Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.
Résultats trouvés sur Google Books
Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
An inspired gathering of religious writings that reveals the "divine reality" common to all faiths, collected by Aldous Huxley. "The Perennial Philosophy," Aldous Huxley writes, "may be found among the traditional lore of peoples in every region of the world, and in its fully developed forms it has a place in every one of the higher religions." With great wit and stunning intellect-drawing on a diverse array of faiths, including Zen Buddhism, Hinduism, Taoism, Christian mysticism, and Islam-Huxley examines the spiritual beliefs of various religious traditions and explains how they are united by a common human yearning to experience the divine. The Perennial Philosophy includes selections from Meister Eckhart, Rumi, and Lao Tzu, as well as the Bhagavad Gita, Tibetan Book of the Dead, Diamond Sutra, and Upanishads, among many others.… (plus d'informations)
> « Le XXe siècle est, entre autres choses, l'Age du Bruit. Le bruit physique, le bruit mental et le bruit du désir - nous détenons le record de l’histoire en ce qui les concerne tous. Et il n’y a rien d’étonnant à cela ; car toutes les ressources de notre technologie quasi miraculeuse ont été jetées dans l’assaut actuel contre le silence. » —Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia perennis, Seuil, Point Sagesses, 1977, p. 259.
> « La paix qui passe tout entendement est le fruit de la libération dans l’éternité ; mais, sous sa forme quotidienne ordinaire, la paix est aussi la racine de la libération. Car là où il y a des passions violentes et des distractions forcées, ce bien ultime ne peut jamais être réalisé. » —Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia perennis, 1945.
> LES PORTES DE LA PERCEPTION, Aldous Huxley, 10/18. — Parution en poche de ce grand classique sur la mescaline et le premier témoignage psycho-culturel publié après la guerre en 1952. Avec ce livre, Huxley inaugurait tout un champ de recherches et d’expérimentation qui allait culminer avec l'oeuvre de Leary dont “Les portes...” est l'ancêtre direct. —Mainmise
> « On peut retrouver des rudiments de la philosophie éternelle dans les coutumes traditionnelles des peuples primitifs de toutes les régions du globe et, dans sa forme la plus élaborée, elle a sa place dans toutes les grandes religions. Une version de ce facteur commun très élevé a été consignée par écrit il y a plus de vingt-cinq siècles. » —Willis Harman, Créativité transcendante, Mortagne (2008)
> Frédéric Lenoir. La philosophie éternelle In: La rencontre du bouddhisme et de l'occident de Frédéric Lenoir, Albin Michel (pp. 255-56) Aldous Huxley est probablement l’un des écrivains contemporains qui a le plus étudié les enseignements du Bouddha et dont l’oeuvre, après son grand roman pessimiste - Le Meilleur des mondes (1932) -, prend des allures de plus en plus mystiques. Avec La Philosophie éternelle (1945), il explicite clairement ses convictions spirituelles. Convaincu de l’existence d’une philosophia perennis qui transcende tous les clivages religieux liés aux dogmes et aux institutions, il en expose les grands traits et montre que le bouddhisme apparaît comme l’expression la plus achevée de cette sagesse universelle. On retrouve ici une démarche très proche de celle qui habitait les fondateurs de la Société Théosophique. Plus élaborée et plus rigoureuse intellectuellement, l’entreprise de Huxley n’en demeure pas moins une tentative syncrétique de mise au jour d’une sagesse universelle à partir de toute la diversité des systèmes religieux de l’humanité. Comme pour les théosophes, le bouddhisme sert aussi de référence centrale à cette nouvelle construction idéologique, sans toutefois que son auteur ait besoin de lui faire subir les pires contorsions. Huxley est surtout sensible à la manière dont le Bouddha expose «tout l’art de la connaissance de soi-même dans toutes ses branches : connaissance de son corps, de ses sens, de ses sentiments, de ses pensées [1]», ainsi que les moyens du salut qui sont « simultanément éthiques, intellectuels et spirituels », et résumés « avec une clarté et une économie admirables dans l’Octuple Chemin du Bouddha [2]. » __________________ 1. Aldous Huxley, La Philosophie éternelle (1945), éd. du Seuil, 1977, p. 196. 2. Id., ibid., p. 242.
> Aryel Sanat. Huxley, Aldous : La Philosophie Éternelle, Éditions du Seuil In: La vie intérieure de Krishnamurti de Aryel Sanat, 2001 - Editions Adyar. (p. 260) Ouvrage dans lequel fut forgée l'expression « philosophie pérenne », et faisant référence à ce que HPB qualifiait de « théosophie » et de « religion-sagesse ».
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
Introduction: Philosophia perennis—the phrase was coined by Leibniz; but the thing—the metaphysic that recognizes a divine Reality substantial to the world of things and lives and minds; the psychology that finds in the soul something similar to, or even identical with, divine Reality; the ethic that places man's final end in the knowledge of the immanent and transcendent Ground of all being—the thing is immemorial and universal. (Introduction)
In studying the Perennial Philosophy we can begin either at the bottom, with practice and morality; or at the top, with a consideration of metaphysical truths; or, finally, in the middle, at the focal point where mind and matter, action and thought have their meeting place in human psychology.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
If most of us remain ignorant of ourselves, it is because self-knowledge is painful and we prefer the pleasures of illusion.
Derniers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
It is they who, dying to themselves, become capable of perpetual inspiration and so are made the instruments through which divine grace is mediated to those whose unregenerate nature is impervious to the delicate touches of the Spirit.
An inspired gathering of religious writings that reveals the "divine reality" common to all faiths, collected by Aldous Huxley. "The Perennial Philosophy," Aldous Huxley writes, "may be found among the traditional lore of peoples in every region of the world, and in its fully developed forms it has a place in every one of the higher religions." With great wit and stunning intellect-drawing on a diverse array of faiths, including Zen Buddhism, Hinduism, Taoism, Christian mysticism, and Islam-Huxley examines the spiritual beliefs of various religious traditions and explains how they are united by a common human yearning to experience the divine. The Perennial Philosophy includes selections from Meister Eckhart, Rumi, and Lao Tzu, as well as the Bhagavad Gita, Tibetan Book of the Dead, Diamond Sutra, and Upanishads, among many others.
▾Descriptions provenant de bibliothèques
Aucune description trouvée dans une bibliothèque
▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Bibliothèque patrimoniale: Aldous Huxley
Aldous Huxley a une bibliothèque historique. Les bibliothèques historiques sont les bibliothèques personnelles de lecteurs connus, qu'ont entrées des utilisateurs de LibraryThing inscrits au groupe Bibliothèques historiques [en anglais].
> Aldous Huxley : Révolutions temporelles et éternité, In: Revue 3e millénaire, n°107, Printemps 2013
> « Le XXe siècle est, entre autres choses, l'Age
du Bruit. Le bruit physique, le bruit mental
et le bruit du désir - nous détenons le record
de l’histoire en ce qui les concerne tous.
Et il n’y a rien d’étonnant à cela ; car toutes
les ressources de notre technologie quasi
miraculeuse ont été jetées dans l’assaut
actuel contre le silence. »
—Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia
perennis, Seuil, Point Sagesses, 1977, p. 259.
> « La paix qui passe tout entendement est le fruit de la libération dans l’éternité ; mais,
sous sa forme quotidienne ordinaire, la paix est aussi la racine de la libération. Car là où il y a
des passions violentes et des distractions forcées, ce bien ultime ne peut jamais être réalisé. »
—Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia perennis, 1945.
> Bodéüs Richard. Aldous Huxley, La philosophie éternelle. Philosophia Perennis. Traduit de l'anglais par Jules Castier.
In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 81, n°49, 1983. p. 166. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1983_num_81_49_6235_t1_0166_0000_1
> LES PORTES DE LA PERCEPTION, Aldous Huxley, 10/18. — Parution en poche de ce grand classique sur la mescaline et le premier témoignage psycho-culturel publié après la guerre en 1952. Avec ce livre, Huxley inaugurait tout un champ de recherches et d’expérimentation qui allait culminer avec l'oeuvre de Leary dont “Les portes...” est l'ancêtre direct.
—Mainmise
> « On peut retrouver des rudiments de la philosophie éternelle dans les coutumes traditionnelles des peuples primitifs de toutes les régions du globe et, dans sa forme la plus élaborée, elle a sa place dans toutes les grandes religions. Une version de ce facteur commun très élevé a été consignée par écrit il y a plus de vingt-cinq siècles. »
—Willis Harman, Créativité transcendante, Mortagne (2008)
> Frédéric Lenoir. La philosophie éternelle
In: La rencontre du bouddhisme et de l'occident de Frédéric Lenoir, Albin Michel (pp. 255-56)
Aldous Huxley est probablement l’un des écrivains contemporains qui a le plus étudié les enseignements du Bouddha et dont l’oeuvre, après son grand roman pessimiste - Le Meilleur des mondes (1932) -, prend des allures de plus en plus mystiques. Avec La Philosophie éternelle (1945), il explicite clairement ses convictions spirituelles. Convaincu de l’existence d’une philosophia perennis qui transcende tous les clivages religieux liés aux dogmes et aux institutions, il en expose les grands traits et montre que le bouddhisme apparaît comme l’expression la plus achevée de cette sagesse universelle.
On retrouve ici une démarche très proche de celle qui habitait les fondateurs de la Société Théosophique. Plus élaborée et plus rigoureuse intellectuellement, l’entreprise de Huxley n’en demeure pas moins une tentative syncrétique de mise au jour d’une sagesse universelle à partir de toute la diversité des systèmes religieux de l’humanité. Comme pour les théosophes, le bouddhisme sert aussi de référence centrale à cette nouvelle construction idéologique, sans toutefois que son auteur ait besoin de lui faire subir les pires contorsions. Huxley est surtout sensible à la manière dont le Bouddha expose «tout l’art de la connaissance de soi-même dans toutes ses branches : connaissance de son corps, de ses sens, de ses sentiments, de ses pensées [1]», ainsi que les moyens du salut qui sont « simultanément éthiques, intellectuels et spirituels », et résumés « avec une clarté et une économie admirables dans l’Octuple Chemin du Bouddha [2]. »
__________________
1. Aldous Huxley, La Philosophie éternelle (1945), éd. du Seuil, 1977, p. 196.
2. Id., ibid., p. 242.
> Aryel Sanat. Huxley, Aldous : La Philosophie Éternelle, Éditions du Seuil
In: La vie intérieure de Krishnamurti de Aryel Sanat, 2001 - Editions Adyar. (p. 260)
Ouvrage dans lequel fut forgée l'expression « philosophie pérenne », et faisant référence à ce que HPB qualifiait de « théosophie » et de « religion-sagesse ».