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Critiques

13 sur 13
Une tendre tournée d’automne. Celle qui devait être la dernière pour le chauffeur du bibliobus dans le Nord du Québec. Une tournée où il rencontrera une bande de musiciens et artistes itinérants… Le début d’une autre histoire avec Marie qui les accompagne ?

Une tendre tournée un peu sirupeuse, toutefois. Un peu trop pour moi qui n’a pas tellement le goût du sucre dans mes lectures. Ou alors en accompagnement d’un récit avec plus de piquant, de nerf et d’épices.

A réserver pour les soirées mélancoliques ou les âmes amoureuses
 
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noid.ch | 8 autres critiques | Aug 15, 2023 |
On retrouve la plume tamisée et délicate de Poulin; les mots glissent doucement sur la page sans laisser beaucoup de trace. J'ai bien aimé l'hommage à la lecture et ce petit frère qui arrive enfin à se tailler une place ailleurs que dans l'ombre de son frère.
C'est une histoire agréable à lire mais qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire - seulement le souffle d'une émotion tendre.
 
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Cecilturtle | 3 autres critiques | Nov 21, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Poulin-Volkswagen-Blues/22269

> Paru en 1984, Volkswagen blues rappelle le roman Sur la route de Jack Kerouac, abordant les thèmes du voyage et de l'américanité à travers les péripéties du personnage principal, Jack Waterman, un écrivain qui part de Gaspé à la recherche de son frère Théo, en compagnie d'une jeune métisse surnommée la Grande Sauterelle. le voyage l'amène à traverser l'Amérique jusqu'à San Francisco où il retrouve son frère qui se déplace en fauteuil roulant. Volkswagen blues est un roman d'errance où l'on croise les fantômes de quelques « clochards célestes ». Si l'Amérique s'est construite dans la violence, Jack et la Grande Sauterelle récusent cet héritage et aspirent à la paix. C'est aussi un roman d'amour émouvant et feutré, tout en retenue, où domine – comme dans la conquête de l'Ouest – la soif de liberté.
ICI.Radio-Canada.ca

> Un livre n'est jamais complet en lui-même ; si on veut le comprendre, il faut le mettre en rapport avec d'autres livres, non seulement avec les livres du même auteur, mais aussi avec des livres écrits par d'autres personnes. Ce que l'on croit être un livre n'est la plupart du temps qu'une partie d'un autre livre plus vaste auquel plusieurs auteurs ont collaboré sans le savoir. (p. 169)
 
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Joop-le-philosophe | 8 autres critiques | Jan 25, 2019 |
Beaucoup de charme dans ce court roman... un moment d'existence, entre bizarrerie et banalité. Une très belle réussite.½
 
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Nikoz | 3 autres critiques | Feb 19, 2018 |
Poulin, l'auteur des états d'âme et des sentiments. Poulin, tel son alter ego Jack Waterman (c'est un nom de plume), sillonne Québec et décrit ses façons d'être, ses postures mentales, son spleen ambiant et ses rencontres improbables dans des textes d'une simplicité poétique désarmante.

Le hasard placera sur la route de Waterman une jeune lectrice et de cette rencontre naîtront un échange, une conversation et même plus si affinités. Ce dialogue viendra bouleverser la routine de l'ermite et les deux exclus se nourriront de cette nouvelle affection. Douceur, tendresse et musiques du coeur, c'est tout cela qui joue dans le jukebox que nous présente Jacques Poulin.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2015/05/un-jukebox-dans-la-tete-jacques-poulin.html]
 
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GIEL | May 6, 2015 |
Jacques Poulin, ce québécois de Quebec City, possède une écriture dont la simplicité cache la profondeur de la réflexion sur l'humain. Comme Pierre Morency (lui aussi de Québec), ce poète de la nature, aviaire notamment, il traduit en quelques mots et en prases toute simples des sentiments complexes, mais non tourmentés. Que ce soit dans Volkswagen Blues ou dans La tournée d'automne, Poulin réussit à décrire un amour ou une amitié qui se développe lentement, à la vitesse des saisons qui passent. On ne retrouve pas dans La traduction est une histoire d'amour les kilomètres et les mouvements, le voyage et la route, mais son écriture demeure poétique tant elle est dépouillée.

Les protagonistes de ce roman (monsieur Waterman, un écrivain solitaire, Marine, une traductrice et Limoilou, une adolescente délaissée) se retrouvent dans la plus récente livraison de Jacques Poulin, L'anglais n'est pas une langue magique que j'espère lire sous peu pour retrouver l'atmosphère qu'il sait si bien peindre.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2009/04/la-traduction-est-une-histoire-damour.html]
 
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GIEL | 18 autres critiques | Mar 3, 2015 |
Après La traduction est une histoire d'amour, Jacques Poulin récidive. C'est le petit frère de l'écrivain du livre précédent qui est maintenant à l'avant-scène. Il est lecteur. Il lira, entre autres, pour Limoilou, jeune fille dont l'âme est en convalescence. Le décor de cette tranche de vie, c'est la ville de Québec. Ce sont les pentes, les rues et les escaliers de Québec.

Ceux qui cherchent l'aventure et le suspense seront déçus. Ce n'est pas la recette de ce roman, de ce poème en prose, de cette fenêtre sur l'univers personnel de Francis, le lecteur et de son amour des histoires de l'Amérique d'un autre temps, un temps où les Indiens et le français occupaient le territoire.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2009/12/langlais-nest-pas-une-langue-magique.html]
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GIEL | 3 autres critiques | Mar 3, 2015 |
Une vraie perle. L'histoire d'un chauffeur de bibliobus qui s'assure de lire tous les livres qu'il transporte avant de les prêter. Il sait toujours choisir le bon livre pour la bonne personne au bon moment. Il est un peu triste à l'idée de vieillir, mais une belle rencontre lui donne un regain d'espoir.
 
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lacurieuse | 8 autres critiques | Jan 13, 2012 |
Un auteur meurtri par la vie se met en tête d'écrire une histoire d'amour sans y parvenir. Survient alors une série de circonstances qui le mènent à tomber amoureux. Poulin écrit avec beaucoup de poésie dans un style subtile et simple. Il crée une atmosphère calme mais légèrement troublée. Si les personnages ne laissent jamais de trace discible, Poulin arrive à donner à la fin une jolie touche inattendue qui donne un vrai charme au conte. À lire pour rêver un peu.½
 
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Cecilturtle | 11 autres critiques | Jul 11, 2009 |
Un vrai petit coup de coeur, ce roman québécois. Lu d'une traite. Il s'agit d'une "road-movie" littéraire au cours duquel nous accompangons un écrivain québecois et une jeune Indienne (et un chat appelé Chop Soeuy) dans leur vieux Volkswagen à la recherche du frère de celui-ci. Cette recherche nous mène de la baie de Gaspé jusqu'à San Francisco, en passant par Saint Louis et par le "Oregon Trail" en suivant la piste des émigrants vers l'Ouest.

Lors de la lecture, on apprend même pas mal de choses sur le passé colonial de l'Amérique mais sans s'en rendre compte tellement l'histoire est légère et agréable à lire. Et il va sans dire que ça donne énormément envie de faire comme eux et d'entreprendre un tel voyage. Mais ce n'est pas tout, on y parle aussi beaucoup de livres...

Un très bon moment de lecture que je vous recommande vivement.½
 
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lesezeichen | 8 autres critiques | Apr 9, 2007 |
C'est l'histoire délicate et poétique de l'amitié entre une jeune traductrice et un vieil écrivain. Tous les deux paumés, ils se reconstituent une vie à eux et malgré eux s'y accrochent. Ce roman sur fond d'intrigue est tout en douceur et très attachant; une petite merveille.½
 
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Cecilturtle | 18 autres critiques | Nov 11, 2006 |
Histoire d'un traducteur solitaire½
 
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Cecilturtle | 3 autres critiques | May 22, 2006 |
13 sur 13