créativité permettant à l’inconscient de se manifester, à la guérison de se produire. L’on sent que l’auteur est passionné par la vie de Jung, non pas au sens historique, mais au sens de l’être, comme une correspondance. Jung était un explorateur de l’inconnu, n’hésitant pas à plonger dans des gouffres intouchables par la raison. Ses rêves le guident, lui donnent accès à son « anima », qui est cette part d’essence si souvent recouverte par notre « persona », le moi ordinaire, social. L’imagination est dans sa vie « une force de vérité... elle construit l’espace de l’âme... elle est l’instrument privilégié de la connaissance la plus haute ». La maison de Jung est le fil conducteur de l’ouvrage. Car elle a été habitée au sens le plus fort par Jung, décorée, aménagée, ses murs sculptés par lui. Les phases de construction qui l’ont vu s’agrandir reflètent le cheminement de Jung, et correspondaient à des phases de métamorphoses intérieures. L’ouvrage permet d’approcher les épreuves subies par Jung, et en même temps la force qui s’exprimait en lui et dans son oeuvre d’une richesse si dense.
—3e millénaire, (111), Printemps 2014

> Michel Cazenave, producteur-coordonateur à France Culture, a publié : (dir.) Unité du monde, Unité de l'être (Dervy, 2005) ; (dir.) De la science à la philosophie : Y a-t-il une unité de la connaissance ? (Albin Michel, 2005) ; avec Michel Cassé, Jean Audouze et Jean-Claude Carrière (dir.), L'homme dans ses univers (Albin Michel, 2000) ; (dir.) Dictionnaire de l'ignorance : aux frontières de la science (Albin Michel, 1998) ; La science et l'âme du monde (Albin Michel, 1996, 4e éd.) ; La science et les figures de l’âme (Le Rocher, 1996). Directeur de la traduction des Œuvres complètes de C. G. Jung, il est l’auteur de : Jung, L'expérience intérieure (Le Rocher, 1997). Essayiste, romancier et poète il a publié, entre autres, aux Éditions Arma Artis : S’abandonner, dit-elle (2005) ; Péninsule de la Femme (2005) ; Glanes (2005) ; La bouche ou l'Antre des Nymphes, suivi de Les cheveux ou le Secret révélé (2004) ; L'Amour, la Vie (2004) ; La Grande Quête (2003) ; Petits Chants du Néant et de la Plénitude de Dieu (2002) ; La Chute Vertigineuse (2001). Et aux Éditions Entrelacs :
Petit dictionnaire de l'amour fou (2005) ; Marcile Ficin (2005).
Voir aussi un entretien paru dans 3e millénaire n° 79.

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