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The Philosopher's Pupil par Iris…
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The Philosopher's Pupil (original 1983; édition 1989)

par Iris Murdoch

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneDiscussions / Mentions
6471336,296 (3.83)1 / 60
In the English town of Ennistone hot springs bubble up from deep beneath the earth. In these healing waters the townspeople seek health and regeneration, rightousness and ritual cleansing. To this town steeped in ancient lore and subterranean inspiration the Philosopher returns. He exerts an almost magical influence over a host of Ennistonians, and especially over George McCaffrey, the host of Ennistonians, and especially over George McCaffrey, the Philosophers old pupil, a demonic man desperate for redemption.… (plus d'informations)
Membre:Kirkland47
Titre:The Philosopher's Pupil
Auteurs:Iris Murdoch
Info:Penguin Books (1989), Paperback, 560 pages
Collections:Votre bibliothèque
Évaluation:
Mots-clés:Aucun

Information sur l'oeuvre

L'Elève du philosophe par Iris Murdoch (1983)

  1. 00
    La Montagne magique par Thomas Mann (P_S_Patrick)
    P_S_Patrick: Long, immersive, magic, philosophical novels to fully breathe the atmosphere of.
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 Iris Murdoch readers: The Philosopher's Pupil27 non-lus / 27LizzieD, Avril 2013

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Ce roman, publié en 1983, s’ouvre sur la dispute d’un couple en voiture et de l'accident qui en découle. Le début est marqué ensuite par une description interminable de la petite ville thermale anglaise d’Enniston (inventée pour la circonstance).
Juste après l’enchantement que m’avait procuré la lecture de « A severed head » et de manière plus générale, après m’être laissée prendre voire captiver par tous les autres livres d'Iris Murdoch, je me croyais à l'abri de l'ennui en dépit de cette introduction longuette. Ca finirait bien par faire place à l’étincelle d’une histoire peuplée de personnages piquants.
Et pourtant, hélas, hélas : le livre ne décolle pas et s’enlise même dans un galimatias sans fin de personnages aussi caricaturaux que sans véritable substance. En réalité, Iris Murdoch a créé une galerie de personnages aussi riche en nombre que pauvre en contenu. Qui embrasse trop mal étreint : l’auteure aurait-elle vu trop grand, jusqu’à en perdre le fil de ses personnages ? On sent une ambition d’un projet littéraire qui a tourné court. On imagine en effet assez mal qu’Iris Murdoch, écrivain et philosophe, n’ait pas souhaité donner le meilleur d’elle-même pour évoquer son sujet de prédilection – la philosophe – même si elle choisit visiblement, à travers la voix du professeur Rozanov (un type absolument infâme) d’en égratigner ses ambassadeurs ainsi que les dangers potentiels qu’ils peuvent faire courir à leurs adeptes. Il y est largement question de religion, d'hostilités, de frustrations, d'emprise et du pouvoir de l'indifférence.
L’histoire ? Elle est un peu difficile de la résumer tant elle est peu exploitée et évanescente. Essayons toutefois : le vieux professeur Rozanov (qui vit en Californie) revient à Enniston pour une raison que tout le monde ignore (qui s'avère être l’amour improbable qu’il nourrit en secret pour sa petite-fille Hattie) mais meurt d’envie de connaître. Il a été le professeur de philosophie de George McCaffrey (le personnage en titre du roman donc), un quadragénaire tourmenté et violent qui ne se rappelle pas s’il a récemment tenté d’assassiner sa femme au cours de l’accident de voiture cité plus haut. Littéralement hanté par Rozanov qui le traite de son côté de tout le mépris dont il est capable (et celui-ci est sans limite), George attend une explication, un signe providentiel de la part de son ancien professeur qui pourrait le réhabiliter et le sauver de tout et surtout de lui-même, pense-t-il.
C’est la famille McCaffrey qui forme le socle du roman, à travers une fratrie (George, Brian et Tom) et leur mère Alex. Nombre de personnages gravitent autour d’elle : Gabriel (épouse de Brian), la jeune américaine Hattie (que Rozanov somme Tom d’épouser) et la « servante » Pearl qui veille sur elle, Emma (ami de Tom), Diane (maîtresse de Tom), Father Bernard (qui a perdu la foi), etc. Iris Murdoch, qui sait décrire les relations humaines avec tant d’acuité et de finesse, en tire très insuffisamment profit dans ce roman où à peu près tout sonne et résonne de manière distante, caricaturale et fausse. Et ce n’est même pas la minceur et le caractère invraisemblable de l’histoire qui fait obstacle car on attend d’être nourri autrement : en premier lieu à travers les réflexions philosophiques censées sous-tendre le roman (comme celle de la tension entre le bien et le mal ?... on en ressort assez peu stimulé), ou par exemple dans les conversations que sont censées engager Rozanov et Father Bernard (très décevantes et non renouvelées). La station thermale, au cœur du roman, fonctionnant comme un monstre qui contient et digère la population d’Enniston, est toutefois bien vue et utilisée à bon escient.
Au final, Father Bernard, dans son rôle de témoin et de catalyseur, aux apparitions inégales et incomplètes, est probablement le personnage le plus réussi du roman. Celui que l’on parvient à approcher de plus près et peut-être aussi le seul que l’on rencontre. Le seul véritable être humain, en gros.
Probablement le roman le plus long de l’auteure mais certainement pas le plus achevé. C’est comme si la matière en avait été diluée dans un récit assez poussif manquant singulièrement de ligne directrice et d’éclat.
Une déception proportionnelle à l’attente que j’avais de ce roman. ( )
  biche1968 | Sep 15, 2020 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Iris Murdochauteur principaltoutes les éditionscalculé
Jackson, GildartNarrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

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TO
ARNALDO MOMIGLIANO
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A few minutes before his brainstorm, or whatever it was, took place, George McCaffrey was having a quarrel with his wife.
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Stella had moved into her own room the little collection of Japanese netsuke, gifts from her father, which had once stood upon the sitting-room mantelpiece.... She treasured them as tokens of her father's love.
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

In the English town of Ennistone hot springs bubble up from deep beneath the earth. In these healing waters the townspeople seek health and regeneration, rightousness and ritual cleansing. To this town steeped in ancient lore and subterranean inspiration the Philosopher returns. He exerts an almost magical influence over a host of Ennistonians, and especially over George McCaffrey, the host of Ennistonians, and especially over George McCaffrey, the Philosophers old pupil, a demonic man desperate for redemption.

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Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Bibliothèque patrimoniale: Iris Murdoch

Iris Murdoch a une bibliothèque historique. Les bibliothèques historiques sont les bibliothèques personnelles de lecteurs connus, qu'ont entrées des utilisateurs de LibraryThing inscrits au groupe Bibliothèques historiques [en anglais].

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