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Hildegard von BingenCritiques

Auteur de Scivias

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Critiques

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> Scribd : https://fr.scribd.com/document/395445794/De-Bingen-Hildegarde-Les-causes-et-les-...

> « Si Adam était resté dans le paradis, il aurait gardé la très douce santé de
cette merveilleuse demeure, de même qu’un baume très fort émet une excellente
odeur ! ; maintenant, au contraire, l’homme contient en lui du poison,
du flegme et diverses maladies. »
—Hildegarde de Bingen, Les causes et les remèdes (XIIe siècle).
Jérôme Million, 1997.

> Chevallier Marjolaine. Hildegarde de Bingen, Les causes et les remèdes, traduction du latin et présentation de Pierre Monat, Grenoble, éd. Jérôme Millon, coll. Atopia, 1997.
In: Revue d'histoire et de philosophie religieuses, 78e année n°3, Juillet-septembre 1998. p. 366. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rhpr_0035-2403_1998_num_78_3_5514_t1_0366_0000_2

> Moulinier Laurence. Pierre Monat, trad. — Hildegarde de Bingen, Les causes et les remèdes. Grenoble, Millon, 1997 (Atopia).
In: Cahiers de civilisation médiévale, 41e année (n°164), Octobre-décembre 1998. pp. 411-414. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/ccmed_0007-9731_1998_num_41_164_2735_t1_0411_0000_3

> Foket Monique. Hildegarde de Bingen, Les causes et les remèdes. Traduction du latin et présentation de Pierre Monat. 1997.
In: Revue théologique de Louvain, 32ᵉ année, fasc. 1, 2001. p. 146. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/thlou_0080-2654_2001_num_32_1_3137_t1_0146_0000_2
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Jan 13, 2023 |
> LE LIVRE DES OEUVRES DIVINES, de Hildegarde de Bingen (Albin Michel, 1989). — Dans son dernier écrit, la célèbre bénédictine allemande du XIIe siècle répond à la confusion de son époque par dix grandioses visions. Le pari lumineux qu’elle lance ainsi, celui de l’ordre de Dieu, de la nature et de l’homme, demeure étonnamment actuel en ce nouveau siècle. (Spiritualités Vivantes)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Bingen-Le-Livre-des-oeuvres-divines--Visions/1637...
> Voir un extrait : https://books.google.fr/books?id=8Z9eAgAAQBAJ&hl=fr&printsec=frontcover&...

> LA THÉOLOGIE COSMIQUE D'HILDEGARDE — Dans six ans, huit siècles nous sépareront de cette religieuse qui reçut des révélations divines sur l’origine des maladies et leur traitement dans une vision holistique de l’être humain. « Corps, âme et esprit ». Ces écrits ont été redécouverts au siècle dernier. Depuis, des médecins ne cessent de s’étonner de la justesse de ses conseils au point que l’on puisse parler d’une « médecine de sainte Hildegarde ». Son oeuvre nous parle de la place dans le cosmos, de respect de l’environnement, de diététique, de guérison, du rôle de la femme. Hildegarde de Bingen saisit visuellement des informations qui dépassent la seule perception rétinienne. Clé de voûte de son oeuvre : ses « visions ». Trois grands livres dont le célèbre Scivias, décrivent un univers infini en expansion perpétuelle, proche de celui des astrophysiciens actuels. Ces deux traités de médecine douce, les seuls composés en Occident au XIIe siècle, font aujourd’hui encore autorité. Hildegarde incarne merveilleusement cet autre savoir, intuitif, écologique, visionnaire. Rappelons que le terme de « mystique » s’adapte très bien à Hildegarde puisque c’est celui ou celle qui, sous la motion divine, portée par l’oeuvre du Créateur, s’inspire de la révélation pour se laisser diriger par les miracles et par les grâces de la pédagogie divine, sur le chemin de la perfection qui mène de cette terre et de ce ciel vers les « nouvelles terres » et les « nouveaux cieux », du vieil homme somatopsychique à l’homme nouveau pneumatisé.
Quatre livres essentiels pour comprendre cette grande mystique rhénane :
Hildegarde de Bingen - Conscience inspirée du XIIe siècle, Régine Pernoud, éd. du Rocher.
Le livre des oeuvres divines : vision d’Hildegarde de Bingen, Bernard Gorcex, éd. Albin Michel.
Sainte Hildegarde : la santé entre ciel et terre, Daniel Maurin, éd. Trois Fontaines.
Sainte Hildegarde de Bingen, Ellen Breindl, éd. Dangles. (Albert SARALLIER)
Nouvelles Clés, (HS 2), «Se guérir», (p. 91)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 4 autres critiques | Apr 2, 2021 |
> Hildegarde de Bingen (1098-1179) eut ses premières visions dès l'âge de quatre ans. Elles ne cessèrent qu'à sa mort. Ce n'est qu'en 1141 pourtant, alors qu'elle avait 42 ans, qu'une voix lui ordonna d'en parler : « Écris ce que tu vois et ce que tu entends ». Ce qu'elle fit dans un ouvrage en trois parties: Connais les voies du Seigneur. Mais ces visions, Hildegarde ne s'est pas contentée de les raconter et de les commenter, elle les a fait représenter picturalement sous forme d'enluminures, et cette théologie en images a eu une grosse influence sur la spiritualité du Moyen Âge.
Son récit commence ainsi: « En l'année 1141... une lumière de feu d'un éclat extraordinaire, venant du ciel ouvert, traversa tout mon cerveau et enflamma tout mon coeur... Et voici que tout à coup, je pouvais savourer la connaissance du contenu des livres saints... J'entendis une voix du ciel qui me disait: « Proclame ces merveilles, écris les choses que tu as apprises par tes visions et dis-les ». » Par la suite, elle rapporte trois visions de la Trinité qui lui est apparue sous forme de cercles, de masse flamboyante et de colonne tripartite. Mais celles-ci s'élargissent à toute la création : « Mon âme monte dans les hauteurs du ciel et dans les diverses régions de l'air, et se promène parmi des peuples différents... »
Hildegarde qui dit « n'avoir jamais souffert la défaillance de l'extase » avait ces visions en pleine possession de ses moyens et les rapporte avec beaucoup de détails : « Ces choses, je les vois seulement en mon âme, et les yeux de mon corps restent ouverts... Je les vois, éveillée, le jour et la nuit... la lumière que je vois n'est pas localisée, mais elle est infiniment plus brillante que la nuée qui enveloppe le soleil... Pour moi cette lumière se nomme l'ombre de la lumière vivante. Comme le soleil, la lune et les étoiles se réfléchissent dans les eaux, ainsi les écrits, les discours, les vertus et certaines oeuvres humaines revêtues de formes resplendissent pour moi dans cette lumière. » (p.233) — Alain DELAYE

> Gouguenheim Sylvain. Pierre Monat, éd. trad. — Hildegarde de Bingen. « Scivias ». « Sache les voies » ou « Livre des visions ». Paris, Cerf, 1996 (Sagesses chrétiennes).
In: Cahiers de civilisation médiévale, 41e année (n°164), Octobre-décembre 1998. pp. 414-415. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/ccmed_0007-9731_1998_num_41_164_2735_t1_0414_0000_2

> Haquin André. Hildegarde de Bingen, Scivias. «Sache les voies» ou Livre des visions. Présentation et traduction de Pierre Monat (coll. Sagesses chrétiennes). 1996.
In: Revue théologique de Louvain, 28ᵉ année, fasc. 4, 1997. pp. 540-541. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/thlou_0080-2654_1997_num_28_4_2917_t1_0540_0000_2
 
Signalé
Joop-le-philosophe | 4 autres critiques | Sep 17, 2019 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Bingen-Le-livre-des-subtilites-des-creatures-divi...

> La sainte la plus « pop » des années 2000 par Brigitte Trahan (Louiseville).
In: Le nouvelliste, 19 juillet 1997. … ; article),
URL : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3292199

> Schmitt Jean-Claude. Hildegarde de Bingen, Le Livre des subtilités des créatures divines (Physique). Les plantes, les éléments, les pierres, les métaux....
In: Archives de sciences sociales des religions, n°68/2, 1989. pp. 255-256. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/assr_0335-5985_1989_num_68_2_1412_t1_0255_0000_4

> LE LIVRE DES SUBTILITÉS DES CRÉATURES DIVINES, de Hildegarde de Bingen. — Cette première traduction française des oeuvres de l’abbesse rhénane, née en 1098, est issue de la Patrologie latine. Hildegarde porte sur les plantes, les cours d’eau, les minéraux ou les métaux un regard contemplatif ouvert à la dimension qualitative des créatures.
Nos esprits scientifiques, rompus à l’analyse quantitative et aux procédures expérimentales se révèlent impuissants à comprendre son approche holistique et Poétique. Pour Hildegarde : Idées et Sentiments animent et vivent à la fois dans les créatures perçues (végétales, minérales…) et au sein du percevant.
La vision de cette contemplative nous conduit en un lieu où le monde se transfigure. Science ou Art de voir ? Hildegarde montre une sensibilité particulière aux quatre qualités élémentaires de l’alchimie : Sec : Chaud : Humide et Froid. Chez elle, la vision interpénétrante des créatures dépasse toute interprétation des phénomènes. Éditions Jérôme Millon - Ste Agnes 38190 Brignoud - Distribution Distique - Tome premier : les plantes, les minéraux, les éléments et les métaux. précédé de « Au Jardin d'Hildegarde » par Claude Mettra - Collection Atopia - 296 p.
3e millénaire, (12), Été 1989
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Mar 6, 2019 |