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The Persian Boy traces the last years of Alexander's life through the eyes of his lover, Bagoas. Abducted and gelded as a boy, Bagoas was sold as a courtesan to King Darius of Persia, but found freedom with Alexander after the Macedon army conquered his homeland. Their relationship sustains Alexander as he weathers assassination plots, the demands of two foreign wives, a sometimes-mutinous army, and his own ferocious temper. After Alexander's mysterious death, we are left wondering if this Persian boy understood the great warrior and his ambitions better than anyone.… (plus d'informations)
emanate28: Maybe they are too similar... But both The Persian Boy and The Song of Achilles are heartbreaking and beautiful stories of legendary heroes told from the perspective of their devoted boy lovers. The ancient heroes come alive and one is transported back into those times.… (plus d'informations)
C’est dans la peau du jeune perse Bagoas que l’on suit les péripéties d’Alexandre tout au cours de ce deuxième tome. On poursuit l’histoire d’un grand homme dans un premier temps depuis le camp adverse puisque Bagoas se trouve aux services de Darius en tant qu’eunuque.
Bien que Bagoas soit lui-même un esclave d’un genre plutôt privilégié – il est l’amant du roi – on retrouve toute l’importance que les esclaves vouent à leur maître. Il réserve ainsi une admiration à son roi bien que celui-ci se retrouve plus d’une fois dans une situation peu valorisante. Il perd en effet plusieurs fois l’occasion de démontrer son courage lors de plusieurs batailles. Le clou de son règne étant la bataille de Gaugamèle lorsqu’il bat retraite alors qu’Alexandre domine l’armée perse. C’en est trop pour les compatriotes de Bagoas, Darius va tomber.
Darius tombe et à partir de là, nous retrouvons Alexandre qui à son tour prend Bagoas à son service. Et alors que Bagoas vouait un grand respect à son roi perse, Alexandre va pouvoir compter sur l’amour authentique de Bagoas. Bagoas l’admire. Au travers de ses yeux on découvre ce qu’est devenu Alexandre. Alors qu’au cours du premier tome nous avions pu voir un Alexandre téméraire et très précoce on découvre ici un roi courageux:
Et il n’a peur de rien! rien du tout!
Un roi qui attache une importance toute particulière à la fidélité, à l’amour
Il ne cesse jamais d’aimer
Il a une haute estime pour tous ses compatriotes, il aime réellement son peuple et ce même lorsqu’il s’étent à plusieurs cultures. Cela comporte des difficultés évidemment. Par exemple pour les macédoniens il est devenu normal de pouvoir converser et évoquer ses problèmes avec le roi de manière quasi familière:
Ils ne veulent pas suivre une image royale qu’ils ne peuvent approcher qu’à plat ventre.
Par contre pour les perses, c’est tout autre! Le respect du roi est bien plus présent, c’est impensable de se voir présenté à lui sans faire de génuflexion. D’où un casse-tête pour Alexandre, mais comme toujours il s’en sort à bon compte en arrivant à unir ces deux cultures forcément très différentes.
Alexandre aimait son peuple jusqu’à penser parfois qu’il lui était impossible de faire quelque chose de mal. Bagoas apprécie beaucoup cet aspect de sa personnalité lorsqu’il dit:
Je l’aimais d’avoir tant de mal à envisager le pire, même de la part d’un homme qui lui avait tant nui.
Bref, les qualités d’Alexandre sont fort bien vantées par l’auteur. On y découvre également l’envie insatiable d’Alexandre de découvrir le monde et d’y faire régner des principes élevés. Dans un style toujours autant agréable, on passe un moment très agréable en découvrant de multiples cultures, des contrées du monde lointaines… Bref, je le recommande tout autant que le premier!
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If anyone has the right to be measured by the standards of his own time, it is Alexander.
Hermann Bengtson: The Greeks and the Persians
Dédicace
Premiers mots
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Lest anyone should suppose I am a son of nobody, sold off by some peasant father in a drought year, I may say our line is an old one, though it ends with me.
Citations
Derniers mots
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I lit the night-lamp and set it by the bed, and watched with him, till at morning the embalmers came to take him from me, and fill him with everlasting myrrh.
The Persian Boy traces the last years of Alexander's life through the eyes of his lover, Bagoas. Abducted and gelded as a boy, Bagoas was sold as a courtesan to King Darius of Persia, but found freedom with Alexander after the Macedon army conquered his homeland. Their relationship sustains Alexander as he weathers assassination plots, the demands of two foreign wives, a sometimes-mutinous army, and his own ferocious temper. After Alexander's mysterious death, we are left wondering if this Persian boy understood the great warrior and his ambitions better than anyone.
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Bien que Bagoas soit lui-même un esclave d’un genre plutôt privilégié – il est l’amant du roi – on retrouve toute l’importance que les esclaves vouent à leur maître. Il réserve ainsi une admiration à son roi bien que celui-ci se retrouve plus d’une fois dans une situation peu valorisante. Il perd en effet plusieurs fois l’occasion de démontrer son courage lors de plusieurs batailles. Le clou de son règne étant la bataille de Gaugamèle lorsqu’il bat retraite alors qu’Alexandre domine l’armée perse. C’en est trop pour les compatriotes de Bagoas, Darius va tomber.
Darius tombe et à partir de là, nous retrouvons Alexandre qui à son tour prend Bagoas à son service. Et alors que Bagoas vouait un grand respect à son roi perse, Alexandre va pouvoir compter sur l’amour authentique de Bagoas. Bagoas l’admire. Au travers de ses yeux on découvre ce qu’est devenu Alexandre. Alors qu’au cours du premier tome nous avions pu voir un Alexandre téméraire et très précoce on découvre ici un roi courageux:
Et il n’a peur de rien! rien du tout!
Un roi qui attache une importance toute particulière à la fidélité, à l’amour
Il ne cesse jamais d’aimer
Il a une haute estime pour tous ses compatriotes, il aime réellement son peuple et ce même lorsqu’il s’étent à plusieurs cultures. Cela comporte des difficultés évidemment. Par exemple pour les macédoniens il est devenu normal de pouvoir converser et évoquer ses problèmes avec le roi de manière quasi familière:
Ils ne veulent pas suivre une image royale qu’ils ne peuvent approcher qu’à plat ventre.
Par contre pour les perses, c’est tout autre! Le respect du roi est bien plus présent, c’est impensable de se voir présenté à lui sans faire de génuflexion. D’où un casse-tête pour Alexandre, mais comme toujours il s’en sort à bon compte en arrivant à unir ces deux cultures forcément très différentes.
Alexandre aimait son peuple jusqu’à penser parfois qu’il lui était impossible de faire quelque chose de mal. Bagoas apprécie beaucoup cet aspect de sa personnalité lorsqu’il dit:
Je l’aimais d’avoir tant de mal à envisager le pire, même de la part d’un homme qui lui avait tant nui.
Bref, les qualités d’Alexandre sont fort bien vantées par l’auteur. On y découvre également l’envie insatiable d’Alexandre de découvrir le monde et d’y faire régner des principes élevés. Dans un style toujours autant agréable, on passe un moment très agréable en découvrant de multiples cultures, des contrées du monde lointaines… Bref, je le recommande tout autant que le premier!
[publié à l'origine sur http://me.jacquemin.ch/post/critique-de-livre-lenfant-perse] ( )