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Chargement... La philosophie éternelle (1944)par Aldous Huxley
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Appartient à la série éditorialeDistinctionsListes notables
The Perennial Philosophy is defined by its author as "The metaphysic that recognizes a divine Reality substantial to the world of things and lives and minds." With great wit and stunning intellect, Aldous Huxley examines the spiritual beliefs of various religious traditions and explains them in terms that are personally meaningful. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)210Religions Natural Theology and Secularism Natural TheologyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> Aldous Huxley : Révolutions temporelles et éternité, In: Revue 3e millénaire, n°107, Printemps 2013
> « Le XXe siècle est, entre autres choses, l'Age
du Bruit. Le bruit physique, le bruit mental
et le bruit du désir - nous détenons le record
de l’histoire en ce qui les concerne tous.
Et il n’y a rien d’étonnant à cela ; car toutes
les ressources de notre technologie quasi
miraculeuse ont été jetées dans l’assaut
actuel contre le silence. »
—Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia
perennis, Seuil, Point Sagesses, 1977, p. 259.
> « La paix qui passe tout entendement est le fruit de la libération dans l’éternité ; mais,
sous sa forme quotidienne ordinaire, la paix est aussi la racine de la libération. Car là où il y a
des passions violentes et des distractions forcées, ce bien ultime ne peut jamais être réalisé. »
—Aldous Huxley, La philosophie éternelle, Philosophia perennis, 1945.
> Bodéüs Richard. Aldous Huxley, La philosophie éternelle. Philosophia Perennis. Traduit de l'anglais par Jules Castier.
In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 81, n°49, 1983. p. 166. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1983_num_81_49_6235_t1_0166_0000_1
> LES PORTES DE LA PERCEPTION, Aldous Huxley, 10/18. — Parution en poche de ce grand classique sur la mescaline et le premier témoignage psycho-culturel publié après la guerre en 1952. Avec ce livre, Huxley inaugurait tout un champ de recherches et d’expérimentation qui allait culminer avec l'oeuvre de Leary dont “Les portes...” est l'ancêtre direct.
—Mainmise
> « On peut retrouver des rudiments de la philosophie éternelle dans les coutumes traditionnelles des peuples primitifs de toutes les régions du globe et, dans sa forme la plus élaborée, elle a sa place dans toutes les grandes religions. Une version de ce facteur commun très élevé a été consignée par écrit il y a plus de vingt-cinq siècles. »
—Willis Harman, Créativité transcendante, Mortagne (2008)
> Frédéric Lenoir. La philosophie éternelle
In: La rencontre du bouddhisme et de l'occident de Frédéric Lenoir, Albin Michel (pp. 255-56)
Aldous Huxley est probablement l’un des écrivains contemporains qui a le plus étudié les enseignements du Bouddha et dont l’oeuvre, après son grand roman pessimiste - Le Meilleur des mondes (1932) -, prend des allures de plus en plus mystiques. Avec La Philosophie éternelle (1945), il explicite clairement ses convictions spirituelles. Convaincu de l’existence d’une philosophia perennis qui transcende tous les clivages religieux liés aux dogmes et aux institutions, il en expose les grands traits et montre que le bouddhisme apparaît comme l’expression la plus achevée de cette sagesse universelle.
On retrouve ici une démarche très proche de celle qui habitait les fondateurs de la Société Théosophique. Plus élaborée et plus rigoureuse intellectuellement, l’entreprise de Huxley n’en demeure pas moins une tentative syncrétique de mise au jour d’une sagesse universelle à partir de toute la diversité des systèmes religieux de l’humanité. Comme pour les théosophes, le bouddhisme sert aussi de référence centrale à cette nouvelle construction idéologique, sans toutefois que son auteur ait besoin de lui faire subir les pires contorsions. Huxley est surtout sensible à la manière dont le Bouddha expose «tout l’art de la connaissance de soi-même dans toutes ses branches : connaissance de son corps, de ses sens, de ses sentiments, de ses pensées [1]», ainsi que les moyens du salut qui sont « simultanément éthiques, intellectuels et spirituels », et résumés « avec une clarté et une économie admirables dans l’Octuple Chemin du Bouddha [2]. »
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1. Aldous Huxley, La Philosophie éternelle (1945), éd. du Seuil, 1977, p. 196.
2. Id., ibid., p. 242.
> Aryel Sanat. Huxley, Aldous : La Philosophie Éternelle, Éditions du Seuil
In: La vie intérieure de Krishnamurti de Aryel Sanat, 2001 - Editions Adyar. (p. 260)
Ouvrage dans lequel fut forgée l'expression « philosophie pérenne », et faisant référence à ce que HPB qualifiait de « théosophie » et de « religion-sagesse ».