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Œuvres de Marlo Morgan

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Nom canonique
Morgan, Marlo
Autres noms
MORGAN, Marlo
Date de naissance
1937-09-29
Sexe
female
Nationalité
VS
Lieux de résidence
Fort Madison, Iowa, USA
Kansas City, Missouri, USA

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Morgan-Message-des-hommes-vrais-au-monde-mutant/1...

> UN TRAITÉ SUR LE PAGANISME. — Peut m'importe si cette histoire est vraie ou non. J'ai lu dans les commentaires 1
étoiles que l'auteur s'était prise un procès et qu'elle avait admise le faussaire. Là
n'est pas l'important, il est dans le fait que ce livre est une morale païenne… (Oribase)
le 2 mai 2015 (Sur Amazon) 3/5

> MESSAGE DES HOMMES VRAIS (au monde mutant), Mario Morgan, éd. Albin Michel. — C’est le livre de l’année. Un document d’une valeur considérable (je pèse mes mots).
Les mutants, c’est nous, hommes modernes, riches ou pauvres, mais tous matérialistes quoi que nous prétendions, qui peuplons peu à peu la totalité de la planète. Le vrai peuple, ce sont les derniers descendants des humains des origines, du temps où l’homme vivait encore en pleine symbiose avec la nature - quasiment nu, en prise directe avec les éléments, et pourtant déjà totalement humain. Or le Vrai Peuple va nous laisser seuls, face à nos responsabilités. Nous avons systématiquement méprisé ses croyances, kidnappé ses enfants, ignoré sa sagesse, saccagé les terres où il vivait depuis des millénaires… et pourtant il ne nous juge pas, il prie pour nous. Pour qu’à notre tour nous menions à bien notre mission, assumions notre responsabilité planétaire…
Attention, Message des hommes vrais (au monde mutant) n’est pas un traité idéologique barbant. Ça se lit comme un roman. D’une certaine façon, c’est un roman - dont tous les faits se seraient réellement déroulés il y a quelques années en Australie. Une Américaine nommée Mario Morgan croyait être allée là-bas pour instituer un nouveau programme éducatif. La vraie raison de son voyage lui échappait. Elle l’apprit d’abord presque à son corps défendant : partie rendre visite à une tribu d’Aborigènes, pour une « belle journée dans le bush », elle se retrouve « invitée » à marcher pendant trois mois à travers l’immense désert… pieds nus et revêtue d’une simple tunique !
Aventure initiatique fabuleuse. Très éprouvante d’abord - essayez de courir pieds nus, ne fût-ce qu’une heure, dans un désert épineux ! Mais tout de suite, un tel enchantement éclaire cette épreuve (dès le premier soir, une ancienne vient masser les pieds blessés en « leur chantant une berceuse » incroyablement soulageante), qu’avant même d’avoir compris ce qui lui arrivait, Mario Morgan se retrouve partie prenante d’une vision radicalement différente du monde et du temps : le « temps du rêve », qui vous ancre paradoxalement beaucoup plus profond dans le réel que le « temps techno » soi-disant réaliste. On a beaucoup parlé du « temps du rêve aborigène » ces dernières années, mais combien d’entre nous y ont vraiment basculé ? Mario Morgan l’a fait. En trois mois de marche (trois lunes), elle a reçu un enseignement complet dont l’essentiel, me semble-t-il, tient en peu de mots : les Hommes Vrais vivent dans la jubilation d’être. Ils ne connaissent pas la peur (qu’ils considèrent comme le propre de l’animal), alors que l’homme moderne en est rempli parce qu’il n’écoute plus sa voix intérieure, ni celle de la Terre, ni celle des esprits des ancêtres, et parce qu’il accumule d’absurdes propriétés matérielles, sans voir qu’elles le condamnent à une peur de plus en plus grande.
Mais l’homme moderne s’appelle aussi « mutant » et, dans sa mutation, gisent encore toutes les possibilités de métamorphose bénéfique. Avant de nous quitter, ces Aborigènes, voix qui représentent cinquante mille ans de sagesse humaine, nous adressent un vibrant salut et leur profonde bénédiction. Soyons reconnaissants. Et vigilants ! (Patrice VAN EERSEL)
Nouvelles Clés, (6), Été 1995, (p. 72)

> Cette femme américaine nous relate sa rencontre bouleversante avec des aborigènes australiens, dont elle a tout découvert de la vie simple et naturelle. Ils lui ont appris l'usage de ses sens, l'utilisation des plantes qui guérissent, la relation avec les animaux, et un enseignement spirituel de grande envergure, issu de l'observation de la nature, transmis depuis de nombreuses générations, mais très actuel, comme par exemple le concept d'unité divine. (Revue Shakti)

> MESSAGE DES HOMMES VRAIS AU MONDE MUTANT, de Marlo Morgan - Ed. Albin Michel. — Peu importe au fond que l’histoire contée par Marlo Morgan soit totalement vraie, comme elle le prétend, ou partiellement romancée, ce qui est sans doute le cas. L’essentiel est qu’elle véhicule une sagesse en provenance des Aborigènes d’Australie qui, nous le savons, est profondément authentique. Au-delà des aspects fantastiques de cette aventure (savoir guérir des pieds blessés, par exemple, en leur chantant une petite chanson appropriée), tout se passe comme si les derniers représentants de cette culture vieille de plusieurs dizaines de milliers d’années, nous disaient, à nous, humains modernes passablement azimutés : “ Nous vous confions la Terre, les amis. N’oubliez pas, au moins deux choses : 1°) la pire attitude est d’avoir peur, 2°) la peur est proportionnelle à l’avoir : plus vous possédez, plus vous irez mal. Allez, bonne chance ! ”

- Voir aussi sur le même thème : Comment prendre la vie du bon côté ?

*Source: Nouvelles Clés
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 52 autres critiques | Oct 4, 2019 |
Un thème intéressant mais que j'ai trouvé malheureusement pas assez crédible dans son approche. Une femme américaine, Marlo Morgan, part à la découverte d'une tribu d'Aborigènes et va en ressortir transformée. Certes on y découvre des choses passionnantes nous aussi en tant que lecteurs, et nous nous rendons compte à quel point notre société moderne s'est éloignée de notre vraie nature en nous enfouissant dans le matériel, les soucis, les tracas, la négativité, et tout ce qui en découle tels que les soucis de santé, le stress, la déconnexion d'avec le monde sensible. Mais le récit fait un naïf et c'est un peu lourd à la lecture.… (plus d'informations)
 
Signalé
fiestalire | 52 autres critiques | Jan 1, 2017 |

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