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Trevor Ravenscroft

Auteur de La lance du destin

11 oeuvres 496 utilisateurs 9 critiques

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Comprend les noms: trevor ravenscroft

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Pourquoi avoir choisi ce livre ?
Depuis un an ou deux j’ai eu un regain d’intérêt pour des sujets m’ayant passionné étant adolescent. Il y a quelques mois j’ai repéré un livre dans les références d’un article Wikipédia, La lance du destin. Ce livre traite justement de deux sujets qui m’ont captivé il y a longtemps, soit la 2e guerre mondiale et l’occultisme. Ce livre n’était pas malgré tout sur ma liste de priorité, mais j’ai décidé d’en faire une lecture dans le cadre d’un cours.
Un aspect qui m'a plu :
Le livre traite d’un sujet peu ou pas abordé dans le monde académique, d’après l’auteur Hitler aurait posséder une relique chrétienne lui conférant un pouvoir immense. Mais afin d’apprendre à s’en servir il aurait dû apprendre les bases d’un savoir occulte. Ce savoir, il l’aurait appris en consommant des drogues, notamment du peyotl ! Tout cela est assez farfelu j’en conviens, néanmoins l’auteur parvient à nous captivé avec des faits historiques datant du Moyen-Âge. La publication imminente de Blitzed: Drugs in Nazi Germany semble confirmer le penchant d’Hitler pour les drogues. Ce qui me plait donc, c'est cette théorie nébuleuse.

Un aspect qui m'a moins plu :
M. Ravenscroft écrit en début d’ouvrage qu’il détient la majeure partie de son information d’un certain Walter J. Stein qui aurait côtoyé Hitler alors que celui-ci était un vendeur d’aquarelle ambulant proche de l’itinérance (1909-1913). Rien de mal en soi, seulement le livre s’étend au-delà de ces 4 années et nous révèle des conversations et évènements ayant eu lieu lors de réunions de sociétés secrètes. Rien n’explique comment l’auteur eu accès à ces renseignements, et c’est là ce qui me plait moins, on a l’impression de beaucoup de spéculation.

L’objet livre :
Le livre emprunté à la bibliothèque de l’UdeM est présentement muni couverture rigide verte, ce n’est visiblement pas sa reliure d’origine. Ceci ne contribue pas dans mon cas à accroitre l’expérience de lecture, je préfère une couverture malléable. Le papier commencé à jaunir et l’encre a perdu de son odeur au profit d’une vague senteur de vieux livre. Ceci, contrairement à d’autres stimule mes sens et m’invite à rester le nez plonger dans le livre plus longtemps. Chaque chapitre commence par une citation en rapport avec le contenu de celui-ci, je trouve que cette recherche de l’auteur apporte du crédit à son enquête. Le livre comporte 25 illustrations réparties sur deux fois quatre pages. Avoir quelques illustrations ou photographies au milieu d’un livre est selon moi un must. La taille des caractères typographiques est assez grande, caractéristique des maisons d’édition « grand public » tel qu’Albin Michel. Je ne vois malheureusement pas la page couverture, ni le quatrième de couverture. J’avoue que cela n’est pas très invitant; je suis certain que beaucoup de livres sont vendus et lus seulement à cause de la beauté de leurs pages de couverture. Le livre comporte beaucoup d’éléments paratextuels tels qu’une préface, un épilogue, une table des matières et des illustrations, ainsi qu’une bibliographie. Tous ces éléments sont pour moi très importants, je crois qu’il me donne un sentiment de contrôle sur l’information contenue dans le livre.
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Signalé
charles6344a16 | 7 autres critiques | Oct 13, 2016 |

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