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Critiques

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Quelle épopée! Le lecteur est pris entre l'enquête de Wallander et les mouvements du meurtrier dont il connaît les aboutissements. Cette longueur d'avance donne une nouvelle dimension au roman où le lecteur se sent investi en voulant guider les personnages et les mettre sur la bonne voie! En parallèle se déroule la vie privée de Wallander qui met en relief les autres aspects du roman, les relations entre les enfants et leurs parents, ainsi que tout l'amour et tous les dérapages. Je me suis accroché jusqu'à la fin, dévorant les pages - c'est un excellent roman.
 
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Cecilturtle | 69 autres critiques | Jul 2, 2023 |
Wallander se retrouve à démêler une sacrée histoire de famille: le détective est mené de fausse piste en fausse piste jusqu'à se retrouver dans un complot de taille. Il était tellement alambiqué qu'à force de suppositions et d'hypothèses lourdes, j'avais deviné la fin. Pire, la mystérieuse maladie de Wallander est expédiée en postface, une fin lapidaire comme si l'auteur était lassé de la situation et trop content de s'en débarrasser. Pour moi, Wallander mérite mieux.
Il n'en reste pas moins que j'ai dévoré les longues pages qui m'ont gardé en haleine jusqu'au bout.½
 
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Cecilturtle | 86 autres critiques | Mar 23, 2022 |
Mankell nous présente Eivor et, par elle, une génération de femmes qui a constitué celle des baby-boomers. Sur fond de lutte ouvrière, de libération de la femme, il raconte les petits et les grands obstacles que rencontraient les femmes de l'époque - le manque d'éducation, le sexisme, les grossesses non prévues, le divorce - autant d'événements qui montrent à quel point les femmes ont cheminé dans la société grâce au courage et aux luttes de tant d'anonymes. Un véritable hommage.
 
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Cecilturtle | 8 autres critiques | Aug 19, 2020 |
Louise fait des recherches sur la mort de son fils qui se serait suicidé. Il était atteint du sida et aurait découvert des secrets au niveau des recherches de médicaments effectuées sur des humains en Afrique½
 
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JasmineG | 43 autres critiques | Apr 24, 2020 |
Un dynamiteur raconte son accident d’explosion au travail de dynamique et raconte sa vie en même temps
 
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JasmineG | 8 autres critiques | Apr 19, 2020 |
Le dernier volume des enquêtes de Kurt Wallander nous emmène au cœur de la guerre froide, à l’époque de l’espionnage et des sous-marins russes et suédois qui se narguaient en mer Baltique. Un roman plus introspectif que policier, qui voit Wallander aux prises avec la peur de vieillir et les souvenirs de ses amours passées, en cela sans doute le plus personnel, mais en tout cas le plus émouvant.½
 
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Steph. | 86 autres critiques | Apr 13, 2020 |
En visitant une maison qu’il hésite à acheter, Kurt Wallander trébuche sur une main qui dépasse de terre. Une courte enquête pour élucider un meurtre vieux d’une cinquantaine d’années, plus concise et moins dramatique que ce à quoi l’auteur nous a habitué, mais bien menée et agréablement inhabituelle.½
 
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Steph. | 40 autres critiques | Jan 20, 2020 |
Linda, la fille de Kurt Wallander, a décidé d’entrer dans la police. C’est donc à deux qu’ils résolvent cette sombre enquête qui mêle disparitions, meurtres d’animaux, incendies, et dérives sectaires. Une ambiance rajeunie par rapport aux volumes précédents, un peu moins touffue et désespérée, mais toujours située dans une société suédoise en perte de sens.½
 
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Steph. | 60 autres critiques | Jan 18, 2020 |
Un chauffeur de taxi assassiné, une adolescente électrocutée, un consultant informatique mort devant un distributeur d’argent. Un roman policier qui emmène son lecteur dans le monde de la sécurité et de la criminalité informatique, liant la vulnérabilité de l’enquêteur, de la société suédoise et de la finance mondiale. Prenant et assez inquiétant.
 
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Steph. | 57 autres critiques | Dec 28, 2019 |
Trois jeunes gens disparaissent le soir de la Saint-Jean. Peu de temps après, un policier est tué dans son appartement. Un roman policier particulièrement noir, sanglant et désespéré, qui, outre dénouer une intrigue complexe, interroge l’état de la société suédoise contemporaine, ses valeurs et les conditions de vie de ses habitants.
 
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Steph. | 57 autres critiques | May 14, 2019 |
2 hommes essaient de traquer le monde banquaire par un distributeur de billets
 
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JasmineG | 57 autres critiques | Mar 10, 2019 |
Avec mes appareils, j'ai fixé une souffrance inconcevable, un courage inconcevable, une lâcheté inconcevable. J'ai fixé ce qu'est réellement la guerre : quelque chose d'inconcevable.

C’est la deuxième fois que je rencontre Henning Mankell au gré de mes lectures. Ce grand nom de la littérature noire me donne envie de le découvrir, bien que je ne sois pas adepte de ce genre, et à chaque fois, je me retrouve avec un livre qui n’a pas grand-chose d’un polar. On sait moins en effet qu’Henning Mankell est aussi un auteur de théâtre, et pas seulement un auteur si j’en crois sa notice biographique sur Wikipédia. Et c’est en effet avec une pièce de théâtre que je le retrouve aujourd’hui. Mais elle est noire cette pièce de théâtre. Pas de meurtre, pas d’enquête, mais beaucoup de sombre, de pas beau à voir.
C’est une photographie qui est ici le point de départ de l’écriture de Mankell, une photographie prise à Chartres le 16 août 1944 par le célèbre Robert Capa, et publiée en une du Life Magazine un mois plus tard. On y voit une femme, tondue, un enfant dans les bras, remonter une rue entourée de policiers, alors que sur les trottoirs, une foule narquoise et ouvertement moqueuse la regarde passer. C’est une célèbre photo célèbre, bien que pas particulièrement bonne ni particulièrement explicite, mais c’est une photo qui a le mérite d’exister, témoignage d’une période difficile de l’histoire française, de l’histoire de toutes les guerres probablement, celle où, comme le dit un des personnages, on règle ses comptes et on ne sait pas quelle est la part de la vengeance, de la méchanceté et du deuil.
De cet épisode, Mankell a conservé le nom de la femme, Simone, le lieu, petite ville de province, l’histoire d’amour et l’enfant qui en nait. Il a inventé tout le reste et, d’après ce que j’ai pu lire, à rendu son personnage beaucoup plus humain et innocent qu’il ne l’était peut-être dans la réalité. Mais les libertés qu’il a prises avec la réalité rendent sa pièce de théâtre encore plus forte, pleine de questions auxquelles il est difficile de répondre.
Qu’est-ce qui fait la trahison, qu’est-ce qui fait la collaboration ? Peut-on mélanger sentiments et politique, sentiments et guerre ? Simone est-elle innocente, coupable, mais coupable de quoi alors, innocente jusqu’à quel point ? Peut-on être aveugle à la situation qui nous entoure, dire que ça ne nous concerne pas, qu’on n’y peut rien ? Et peut-on se venger de ses souffrances sur quelqu’un d’autre ? Ou pire, se venge-t-on parfois de ses propres lâchetés sur un bouc émissaire facile à trouver et à immoler ?
Mêlant à toutes ces considérations une réflexion sur la photographie et ce qu’elle véhicule, Mankell écrit une pièce de théâtre très riche, qui se déploie selon de multiples axes sans jamais être brouillon. On sent là la maitrise d’un homme de théâtre confirmé, et cela me donne envie de voir du Mankell sur scène, pour de vrai. Cela doit prendre à la gorge et laisser un peu groggy, mais parfois c’est nécessaire pour se sentir vivant et un peu plus humain.
 
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raton-liseur | Feb 2, 2019 |
> Par K. Moussou, P. Frey, O. de Lamberterie (Elle) : Les 39 meilleurs livre de poche du moment
6 juin 2018 - Après avoir gambadé dans ses chaussures italiennes, Henning Mankell enfile ses bottes suédoises pour cet ultime roman. Un vieil homme se retrouve du jour au lendemain dépouillé de tout à cause d’un incendie. Cette fragilité va l’adoucir, lui permettre d’apaiser ses rapports avec sa fille. Et de tomber amoureux une dernière fois…
--Pascale Frey
 
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Joop-le-philosophe | 21 autres critiques | Jan 8, 2019 |
Trois meurtres particulièrement violents se succèdent dans une Suède en proie à des mouvements sociaux inquiétants. Un roman policier noir, aux élans féministes et qui, comme l’auteur en a l’habitude, allie enquête, contexte social et intimité de l’inspecteur.
 
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Steph. | 68 autres critiques | Dec 18, 2018 |
Un politicien est retrouvé tué d’un coup de hache et scalpé sur une plage de Scanie. Ce n’est que le premier d’une série macabre. Un roman policier vécu alternativement auprès du meurtrier et des enquêteurs, ce qui en augmente encore la tension, et une histoire sociétale et humaine.
 
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Steph. | 69 autres critiques | Sep 5, 2018 |
Plus qu'un double portrait, peut être en creux une réflexion sur l'évolution de la Suède après guerre?½
 
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Nikoz | 8 autres critiques | Jul 26, 2018 |
Pas tant l'intrigue (bonne) que le duo père / fille qui donne beaucoup de plaisir de lecture.
 
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Nikoz | 60 autres critiques | Jun 16, 2018 |
Un avocat de renom trouve la mort sur une route suédoise un soir de brouillard; son fils est assassiné quelques jours plus tard. On retrouve le commissaire Wallander dans ce roman policier qui allie enquête et descriptions sociale et psychologique. Une enquête bien tendue et un beau portrait d’homme en quête de sens.
 
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Steph. | 64 autres critiques | May 26, 2018 |
Quel lien peut-il y avoir entre une mère de famille suédoise retrouvée morte dans une forêt et l’attentat contre Nelson Mandela que des Boers opposés à son arrivée au pouvoir préparent en Afrique du Sud? Un roman policier très tendu, qui mêle avec brio paysages scandinaves et chaleur africaine, vie intime et implications politiques, dans une ambiance noire et désespérée.½
 
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Steph. | 86 autres critiques | Dec 17, 2017 |
Février 1991, un canot de sauvetage contenant deux cadavres est retrouvé sur les côtes suédoises. L’enquête conduit Kurt Wallander dans la froide Riga, aux prises avec les luttes politiques et sociales qui mèneront quelques mois plus tard à l’indépendance de la Lettonie. Un roman noir, sombre, historiquement bien documenté et terriblement efficace.
 
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Steph. | 108 autres critiques | Nov 6, 2017 |
Un couple âgé est sauvagement agressé dans sa ferme. Avant de mourir, l’épouse a le temps d’accuser un ”étranger”. Un roman policier qui mêle habilement enquête, vie privée et quotidienne du commissaire Kurt Wallander et réflexion sur la crise des réfugiés des années 1990, le racisme latent et les angoisses quant à l’évolution de la société suédoise.
 
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Steph. | 204 autres critiques | Oct 21, 2017 |
Cinq histoires qui font se succéder meurtre crapuleux, drame humanitaire, vengeance personnelle, jalousie et trafic de drogue dans une Suède sombre, enneigée et triste. Le préquel d’une série policière qui en augure beaucoup de bien.
 
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Steph. | 53 autres critiques | Oct 14, 2017 |
Une longue nouvelle plutôt de facture classique mais avec déjà tous les traits du personnage.
 
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Nikoz | Jul 5, 2017 |
Un Mankell conspiratif (une conspiration d'une seule personne en fait) joliment ficelé.½
 
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Nikoz | 64 autres critiques | Mar 23, 2016 |
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