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Chargement... A Streetcar Named Desire (Two-Disc Special Edition)par Elia Kazan (Director), Charles K. Feldman (Producer), Harry Strading, Sr. (Director of Photography), Tennessee Williams (Original play)
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Appartient à la série éditorialeWarner home video greatest classic films collection (Romantic dramas) Est contenu dansEst une adaptation dePrix et récompensesListes notables
After being exiled from her hometown of Auriol, Mississippi for seducing a seventeen-year-old boy at the school where she taught English, Blanche DuBois arrives unexpectedly at the New Orleans home of her pregnant sister Stella Kowalski and her Stella's husband Stanley. Stanley, both repulsed and attracted to Blanche, discovers that she has mortgaged property left to both sisters and spent all the money whereby he sets about discovering everything else he can about her past. Tension between Blanche and Stanley builds as time passes and is intensified when Blanche begins dating one of Stanley's poker buddies. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresAucun genre Classification décimale de Melvil (CDD)791.43The arts Recreational and performing arts Public performances Film, Radio, and Television FilmClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Reste la tension constante, la complexité des liens, l'atmosphère lourde, humide et chargée de promiscuité malsaine, la direction impeccable d'Elia Kazan d'un film qui se focalise sur les manifestations directes et indirectes, plus ou moins malsaines du désir.
Pour être tout à fait honnête, ce que l'on retient avant tout de ce film car écrasant tout le reste de son génie et de son animalité hallucinante : la présence de Brando, dans le rôle de Stanley Kowalski, polonais buveur et joueur qui n'a que faire des simagrées et des bonnes manières. Son personnage est tour à tour celui d'un prédateur imprévisible et violent à la virilité exacerbée, et celui d'un homme-enfant incapable de supporter les rejets de la femme qu'il aime.
Il s'agit incontestablement du meilleur rôle de Brando. Au sommet de son art, il ne laisse finalement plus apparaître aucune trace de jeu : tout devient vrai, dans sa manière de se mouvoir, de parler, de regarder. D'une beauté éblouissante, envoûtante et magnétique, il se mue en bête féroce et dangereuse à laquelle aucune proie ne songerait plus à vouloir s'échapper.
S'il est des films façonnés par un acteur, "Un tramway nommé désir" fait résolument partie de ceux-là. ( )