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Critiques

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10 sur 10
Hommage ou gâchis ?

Certes, quelques planches sont très réussies et quelques cases même magnifiques… Mais !
Le scénario nous emmène un peu n’importe où dans une action digne d’un 007.

Non, Corto méritait sûrement un peu plus de travail pour éviter un album vide qui nous propose un nième cliché délavé et incompréhensible d’un Corto botoxé.

Zut
 
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noid.ch | Feb 5, 2024 |
> , de Hugo Pratt - ed. Casterman. — Le grand retour de Corto Maltese dans un album surréaliste où rêve et réel se mêlent sans cesse aux voix intérieures et aventures diverses, à la recherche du continent perdu de l'Atlantide. Charades allégoriques, énigmes en rébus, labyrinthes ambigus et des dessins forcément superbes, un grand cru !
A signaler qu'il existe en album noir et blanc (150 p.) et aussi en couleurs relié avec tout le dossier de documentation qui servit à Pratt (258 p.)
Nouvelles Clés, (27), Janv./Févr. 1993, (p. 80)
 
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Joop-le-philosophe | 1 autre critique | Mar 16, 2023 |
'après l'oeuvre originale d'Emilio Salgari
XIXème s., côtes de Malaisie. Sandokan dirige les Tigres de Mompracaem, des pirates qui combattent le pouvoir colonial anglais...
 
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CHINEDESENFANTS | 2 autres critiques | Aug 13, 2012 |
Les Celtiques, un de ces albums de Hugo Pratt qui se lit, se relit et offre toujours quelque chose de nouveau. Onirique, énigmatique, on y découvre toujours un autre angle, un autre sous-entendu, une autre interprétation…
La forme de la nouvelle en BD semble être celle qui convient le mieux à Hugo Pratt. Ce recueil en contient six, chacune de 20 pages, pas plus. Assez pour évoquer des instants, développer des petits drames, tout en laissant une grande part de mystère et de non-dit.
Ces histoires au fort goût de sel et de rêve, ouvertement antimilitaristes, forment l’un de mes livres préférés de Corto Maltese, et je ne boude pas mon plaisir, encore et encore !
 
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raton-liseur | 4 autres critiques | Dec 14, 2011 |
Ce guide de voyage sort des sentiers battus au sens propre comme au figuré. On ne peut être qu'enthousiaste à l'idée de parcourir une ville accompagné d'un guide conçu selon un axe résolument différent — on est bien loin du moustachu à sac à dos du guide du routard. Ici c'est caban, pantalon blanc et créole. Corto est mis à toutes les sauces mais, pour une fois, c'est légitime. Non seulement, Venise est au centre de l'album Fable de Venise mais aussi et surtout, son créateur Hugo Pratt est vénitien. Venise a marqué l'oeuvre du grand voyageur et c'est précisément sous cet angle que les auteurs ont souhaité nous faire découvrir la ville. Tout au long des sept ballades (couvrant les 6 quartiers de Venise plus les îles) qui nous sont proposées, ils vont pointer du doigt les innombrables détails et symboles mystiques et religieux qui parsèment la cité des Doges. Chacune décrit un itinéraire s'écartant, autant que possible, des parcours classiques. Ils sont jalonnés de points d'intérêt bien évidemment illustrées par les dessins du maître. Ce procédé est loin d'être anecdotique car il met en lumière des détails accentués par l'auteur qui passeraient inaperçus sur des simples photographies — je pense notamment aux inscriptions se trouvant sur l'épaule du lion grec gardant l'entrée de l'arsenal.
Même s'il est parfois difficile de suivre les itinéraires dans ce véritable labyrinthe — c'est vrai que je n'ai pas un grand sens de l'orientation —, ça en vaut la peine et vous ne tarderez pas à récolter les fruits de vos efforts. Si vous êtes en quête de restaurants et de boutiques, passez votre chemin, si vous préférez flâner et découvrir la ville, suivez Corto dans le dédale des ruelles de la sérénissime.

Il est à noter que cette très bonne initiative conjointe entre un spécialiste de la BD (Casterman) et un spécialiste du tourisme (Lonely planet) existe pour d'autres villes: New York, Bruxelles et Rome. http://www.aubonroman.com/2011/02/venise-itineraires-avec-corto-maltese.html
 
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yokai | Feb 13, 2011 |
Je crois qu'il s'agit de l'histoire de la bande dessinée de Corto Maltese "Ballade de la mer salée".

Corto Maltese et Raspoutine sont employés par un mystérieux chef appelé Le Moine. Ils capturent lors de leurs pérégrinations deux jeunes australiens héritiers d'une famille riche.
Dans le contexte du début de la première guerre mondiale, dans le pacifique
Corto prend sous sa protection la jeune Pandora, qui s'avérera être la fille du moine et la nièce de l'amiral australien venu combattre le moine qui a apporté son soutien aux allemands.

Le style est plaisant, l'intrigue est bien menée, si vous êtes sensibles à l'univers de Hugo Pratt, vous ne serez pas déçu.
 
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yannrosko | 9 autres critiques | Mar 19, 2010 |
L'une des premières oeuvres d'Hugo Pratt et j'avoue que j'y n'y retrouve rien de ce qui fait le charme des Corto Maltese et de ses productions ultérieures. De petits récits de guerre, présentés sans recul aucun, ni imagination débordante. Reste une pépite : l'épisode "garde nocturne", jeu formel ne noir sur fond blanc.
 
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DesEsseintes | Nov 27, 2009 |
La collection complète de « Corto Maltese » dans leur version première en N&B est due au souvenir de ma découvete de cette oeuvreparfaitement à la bibliothèquemunicipale : l’épaisseur inhabituelle, les exquises couvertures pastel, mais le dessin esquissé N&B jouaient une partition attraction/répulsion inédite pour un adolescent qui devait être en fin de collège. Et puis, on se lance (pas forcément avec le premier de la série ...) et l’on découvre des récits à l’ambiance rêveuse et aux personnages complexes à l’attitude souvent nonchalante, dans un décor historique aux références ésotériques peu connu des cours d’Histoire-Géo.
L’achat de cette série a été l’embryon de cette bibliothèque, par une volonté de constituer un « patrimoine ». Ces achats dans leur version originelle se retrouvent aujourd’hui bienvenus au moment où ressort ces mêmes aventures dans des versions colorisées et surtout sans leur extraordinaire couverture pastel !
Ces réimpressions manquent cruellement de la magie d’attraction/répulsion que j’évoquais plus haut. Il est sans doute vrai que cette magie implique un effort du lecteur pour basculer dans le style de PRATT. Toutefois, une fois cette bascule effectuée, elle a aussi pour effet d’immerger totalement le lecteur dans l’univers de rêve éveillé de Corto Maltese.
Depuis, Corto Maltese est devenu célèbre (trop ?) allant jusqu’à faire de la publicité. Mais n’oublions pas que les lecteurs de l’époque sont devenus des consommateurs à fort pouvoir d’achat.
 
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yann67 | 9 autres critiques | Mar 4, 2008 |
Basé sur le grand classique en bande dessinée
 
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Cecilturtle | 9 autres critiques | May 22, 2006 |
10 sur 10